Abidjan– Le Premier Ministre Amadou Gon Coulibaly, conduira une délégation ivoirienne de haut niveau à Lyon (France), les 9 et 10 octobre 2019, pour participer à la sixième Conférence de reconstitution des ressources du Fonds Mondial. Le Chef du gouvernement ivoirien y représentera le Président de la République, Alassane Ouattara.
Cette 6è Conférence a pour objectif de mobiliser donateurs et pays bénéficiaires, en vue de reconstituer les ressources du Fonds mondial pour le financement de la lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme pour la période 2021-2023.
De 2011 à 2018, la Côte d’Ivoire a fait d’importants efforts en matière d’investissement dans le domaine de la santé. Le budget consacré au secteur est ainsi passé de 105 en 2011 à 415 milliards de FCFA en 2018, soit une hausse d’environ 395,2%.
Le pays a enregistré des progrès importants dans la lutte contre le VIH, grâce aux efforts soutenus de l’ensemble des acteurs de la réponse nationale. En 10 ans, le nombre de nouvelles infections à VIH a chuté, passant de 25.000 en 2009 à 17.000 en 2018. Par ailleurs, le renforcement de la mise sous traitement ARV des personnes vivant avec le VIH a permis d’atteindre 252 127 bénéficiaires en 2018, contre 84 220 en 2010.
L’atteinte des 3x90 (90% des personnes vivant avec le VIH connaissent leur statut sérologique, 90% de toutes les personnes infectées par le VIH dépistées reçoivent un traitement anti rétroviral durable, et 90% des personnes recevant un traitement antirétroviral ont une charge virale durablement supprimée), est un objectif réalisable à l’horizon 2020.
En ce qui concerne la lutte contre la tuberculose, ce sont 21.300 patients tuberculeux, toutes formes confondues, qui ont été dépistés et pris en charge en 2018.
Quant à la lutte contre le paludisme, la prévalence hospitalière pour cette endémie a chuté de 17 points en 4 ans. L’utilisation de la moustiquaire imprégnée à longue durée d’action chez les enfants de moins de 5 ans est passée de 3% en 2010 à 60% en 2018.
Organisée tous les trois ans, la Conférence de reconstitution des ressources du Fonds Mondial rassemble des représentants des gouvernements, de la société civile, du secteur privé et des communautés touchées par les trois pandémies.
Cette 6è Conférence a pour objectif de mobiliser donateurs et pays bénéficiaires, en vue de reconstituer les ressources du Fonds mondial pour le financement de la lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme pour la période 2021-2023.
De 2011 à 2018, la Côte d’Ivoire a fait d’importants efforts en matière d’investissement dans le domaine de la santé. Le budget consacré au secteur est ainsi passé de 105 en 2011 à 415 milliards de FCFA en 2018, soit une hausse d’environ 395,2%.
Le pays a enregistré des progrès importants dans la lutte contre le VIH, grâce aux efforts soutenus de l’ensemble des acteurs de la réponse nationale. En 10 ans, le nombre de nouvelles infections à VIH a chuté, passant de 25.000 en 2009 à 17.000 en 2018. Par ailleurs, le renforcement de la mise sous traitement ARV des personnes vivant avec le VIH a permis d’atteindre 252 127 bénéficiaires en 2018, contre 84 220 en 2010.
L’atteinte des 3x90 (90% des personnes vivant avec le VIH connaissent leur statut sérologique, 90% de toutes les personnes infectées par le VIH dépistées reçoivent un traitement anti rétroviral durable, et 90% des personnes recevant un traitement antirétroviral ont une charge virale durablement supprimée), est un objectif réalisable à l’horizon 2020.
En ce qui concerne la lutte contre la tuberculose, ce sont 21.300 patients tuberculeux, toutes formes confondues, qui ont été dépistés et pris en charge en 2018.
Quant à la lutte contre le paludisme, la prévalence hospitalière pour cette endémie a chuté de 17 points en 4 ans. L’utilisation de la moustiquaire imprégnée à longue durée d’action chez les enfants de moins de 5 ans est passée de 3% en 2010 à 60% en 2018.
Organisée tous les trois ans, la Conférence de reconstitution des ressources du Fonds Mondial rassemble des représentants des gouvernements, de la société civile, du secteur privé et des communautés touchées par les trois pandémies.