La mise en œuvre en Côte d’Ivoire du projet d’Autonomisation des Femmes et de Dividende Démographique au Sahel (SWEDD) sous le leadership de la Ministre Mariatou Koné séduit.
Informé du modèle ivoirien, une délégation haïtienne conduite par Dr Maurice Fils Mainville, le Directeur de la Population et du Développement Humain séjourne en terre ivoirienne depuis le vendredi 12 juillet. Aussitôt arrivée en Cote d’Ivoire, elle a eu une séance de travail avec le Professeur Mariatou Koné, Ministre en Charge de la Lutte contre Pauvreté, tutelle du Swedd.
« Nous sommes venus spécialement voir ce qui se passe en matière de Swedd. Nous avons en effet des indicateurs sur des pays et nous pensons que La Cote d’Ivoire et le Benin sont des modèles à suivre. La particularité de la Cote d’ivoire est qu’elle a une parfaite implémentation du projet sur le terrain. Cette visite de partage et de capitalisation d’expérience est très importante pour nous» a expliqué Dr Maurice Fils Mainville.
La Ministre Mariatou Koné a présenté les grandes étapes de la mise en œuvre du Swedd en Côte d’Ivoire en mettant l’accent sur les acquis , les résultats clairement définis à atteindre ainsi que les défis notamment celui de faire reculer le taux de pauvreté par l’autonomisation économique des jeunes. A cet effet, une table ronde de mobilisation des ressources a été organisée récemment à Niamey afin d’impliquer le secteur privé au financement de cet important projet. « Le Swedd pour la Côte d’Ivoire n’est plus un projet mais désormais un outil pour faire reculer la pauvreté en permettant aux femmes et aux jeunes d’être autonomes. » a soutenu la Ministre.
Le projet « Autonomisation des Femmes et de Dividende Démographique au Sahel » (SWEDD) est une initiative régionale impliquant sept pays de l’Afrique de l’Ouest et du Centre confrontés à des défis sociodémographiques identiques (Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Mali, Mauritanie, Niger, Benin et le Tchad). Il vise à renforcer le niveau d’autonomisation des femmes et des adolescentes en vue d’accélérer la transition démographique dans la région. Financé par la Banque Mondiale, il est mis en œuvre par les pays avec l’appui technique du Fonds des Nations Unies pour la Population(UNFPA) et l’Organisation Ouest-Africaine de la Santé (OOAS). La Guinée, le Sénégal et le Cameroun frappent à la porte du Swedd et souhaitent y faire leur entrée.
Informé du modèle ivoirien, une délégation haïtienne conduite par Dr Maurice Fils Mainville, le Directeur de la Population et du Développement Humain séjourne en terre ivoirienne depuis le vendredi 12 juillet. Aussitôt arrivée en Cote d’Ivoire, elle a eu une séance de travail avec le Professeur Mariatou Koné, Ministre en Charge de la Lutte contre Pauvreté, tutelle du Swedd.
« Nous sommes venus spécialement voir ce qui se passe en matière de Swedd. Nous avons en effet des indicateurs sur des pays et nous pensons que La Cote d’Ivoire et le Benin sont des modèles à suivre. La particularité de la Cote d’ivoire est qu’elle a une parfaite implémentation du projet sur le terrain. Cette visite de partage et de capitalisation d’expérience est très importante pour nous» a expliqué Dr Maurice Fils Mainville.
La Ministre Mariatou Koné a présenté les grandes étapes de la mise en œuvre du Swedd en Côte d’Ivoire en mettant l’accent sur les acquis , les résultats clairement définis à atteindre ainsi que les défis notamment celui de faire reculer le taux de pauvreté par l’autonomisation économique des jeunes. A cet effet, une table ronde de mobilisation des ressources a été organisée récemment à Niamey afin d’impliquer le secteur privé au financement de cet important projet. « Le Swedd pour la Côte d’Ivoire n’est plus un projet mais désormais un outil pour faire reculer la pauvreté en permettant aux femmes et aux jeunes d’être autonomes. » a soutenu la Ministre.
Le projet « Autonomisation des Femmes et de Dividende Démographique au Sahel » (SWEDD) est une initiative régionale impliquant sept pays de l’Afrique de l’Ouest et du Centre confrontés à des défis sociodémographiques identiques (Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Mali, Mauritanie, Niger, Benin et le Tchad). Il vise à renforcer le niveau d’autonomisation des femmes et des adolescentes en vue d’accélérer la transition démographique dans la région. Financé par la Banque Mondiale, il est mis en œuvre par les pays avec l’appui technique du Fonds des Nations Unies pour la Population(UNFPA) et l’Organisation Ouest-Africaine de la Santé (OOAS). La Guinée, le Sénégal et le Cameroun frappent à la porte du Swedd et souhaitent y faire leur entrée.