La République Fédérale d’Allemagne et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) ont signé, vendredi à Abidjan, un mémorandum d’accord pour appuyer la lutte contre la pauvreté, le renforcement de la cohésion sociale et la prévention des crises à l’Ouest et dans Sud-Ouest ivoirien.
Cet accord paraphé en présence de la ministre ivoirienne de la Solidarité, de la cohésion sociale et de la lutte contre la pauvreté, Pr Mariatou Koné s’inscrit dans le cadre de la seconde phase du projet intitulé «appui à la prévention des crises et à la consolidation de cohésion et de l’inclusion sociale».
Ce projet vise au renforcement de la cohésion sociale et la coexistence pacifique à travers le dialogue communautaire et l’accès aux infrastructures sociales de base ainsi qu’à la réintégration des personnes retournées dans les communautés d’accueil dans une dynamique de renforcement de cohésion.
La promotion de l’entrepreneuriat jeune à travers la formation professionnelle et la création de micro-entreprises, figurent également sur la liste des objectifs poursuivis par ce projet.
Cette seconde phase d’une durée de 32 mois, est financée à hauteur de 2 857 126 euros avec une contribution de 2 725 643,03 euros (environ 1 787 904 625 FCFA) de la République Fédérale d’Allemagne et 131 483 euros (86 000 000 FCFA) du PNUD.
« Les résultats obtenus lors de la première phase, ont permis de convaincre nos partenaires, notamment la République Fédérale d’Allemagne pour poursuivre la deuxième phase », a expliqué le Représentant résident du PNUD en Côte d’Ivoire, Luc Joël Grégoire.
A son tour, l’Ambassadeur de l’Allemagne en Côte d’Ivoire, Michael Grau a rappelé que son pays est un «partenaire et ami fidèle de la Côte d’Ivoire depuis 1962 », c’est pourquoi, a-t-il expliqué, « l’Allemagne veut coopérer pour la paix » dans ce pays.
Exprimant la « gratitude » du gouvernement ivoirien au PNUD, au HCR et à l’Allemagne qui est le « principal bailleur de ce projet », la ministre Mariatou Koné, a soutenu que « cette seconde phase du projet vient consolider les acquis de la première phase».
Lancé en 2017 et cofinancé par la République Fédérale d’Allemagne et le PNUD, le projet dans sa première phase a permis l’amélioration des conditions de vie de plus 1600 personnes à travers des activités génératrices de revenus et la revitalisation de l’économie locale dans les zones de retour.
Ce sont aussi plus de 45 000 personnes qui ont désormais accès à des infrastructures sociales (point d’eau, écoles et centre de santé).
La crise postélectorale ivoirienne de 2010-2011 a occasionné près de 300 000 déplacés dont la majorité a «regagné la terre natale» dans le cadre de plusieurs programmes mis en place par le gouvernement.
LS/APA
Cet accord paraphé en présence de la ministre ivoirienne de la Solidarité, de la cohésion sociale et de la lutte contre la pauvreté, Pr Mariatou Koné s’inscrit dans le cadre de la seconde phase du projet intitulé «appui à la prévention des crises et à la consolidation de cohésion et de l’inclusion sociale».
Ce projet vise au renforcement de la cohésion sociale et la coexistence pacifique à travers le dialogue communautaire et l’accès aux infrastructures sociales de base ainsi qu’à la réintégration des personnes retournées dans les communautés d’accueil dans une dynamique de renforcement de cohésion.
La promotion de l’entrepreneuriat jeune à travers la formation professionnelle et la création de micro-entreprises, figurent également sur la liste des objectifs poursuivis par ce projet.
Cette seconde phase d’une durée de 32 mois, est financée à hauteur de 2 857 126 euros avec une contribution de 2 725 643,03 euros (environ 1 787 904 625 FCFA) de la République Fédérale d’Allemagne et 131 483 euros (86 000 000 FCFA) du PNUD.
« Les résultats obtenus lors de la première phase, ont permis de convaincre nos partenaires, notamment la République Fédérale d’Allemagne pour poursuivre la deuxième phase », a expliqué le Représentant résident du PNUD en Côte d’Ivoire, Luc Joël Grégoire.
A son tour, l’Ambassadeur de l’Allemagne en Côte d’Ivoire, Michael Grau a rappelé que son pays est un «partenaire et ami fidèle de la Côte d’Ivoire depuis 1962 », c’est pourquoi, a-t-il expliqué, « l’Allemagne veut coopérer pour la paix » dans ce pays.
Exprimant la « gratitude » du gouvernement ivoirien au PNUD, au HCR et à l’Allemagne qui est le « principal bailleur de ce projet », la ministre Mariatou Koné, a soutenu que « cette seconde phase du projet vient consolider les acquis de la première phase».
Lancé en 2017 et cofinancé par la République Fédérale d’Allemagne et le PNUD, le projet dans sa première phase a permis l’amélioration des conditions de vie de plus 1600 personnes à travers des activités génératrices de revenus et la revitalisation de l’économie locale dans les zones de retour.
Ce sont aussi plus de 45 000 personnes qui ont désormais accès à des infrastructures sociales (point d’eau, écoles et centre de santé).
La crise postélectorale ivoirienne de 2010-2011 a occasionné près de 300 000 déplacés dont la majorité a «regagné la terre natale» dans le cadre de plusieurs programmes mis en place par le gouvernement.
LS/APA