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Invité d’honneur de la huitième édition de la CGECI Academy, le Président du Rwanda, Paul Kagamé, a présidé ce lundi 14 octobre la cérémonie d’ouverture du forum annuel des organisations patronales de l’Afrique de l’ouest. C’est en compagnie du Vice-président de Côte d’Ivoire, Daniel Kablan Duncan, que le Président Paul Kagamé a fait son entrée dans la salle palais de congrès du Sofitel Hôtel Ivoire pour l’ouverture officielle de la CGECI Academy 2019.
Le secteur privé de la Côte d’Ivoire est une source d’inspiration de par son dynamisme et sa résilience, ce qui a favorisé la relance économique du pays, voici l’intérêt pour le gouvernement rwandais d’échanger de bonnes pratiques avec la Côte d’Ivoire pour la création d’un secteur industriel robuste au Rwanda.
Selon Paul Kagamé, les pays africains peuvent faire mieux pour financer l’innovation et l’amélioration du climat des affaires dans leur pays. Ce pourquoi, il félicite les ivoiriens pour leur disposition à comprendre l’importance de l’amélioration du climat des affaires. Cela illustre parfaitement la pertinence du choix du thème de cette 8ème édition : « Environnement des affaires : Quel modèle à privilégier pour le développement des entreprises en Afrique ? ».
Le Président rwandais a félicité la CGECI Academy qui par ce rendez-vous offre l’opportunité d’investissement dans les cercles de l’entrepreneuriat et de l’innovation nationaux. Il soutient que les patronats sont bien placés pour mobiliser les communautés d’entrepreneurs partout en Afrique aux fins d’impacter les réformes et l’amélioration du climat des affaires.
« Nous devons parvenir à un stade où nos pays assurent eux-mêmes le financement de leur transformation. Nous devons nous assurer que les jeunes sont équipés par la formation et tirent profit des nouvelles opportunités de la digitalisation du climat des affaires », a déclaré le Président du Rwanda, Paul Kagamé.
Le ministre ivoirien du Commerce, de l’industrie et de la promotion des PME, Diarrassouba Souleymane, a, quant à lui, fait savoir qu’en dépit des performances significatives que connaît l’Afrique ces dernières années, nombreux sont les défis à relever. Il s’agit, entre autres, de la faible contribution de 3% dans le commerce global, la valeur manufacturière mondiale de 2%, l’importance de conditions d’une longue stabilité politique et le besoin de l’usage plus accru des Technologies de l’information et de la communication (TIC).
Dans le contexte de la CGECI Academy, il a réitéré l’engagement du gouvernement à poursuivre les discussions avec le Patronat pour la promotion des champions nationaux. « C’est le secteur privé qui créé la richesse et demeure le moteur de la croissance économique », a-t-il soutenu.
L’innovation de cette huitième édition a été présentée par le président de la CGECI, Jean-Marie Ackah, qui a indiqué que ce sont 750 projets qui ont été analysés pour cette compétition. La CGECI Academy 2019 innove avec quatre sessions dont deux seront consacrées au financement des PME avec 150 intervenants venus de 20 pays différents.
Selon Jean-Marie Ackah, dans 30 ans l’Afrique sera la première force de travail au monde. « Le record mondial des réformes économiques et de l’amélioration du climat des affaires est détenu par l’Afrique subsaharienne », a-t-il souligné.
Notons la participation des organisations patronales du Cameroun, Sénégal, Togo, Cap Vert, Guinée, la CEDEAO, Singapour, Ile Maurice, la France et les Pays-Bas
JOB
Le secteur privé de la Côte d’Ivoire est une source d’inspiration de par son dynamisme et sa résilience, ce qui a favorisé la relance économique du pays, voici l’intérêt pour le gouvernement rwandais d’échanger de bonnes pratiques avec la Côte d’Ivoire pour la création d’un secteur industriel robuste au Rwanda.
Selon Paul Kagamé, les pays africains peuvent faire mieux pour financer l’innovation et l’amélioration du climat des affaires dans leur pays. Ce pourquoi, il félicite les ivoiriens pour leur disposition à comprendre l’importance de l’amélioration du climat des affaires. Cela illustre parfaitement la pertinence du choix du thème de cette 8ème édition : « Environnement des affaires : Quel modèle à privilégier pour le développement des entreprises en Afrique ? ».
Le Président rwandais a félicité la CGECI Academy qui par ce rendez-vous offre l’opportunité d’investissement dans les cercles de l’entrepreneuriat et de l’innovation nationaux. Il soutient que les patronats sont bien placés pour mobiliser les communautés d’entrepreneurs partout en Afrique aux fins d’impacter les réformes et l’amélioration du climat des affaires.
« Nous devons parvenir à un stade où nos pays assurent eux-mêmes le financement de leur transformation. Nous devons nous assurer que les jeunes sont équipés par la formation et tirent profit des nouvelles opportunités de la digitalisation du climat des affaires », a déclaré le Président du Rwanda, Paul Kagamé.
Le ministre ivoirien du Commerce, de l’industrie et de la promotion des PME, Diarrassouba Souleymane, a, quant à lui, fait savoir qu’en dépit des performances significatives que connaît l’Afrique ces dernières années, nombreux sont les défis à relever. Il s’agit, entre autres, de la faible contribution de 3% dans le commerce global, la valeur manufacturière mondiale de 2%, l’importance de conditions d’une longue stabilité politique et le besoin de l’usage plus accru des Technologies de l’information et de la communication (TIC).
Dans le contexte de la CGECI Academy, il a réitéré l’engagement du gouvernement à poursuivre les discussions avec le Patronat pour la promotion des champions nationaux. « C’est le secteur privé qui créé la richesse et demeure le moteur de la croissance économique », a-t-il soutenu.
L’innovation de cette huitième édition a été présentée par le président de la CGECI, Jean-Marie Ackah, qui a indiqué que ce sont 750 projets qui ont été analysés pour cette compétition. La CGECI Academy 2019 innove avec quatre sessions dont deux seront consacrées au financement des PME avec 150 intervenants venus de 20 pays différents.
Selon Jean-Marie Ackah, dans 30 ans l’Afrique sera la première force de travail au monde. « Le record mondial des réformes économiques et de l’amélioration du climat des affaires est détenu par l’Afrique subsaharienne », a-t-il souligné.
Notons la participation des organisations patronales du Cameroun, Sénégal, Togo, Cap Vert, Guinée, la CEDEAO, Singapour, Ile Maurice, la France et les Pays-Bas
JOB
