Abidjan- Le Commerce international des espèces de faune et de flore sauvage (CITES) a décidé dimanche de limiter strictement les ventes d’éléphants sauvages d’Afrique, dans un communiqué émanant de la conférence CITES de l’ONU sur les espèces menacées qui se tient depuis samedi à Genève, en Suisse, a indiqué le magazine 20 minutes Monde.
Le but de cette initiative nouvelle est de maintenir les animaux dans leur environnement naturel et de protéger ceux en voie de disparition. Cette décision va sauver un nombre important d’éléphants arrachés à leurs familles dans la nature et contraints « de passer leurs vies emprisonnés dans des zoos dans des conditions médiocres », s’est félicité Iris Ho, du groupe de protection animale Humane Society International (HSI) à Washington, cité dans le communiqué.
Les éléphants d’Afrique de l’Ouest, du Centre et de l’Est figurent depuis longtemps parmi les espèces protégées, et leur vente avait été interdite, à la différence de ceux d’Afrique australe, moins menacés. Ainsi le Zimbabwe a vendu plus de 100 "bébés éléphants" à des zoos chinois depuis 2010, selon la HSI.
La conférence de l’ONU sur les espèces menacées qui prendra fin le 28 août rassemble des milliers de délégués, de responsables politiques et des experts de la conservation, venus de plus de 180 pays pour y débattre de 56 propositions visant à intensifier la protection accordée aux animaux et aux plantes sauvages.
Créée il y a plus de 40 ans, la CITES fixe les règles du commerce international de plus de 35.000 espèces de faune et de flore sauvages et dispose d’un mécanisme qui lui permet d’imposer des sanctions aux pays réfractaires.
Cette réunion survient après la publication d’un rapport de l’ONU en mai annonçant qu’un million d’espèces étaient menacées de disparaître.
Douze tonnes d’écailles de pangolin et neuf tonnes de défenses d’éléphant d’une valeur d’environ 44 millions d’euros, ont été saisies à Singapour dans des conteneurs venus de la République du Congo. La cargaison avait pour destination le Vietnam, a rapporté mercredi le magazine The Independent.
eaa/bsp/kam
Le but de cette initiative nouvelle est de maintenir les animaux dans leur environnement naturel et de protéger ceux en voie de disparition. Cette décision va sauver un nombre important d’éléphants arrachés à leurs familles dans la nature et contraints « de passer leurs vies emprisonnés dans des zoos dans des conditions médiocres », s’est félicité Iris Ho, du groupe de protection animale Humane Society International (HSI) à Washington, cité dans le communiqué.
Les éléphants d’Afrique de l’Ouest, du Centre et de l’Est figurent depuis longtemps parmi les espèces protégées, et leur vente avait été interdite, à la différence de ceux d’Afrique australe, moins menacés. Ainsi le Zimbabwe a vendu plus de 100 "bébés éléphants" à des zoos chinois depuis 2010, selon la HSI.
La conférence de l’ONU sur les espèces menacées qui prendra fin le 28 août rassemble des milliers de délégués, de responsables politiques et des experts de la conservation, venus de plus de 180 pays pour y débattre de 56 propositions visant à intensifier la protection accordée aux animaux et aux plantes sauvages.
Créée il y a plus de 40 ans, la CITES fixe les règles du commerce international de plus de 35.000 espèces de faune et de flore sauvages et dispose d’un mécanisme qui lui permet d’imposer des sanctions aux pays réfractaires.
Cette réunion survient après la publication d’un rapport de l’ONU en mai annonçant qu’un million d’espèces étaient menacées de disparaître.
Douze tonnes d’écailles de pangolin et neuf tonnes de défenses d’éléphant d’une valeur d’environ 44 millions d’euros, ont été saisies à Singapour dans des conteneurs venus de la République du Congo. La cargaison avait pour destination le Vietnam, a rapporté mercredi le magazine The Independent.
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