Bouna-Palé Sounkalo, un radié des effectifs de la gendarmerie et son neveu Palé Oniré, étudiant âgé de 20 ans ont tous deux été condamné mercredi par la section de tribunal de Bouna à 20 ans de prison ferme pour vol de nuit en réunion à main armée.
MM. Sounkalo et Oniré avaient déjà à leur actif de nombreux braquages sur l'axe Bouna-Vonkoro et dans la ville de Bondoukou. Leur dernier forfait remonte au 22 juin sur l'axe Bouna-Bondoukou où munis de fusils canons sciés et sous l'emprise de stupéfiants, ils avaient dépouillé nuitamment motocyclistes et automobilistes.
Vers 3 heures du matin, ce jour-là, ils décampent des lieux à bord d'une moto arrachée à l'une de leurs victimes. Leurs armes sont enfouies dans un sac à dos porté par le jeune étudiant. Mais une patrouille de l'escadron de gendarmerie de Bouna va les surprendre près de la localité de Peteye. Sounkalo et son neveu s'opposent à la fouille de leur sac, devenu objet d'altercation entre eux et les forces l'ordre.La découverte des armes a fini par les contraindre à avouer leur forfait.
A la barre du tribunal correctionnel, le jeune étudiant a plaidé en vain pour sa remise en liberté pour, selon lui, aller achever le stage qu'il effectuait dans une entreprise à Abidjan et qu'il avait arrêté pour raison de santé fragile. Son oncle, l'ex-gendarme, a affiché une sérénité tout le long du procès.
on/ask
MM. Sounkalo et Oniré avaient déjà à leur actif de nombreux braquages sur l'axe Bouna-Vonkoro et dans la ville de Bondoukou. Leur dernier forfait remonte au 22 juin sur l'axe Bouna-Bondoukou où munis de fusils canons sciés et sous l'emprise de stupéfiants, ils avaient dépouillé nuitamment motocyclistes et automobilistes.
Vers 3 heures du matin, ce jour-là, ils décampent des lieux à bord d'une moto arrachée à l'une de leurs victimes. Leurs armes sont enfouies dans un sac à dos porté par le jeune étudiant. Mais une patrouille de l'escadron de gendarmerie de Bouna va les surprendre près de la localité de Peteye. Sounkalo et son neveu s'opposent à la fouille de leur sac, devenu objet d'altercation entre eux et les forces l'ordre.La découverte des armes a fini par les contraindre à avouer leur forfait.
A la barre du tribunal correctionnel, le jeune étudiant a plaidé en vain pour sa remise en liberté pour, selon lui, aller achever le stage qu'il effectuait dans une entreprise à Abidjan et qu'il avait arrêté pour raison de santé fragile. Son oncle, l'ex-gendarme, a affiché une sérénité tout le long du procès.
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