Grand-Bassam- Le directeur de cabinet du ministre de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de la Lutte contre la pauvreté, Abdoulaye Bamba, exprime la détermination de la Ministre Mariétou Koné, à mettre fin à la traite des personnes en Côte d'Ivoire.
" Au delà de cette formation, le ministre attend de vous un engagement résolu par une synergie d'actions à extraire le cancer de la traite des personnes en côte d'Ivoire", a déclaré, jeudi, son représentant, à un atelier de formation des acteurs de la justice pénale, à Grand-Bassam.
Selon Abdoulaye Bamba, cette formation contribuera à lutter efficacement contre "cette gangrène sociale" par une prise en compte efficiente des intérêts des victimes.
Cette initiative vise à renforcer leurs capacités en matière de répression judiciaire par une collaboration des acteurs pour des bonnes pratiques de poursuite et jugement conformes au cadre légal national et international devant les juridictions compétentes.
Ce sont 225 000 personnes qui sont victimes de la traite des personnes dans le monde, selon le rapport de l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) en 2018, a rappelé le coordonnateur de projet Roger Yao, qui souhaite voir "les gouvernements agir par des mesures urgentes, rapides et pratiques".
Organisée conjointement par l'ONUDC et le ministère de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de la Lutte contre la pauvreté, cette séance de formation, qui se tient, jeudi et vendredi, porte sur le thème, "renforcer les activités d'enquêtes et de poursuite centrée sur les victimes de traite des personnes".
ko/nmfa/fmo
" Au delà de cette formation, le ministre attend de vous un engagement résolu par une synergie d'actions à extraire le cancer de la traite des personnes en côte d'Ivoire", a déclaré, jeudi, son représentant, à un atelier de formation des acteurs de la justice pénale, à Grand-Bassam.
Selon Abdoulaye Bamba, cette formation contribuera à lutter efficacement contre "cette gangrène sociale" par une prise en compte efficiente des intérêts des victimes.
Cette initiative vise à renforcer leurs capacités en matière de répression judiciaire par une collaboration des acteurs pour des bonnes pratiques de poursuite et jugement conformes au cadre légal national et international devant les juridictions compétentes.
Ce sont 225 000 personnes qui sont victimes de la traite des personnes dans le monde, selon le rapport de l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) en 2018, a rappelé le coordonnateur de projet Roger Yao, qui souhaite voir "les gouvernements agir par des mesures urgentes, rapides et pratiques".
Organisée conjointement par l'ONUDC et le ministère de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de la Lutte contre la pauvreté, cette séance de formation, qui se tient, jeudi et vendredi, porte sur le thème, "renforcer les activités d'enquêtes et de poursuite centrée sur les victimes de traite des personnes".
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