Cité dans un article produit par le confrère Le Nouveau réveil et repris par Abidjan.net le mercredi dernier, le président sortant de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire, Traoré Moussa donne sa version des faits en rapport avec la crise qui secoue ladite union. Ci-dessous, son droit de réponse :
« Depuis le blocage des travaux du 10ème congrès de l’Unjci, je me suis imposé un devoir de réserve en ma qualité de Président sortant du Conseil exécutif. Mardi à la mi-journée, je reçois un appel de votre journaliste Serges Amani à qui j’indique que je suis astreint à une obligation de réserve et que je ne saurais accorder d’interview en cet instant précis. Il me dit "Ok" et me demande si j’ai effectivement sollicité Yao Noel, Président fondateur de L’Unjci pour nous aider à faire les rapprochements avec tous les acteurs et proposer un plan de sortie de crise. J’ai répondu par l’affirmative. Malgré ma mise en garde, grande fut ma surprise de voir des propos qui me sont attribués dans "Le Nouveau réveil". Plus grave, il attribue des phrases que je n’ai jamais tenues. Quelle est cette façon de faire du journalisme? Conscient de ses grossièretés et de sa faute grave, depuis hier, le sieur Serges Amani que je prenais pour un confrère sérieux, évite de répondre à mes appels. On n’est pas obligé de s’aimer. Mais on est obligé de faire preuve d’un minimum de respect et d’honnêteté envers ses confrères. Je lui souhaite bon vent dans la voie qu’il a choisie : celle de la manipulation et de la malhonnêteté ».
Traoré MOUSSA. Président sortant de l’UNJCI
« Depuis le blocage des travaux du 10ème congrès de l’Unjci, je me suis imposé un devoir de réserve en ma qualité de Président sortant du Conseil exécutif. Mardi à la mi-journée, je reçois un appel de votre journaliste Serges Amani à qui j’indique que je suis astreint à une obligation de réserve et que je ne saurais accorder d’interview en cet instant précis. Il me dit "Ok" et me demande si j’ai effectivement sollicité Yao Noel, Président fondateur de L’Unjci pour nous aider à faire les rapprochements avec tous les acteurs et proposer un plan de sortie de crise. J’ai répondu par l’affirmative. Malgré ma mise en garde, grande fut ma surprise de voir des propos qui me sont attribués dans "Le Nouveau réveil". Plus grave, il attribue des phrases que je n’ai jamais tenues. Quelle est cette façon de faire du journalisme? Conscient de ses grossièretés et de sa faute grave, depuis hier, le sieur Serges Amani que je prenais pour un confrère sérieux, évite de répondre à mes appels. On n’est pas obligé de s’aimer. Mais on est obligé de faire preuve d’un minimum de respect et d’honnêteté envers ses confrères. Je lui souhaite bon vent dans la voie qu’il a choisie : celle de la manipulation et de la malhonnêteté ».
Traoré MOUSSA. Président sortant de l’UNJCI