La Ministre Mariatou Koné est déterminée à mettre fin aux activités des réseaux qui entretiennent la traite des êtres humains. A son initiative, un atelier de renforcement de capacités est organisé à l’attention d’une trentaine de praticiens de la justice.
Abdoulaye Bamba, directeur de cabinet de la Ministre Mariatou Koné a procédé le mardi 23 juillet à l’ouverture des travaux à Grand Bassam.
Cet atelier qui bénéficie de l’appui technique et financier du Bureau des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) vise à renforcer la répression judiciaire de la traite des personnes à travers une bonne collaboration entre l’ensemble des acteurs que sont les magistrats et les forces de l’ordre particulièrement les officiers de police judiciaire (OPJ).
Il sera aussi question d’aiguiser les connaissances des participants sur les bonnes pratiques et le jugement conforme au cadre légal national et international permettant d’engager des poursuites devant les juridictions compétentes. De façon pratique, il s’agira durant quatre jours d’outiller les praticiens de la justice pénale sur différentes notions. Ce sont entre autres, « comprendre la traite des personnes et le trafic illicite des migrants », « l’utilisation de techniques spéciales d’investigation et l’évaluation des risques dans les enquêtes relatives à la traite des personnes ».
En effet le constat au niveau mondial est alarmant. Environ 70 % des victimes détectées dans le monde de la traite sont des femmes. Plus de la moitié sont des femmes adultes, tandis que les filles représentent un cinquième de toutes les victimes. Au niveau national, le Gouvernement sous le leadership de la Ministre Mariatou Koné montre sa détermination par des actions concrètes à mettre fin à cette pratique.
Par exemple sous l’impulsion de la Ministre, le comité national de la Lutte contre la Traite des personnes qui sommeillait a été réactivé. Elle a également procédé à la création d’un Secrétariat Exécutif du Comité National de Lutte contre la Traite des Etres humains.
Engagée aux côtés du Gouvernement, l’ONUDC par la voix de son responsable national, Yao Seny Roger a réitéré son appui à toutes les initiatives du Ministère en charge de la Solidarité. « Conscient des enjeux et de la dynamique nationale en cours, l’ONUDC voudrait réaffirmer son engagement auprès de la tutelle et l’ensemble des acteurs dans leur réponse face à la traite des personnes. »
Pour rappel, cet atelier de formation approfondie sur la traite des personnes est le premier d’une série de six sessions de formation prévues en faveur des praticiens de la justice pénales. D’autres sessions suivront et devront à terme contribuer à améliorer la réponse nationale.
Abdoulaye Bamba, directeur de cabinet de la Ministre Mariatou Koné a procédé le mardi 23 juillet à l’ouverture des travaux à Grand Bassam.
Cet atelier qui bénéficie de l’appui technique et financier du Bureau des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) vise à renforcer la répression judiciaire de la traite des personnes à travers une bonne collaboration entre l’ensemble des acteurs que sont les magistrats et les forces de l’ordre particulièrement les officiers de police judiciaire (OPJ).
Il sera aussi question d’aiguiser les connaissances des participants sur les bonnes pratiques et le jugement conforme au cadre légal national et international permettant d’engager des poursuites devant les juridictions compétentes. De façon pratique, il s’agira durant quatre jours d’outiller les praticiens de la justice pénale sur différentes notions. Ce sont entre autres, « comprendre la traite des personnes et le trafic illicite des migrants », « l’utilisation de techniques spéciales d’investigation et l’évaluation des risques dans les enquêtes relatives à la traite des personnes ».
En effet le constat au niveau mondial est alarmant. Environ 70 % des victimes détectées dans le monde de la traite sont des femmes. Plus de la moitié sont des femmes adultes, tandis que les filles représentent un cinquième de toutes les victimes. Au niveau national, le Gouvernement sous le leadership de la Ministre Mariatou Koné montre sa détermination par des actions concrètes à mettre fin à cette pratique.
Par exemple sous l’impulsion de la Ministre, le comité national de la Lutte contre la Traite des personnes qui sommeillait a été réactivé. Elle a également procédé à la création d’un Secrétariat Exécutif du Comité National de Lutte contre la Traite des Etres humains.
Engagée aux côtés du Gouvernement, l’ONUDC par la voix de son responsable national, Yao Seny Roger a réitéré son appui à toutes les initiatives du Ministère en charge de la Solidarité. « Conscient des enjeux et de la dynamique nationale en cours, l’ONUDC voudrait réaffirmer son engagement auprès de la tutelle et l’ensemble des acteurs dans leur réponse face à la traite des personnes. »
Pour rappel, cet atelier de formation approfondie sur la traite des personnes est le premier d’une série de six sessions de formation prévues en faveur des praticiens de la justice pénales. D’autres sessions suivront et devront à terme contribuer à améliorer la réponse nationale.