Abidjan- La Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEO) a organisé lundi et mardi à Niamey, au Niger, une réunion des acteurs non-étatiques pour réfléchir aux moyens de mettre fin au terrorisme et à l’extrémisme violent dans la région.
Cette rencontre a été organisée en partenariat avec Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ), le Bureau des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel (UNOWAS), ainsi que le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), rapporte un communiqué de presse de la CEDEAO transmis mardi à l’AIP.
Cette rencontre a offert aux acteurs non-étatiques venus des 15 Etats membres de la CEDEAO, auxquels se sont joints ceux du Cameroun, du Tchad et de la Mauritanie, une plateforme de discussions et d’échanges sur les menaces grandissantes que posent le terrorisme, l’extrémisme violent et les affrontements intercommunautaires dans la région du Sahel.
“La menace du terrorisme qui est l’objet de notre réunion aujourd’hui et demain, est un sujet de préoccupation majeure pour nous tous en Afrique de l’Ouest. Notre région est régulièrement la cible d’actes terroristes perpétrés quasi quotidiennement”, a déclaré à la cérémonie d’ouverture, la vice-présidente de la Commission de la CEDEAO, Finda E.M. Koroma.
De son côté, l’adjointe au Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel (UNOWAS), Ruby Sandhu-Rojon, a souligné que sa participation à la réunion témoigne de la solidarité de UNOWAS et de son engagement à mettre fin au fléau du terrorisme dans la région. “Aucun pays, aucun acteur, ne peut à lui seul livrer cette bataille et partant, il nous faut des partenariats encore plus constructifs”, a-t-elle déclaré.
Il est à noter que la réunion des acteurs non-étatiques sera suivie d’une réunion conjointe des chefs d’Etat-major des armées et des chefs des services de Sécurité et de Renseignements sur le terrorisme, prévue mercredi et jeudi à Niamey. Ces deux réunions entrent dans le cadre des préparatifs d’une réunion ministérielle devant se tenir le 12 septembre à Ouagadougou, en prélude à un sommet extraordinaire des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO qui sera consacré à la question du terrorisme, le 14 septembre.
cmas
Cette rencontre a été organisée en partenariat avec Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ), le Bureau des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel (UNOWAS), ainsi que le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), rapporte un communiqué de presse de la CEDEAO transmis mardi à l’AIP.
Cette rencontre a offert aux acteurs non-étatiques venus des 15 Etats membres de la CEDEAO, auxquels se sont joints ceux du Cameroun, du Tchad et de la Mauritanie, une plateforme de discussions et d’échanges sur les menaces grandissantes que posent le terrorisme, l’extrémisme violent et les affrontements intercommunautaires dans la région du Sahel.
“La menace du terrorisme qui est l’objet de notre réunion aujourd’hui et demain, est un sujet de préoccupation majeure pour nous tous en Afrique de l’Ouest. Notre région est régulièrement la cible d’actes terroristes perpétrés quasi quotidiennement”, a déclaré à la cérémonie d’ouverture, la vice-présidente de la Commission de la CEDEAO, Finda E.M. Koroma.
De son côté, l’adjointe au Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel (UNOWAS), Ruby Sandhu-Rojon, a souligné que sa participation à la réunion témoigne de la solidarité de UNOWAS et de son engagement à mettre fin au fléau du terrorisme dans la région. “Aucun pays, aucun acteur, ne peut à lui seul livrer cette bataille et partant, il nous faut des partenariats encore plus constructifs”, a-t-elle déclaré.
Il est à noter que la réunion des acteurs non-étatiques sera suivie d’une réunion conjointe des chefs d’Etat-major des armées et des chefs des services de Sécurité et de Renseignements sur le terrorisme, prévue mercredi et jeudi à Niamey. Ces deux réunions entrent dans le cadre des préparatifs d’une réunion ministérielle devant se tenir le 12 septembre à Ouagadougou, en prélude à un sommet extraordinaire des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO qui sera consacré à la question du terrorisme, le 14 septembre.
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