Les résultats du Baccalauréat sont connus, depuis hier, mettant fin ainsi, au cycle des examens à grand tirage organisés par le ministère de l’Education nationale et de l’enseignement technique et de la formation professionnelle. Le constat, cette année, est que les résultats ne sont pas bons dans l’ensemble. Hormis le Cepe dont le taux de résultat est en légère hausse (84,48 % en 2019 contre 83,57%, soit une hausse de réussite de +2,59).
Au Bepc, c’est à une baisse du taux de réussite qu’on a assisté. Le taux national de réussite est de 57,31 % en 2019 contre 60,14 % en 2018. Le taux de réussite au Baccalauréat a connu également une baisse. Le taux de réussite national est de 41,23 % contre 46,09 % en 2018 et 44,97 % en 2017) soit une baisse de 4 points 86. On n’a pas besoin d’être devin pour en connaitre les causes profondes. Toutes ces contreperformances sont dues à un mauvais coaching de la ministre de l’Education nationale qui s’est mise en belligérance des mois durant avec ses travailleurs de l’Education nationale.
Conséquences, les grèves intempestives n’ont pas permis une année scolaire normale et ce sont les élèves qui en ont payé les frais. La démotivation des enseignants y est aussi pour quelque chose. En plus, il y a un esprit de paresse qui gagne du terrain avec des élèves qui anticipent les congés. Il est donc temps qu’on aille au-delà de la simple instruction en donnant au terme éducation son sens le plus plein dans l’enseignement.
FRANÇOIS KONAN
Au Bepc, c’est à une baisse du taux de réussite qu’on a assisté. Le taux national de réussite est de 57,31 % en 2019 contre 60,14 % en 2018. Le taux de réussite au Baccalauréat a connu également une baisse. Le taux de réussite national est de 41,23 % contre 46,09 % en 2018 et 44,97 % en 2017) soit une baisse de 4 points 86. On n’a pas besoin d’être devin pour en connaitre les causes profondes. Toutes ces contreperformances sont dues à un mauvais coaching de la ministre de l’Education nationale qui s’est mise en belligérance des mois durant avec ses travailleurs de l’Education nationale.
Conséquences, les grèves intempestives n’ont pas permis une année scolaire normale et ce sont les élèves qui en ont payé les frais. La démotivation des enseignants y est aussi pour quelque chose. En plus, il y a un esprit de paresse qui gagne du terrain avec des élèves qui anticipent les congés. Il est donc temps qu’on aille au-delà de la simple instruction en donnant au terme éducation son sens le plus plein dans l’enseignement.
FRANÇOIS KONAN
