Parler de sites et curiosités, c’est parler du patrimoine matériel et immatériel d’un pays. En la matière, la Côte d’Ivoire peut se targuer d’en être bien doté. Et ce ne sont pas les tour-opérateurs et journalistes brésiliens qui diront le contraire.
En effet, ces derniers découvrent avec étonnement les merveilles du pays étape par étape comme un livre que l’on feuillette à travers un circuit qui les conduit d’Abidjan à Bouaké en passant par Grand- Bassam, Yamoussoukro, Tiébissou, Tanou Sakassou .
Tenez, à la première station de leur périple le mardi 22 octobre, ils ont fait connaissance avec le domaine Bini, un espace de 70 hectares qui se déploie comme un kaléidoscope de merveilles composé de plantations de diverses cultures de rentes favorisant les randonnées pédestres. Ce qui a fait dire à Marcia Sanchez, journaliste « que la Côte d’ivoire est comme le Brésil. »
Mais ce n’est pas tout : ils ont pu se faire une idée, en ces lieux, de la variété de l’art culinaire ivoirien. Poursuivant le voyage, la délégation a mis le cap sur Yamoussoukro sur les traces de « la Basilique Notre Dame de la paix. »
Et là, les hôtes de la Côte d’Ivoire « en ont pris pour leur grade ». Ils ont découvert de leurs propres yeux ladite Basilique dont ils ont entendu parler. « Nous n’imaginions pas qu’elle est si gigantesque. » Confia Sauanne, un tour-opérateur du groupe.
Tout le reste de la visite fut un assemblage d’émotions que le cliquetis des appareils photos et du drone des journalistes a servi à immortaliser. Chacun, à qui mieux mieux, voulait découvrir les différents compartiments de ce gigantesque amas de pierre et de béton qui domine la savane arborée. Elle s’est terminée à leur corps défendant.
Ayant expérimenté le sens de la vie communautaire des ivoiriens à Bomizambo et leur penchant naturel à l’accueil, la délégation brésilienne friande de culture et d’art a effectué une visite aux potiers de Tanou Sakassou près de Bouaké.
A la vue de ces virtuoses de l’argile pétrifiée, ils n’ont pas pu s’empêcher de mettre la main à la pâte sous les ovations d’un public spontanément accouru.
Autre lieu, même ferveur : Waraniéné. En guise d’apothéose, toute la délégation s’est jetée dans l’arène au son du boloye après les explications y afférentes.
Au total, aux dires des brésiliens, les sites et curiosités touristiques de la Côte d’Ivoire sont immenses ; il faut pour cela que les agences ivoiriennes mettent un point d’honneur à composer des circuits vendables en mettant l’accent sur l’authenticité, le sacré et la foi catholique vu que le brésil est en majorité composé de chrétiens catholiques.
En effet, ces derniers découvrent avec étonnement les merveilles du pays étape par étape comme un livre que l’on feuillette à travers un circuit qui les conduit d’Abidjan à Bouaké en passant par Grand- Bassam, Yamoussoukro, Tiébissou, Tanou Sakassou .
Tenez, à la première station de leur périple le mardi 22 octobre, ils ont fait connaissance avec le domaine Bini, un espace de 70 hectares qui se déploie comme un kaléidoscope de merveilles composé de plantations de diverses cultures de rentes favorisant les randonnées pédestres. Ce qui a fait dire à Marcia Sanchez, journaliste « que la Côte d’ivoire est comme le Brésil. »
Mais ce n’est pas tout : ils ont pu se faire une idée, en ces lieux, de la variété de l’art culinaire ivoirien. Poursuivant le voyage, la délégation a mis le cap sur Yamoussoukro sur les traces de « la Basilique Notre Dame de la paix. »
Et là, les hôtes de la Côte d’Ivoire « en ont pris pour leur grade ». Ils ont découvert de leurs propres yeux ladite Basilique dont ils ont entendu parler. « Nous n’imaginions pas qu’elle est si gigantesque. » Confia Sauanne, un tour-opérateur du groupe.
Tout le reste de la visite fut un assemblage d’émotions que le cliquetis des appareils photos et du drone des journalistes a servi à immortaliser. Chacun, à qui mieux mieux, voulait découvrir les différents compartiments de ce gigantesque amas de pierre et de béton qui domine la savane arborée. Elle s’est terminée à leur corps défendant.
Ayant expérimenté le sens de la vie communautaire des ivoiriens à Bomizambo et leur penchant naturel à l’accueil, la délégation brésilienne friande de culture et d’art a effectué une visite aux potiers de Tanou Sakassou près de Bouaké.
A la vue de ces virtuoses de l’argile pétrifiée, ils n’ont pas pu s’empêcher de mettre la main à la pâte sous les ovations d’un public spontanément accouru.
Autre lieu, même ferveur : Waraniéné. En guise d’apothéose, toute la délégation s’est jetée dans l’arène au son du boloye après les explications y afférentes.
Au total, aux dires des brésiliens, les sites et curiosités touristiques de la Côte d’Ivoire sont immenses ; il faut pour cela que les agences ivoiriennes mettent un point d’honneur à composer des circuits vendables en mettant l’accent sur l’authenticité, le sacré et la foi catholique vu que le brésil est en majorité composé de chrétiens catholiques.