Une délégation de la Direction nationale du Fonds de développement de la formation professionnelle (FDFP), arrivée d’Abidjan, a rencontré, jeudi, à son antenne régionale de San Pedro, des responsables d’entreprises et ses partenaires des régions couvertes par cette antenne, en vue d’échanger avec eux, dans le cadre de la redynamisation de ses actions au profit de cette cible.
Le vice-président du Comité de gestion au FDFP au titre du patronat, Bellet Patrick, l’Administrateur au FDFP au titre de l’Etat, Kouamé Jean-Yves, et le Secrétaire général du FDFP, Ange Léonid Barry-Battesti, ont conduit cette délégation qui s’est entretenue avec les responsables d’entreprises et partenaires locaux.
Au nombre des préoccupations des entreprises et des cabinets de formation, ont été évoqués les récurrentes questions de la longueur des délais d’agrément des plans de formation soumis au FDFP, du retard dans les remboursements des formations des effectuées, les stocks d’arriérés dus à des dysfonctionnement du FDFP au cours des dernières années.
Le Secrétaire général du FDFP, Barry-Battesti, et le vice-président du Comité de gestion, Bellet Patrick, ont reconnu ses dysfonctionnement du passé, mais ont rassuré leurs interlocuteurs que la nouvelle équipe dirigeante, s’attèle à résoudre ces problèmes, et met en projet une modernisation de son système informatique.
« L’ensemble des actions qui ont été proposées au titre de l’année 2018 ont été agréées par la nouvelle équipe du Comité de gestion, de même que les quelques projets déposés au titre de l’année 2019 », a-t-il rassuré.
Il a conseillé aux entreprises et cabinets de formation de travailler à leur niveau avec célérité et de ne pas attendre le dernier moment pour déposer leurs plans de formation. « Sinon, vous aller avoir moins de temps pour les réaliser. Cela oblige le FDFP à reporter le délai, donc par ricochet le remboursement des dépenses de formation se trouve affecté », a souligné le secrétaire général du FDFP.
Créé en 1991, le FDFP est un dispositif de financement de la formation professionnelle en Côte d’Ivoire. Sa mission est de contribuer au développement des ressources humaines par le financement des interventions dans le domaine de la formation professionnelle, grâce à afférente, payée par les entreprises (taxe additionnelle à la formation professionnelle continue, représentant 1,2% de la masse salariale de l’entreprise).
Le nouveau président du Conseil de gestion, Joël N’Guessan, a été nommé le 9 janvier et le secrétaire général du FDFP, Ange Barry-Battesti, le 3 avril.
(AIP)
jmk/fmo
Le vice-président du Comité de gestion au FDFP au titre du patronat, Bellet Patrick, l’Administrateur au FDFP au titre de l’Etat, Kouamé Jean-Yves, et le Secrétaire général du FDFP, Ange Léonid Barry-Battesti, ont conduit cette délégation qui s’est entretenue avec les responsables d’entreprises et partenaires locaux.
Au nombre des préoccupations des entreprises et des cabinets de formation, ont été évoqués les récurrentes questions de la longueur des délais d’agrément des plans de formation soumis au FDFP, du retard dans les remboursements des formations des effectuées, les stocks d’arriérés dus à des dysfonctionnement du FDFP au cours des dernières années.
Le Secrétaire général du FDFP, Barry-Battesti, et le vice-président du Comité de gestion, Bellet Patrick, ont reconnu ses dysfonctionnement du passé, mais ont rassuré leurs interlocuteurs que la nouvelle équipe dirigeante, s’attèle à résoudre ces problèmes, et met en projet une modernisation de son système informatique.
« L’ensemble des actions qui ont été proposées au titre de l’année 2018 ont été agréées par la nouvelle équipe du Comité de gestion, de même que les quelques projets déposés au titre de l’année 2019 », a-t-il rassuré.
Il a conseillé aux entreprises et cabinets de formation de travailler à leur niveau avec célérité et de ne pas attendre le dernier moment pour déposer leurs plans de formation. « Sinon, vous aller avoir moins de temps pour les réaliser. Cela oblige le FDFP à reporter le délai, donc par ricochet le remboursement des dépenses de formation se trouve affecté », a souligné le secrétaire général du FDFP.
Créé en 1991, le FDFP est un dispositif de financement de la formation professionnelle en Côte d’Ivoire. Sa mission est de contribuer au développement des ressources humaines par le financement des interventions dans le domaine de la formation professionnelle, grâce à afférente, payée par les entreprises (taxe additionnelle à la formation professionnelle continue, représentant 1,2% de la masse salariale de l’entreprise).
Le nouveau président du Conseil de gestion, Joël N’Guessan, a été nommé le 9 janvier et le secrétaire général du FDFP, Ange Barry-Battesti, le 3 avril.
(AIP)
jmk/fmo
