Du 29 au 31 Octobre 2019, se tient à Monaco en France, la 108ème rencontre de l’Organisation internationale de la Francophonie, en abrégé O.I.F. Dans son attache-case, SEM Amadou Soumahoro, président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire et par ailleurs président de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF) emporte des propositions innovantes qui vont faire rayonner d’un éclat nouveau l’Organisation internationale de la Francophonie.
A peine rentré de Paris il y a quelques petits jours en arrière où il y était en raison de la Pléiade et de la remise du Prix Senghor-Césaire de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie au Palais Bourbon, siège de l’Assemblée nationale française, aux six (6) récipiendaires de cette année, le devoir appelle de nouveau SEM Amadou Soumahoro à Monaco en France. Il va donc prendre part aux deux activités principales de l’OIF : la Conférence ministérielle de la Francophonie (CMF) et au Conseil permanent de la Francophonie (CPF). Des journées bien chargées pour le président de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, Amadou Soumahoro, qui est un habitué des réunions interminables qui ne laissent aucun temps de répit aux participants et officiels du rang et de la qualité de ‘’Tchomba’’.
De la Conférence ministérielle de la Francophonie (CMF), il faut retenir qu’elle fait partie des trois instances consacrées par la Charte de la Francophonie en son article 2 avec le sommet et le Conseil permanent de la Francophonie (CPF). C’est la CMF qui assure la continuité politique du Sommet de la Francophonie. Elle est composée des Etats et des gouvernements membres de l’OIF, ainsi que les pays observateurs qui y sont représentés par leur ministre. La CMF se réunit une fois par an. Sa prochaine rencontre, la 36ème édition est celle qui est prévue à cet effet du 29 au 31 Octobre 2019 à Monaco en France et à laquelle prend part l’Ivoirien Amadou Soumahoro.
Quant au Conseil permanent de la Francophonie, CPF, il est l’instance chargée de la préparation et du suivi du Sommet, sous l’autorité de la Conférence ministérielle. Il est à la fois animateur, coordonnateur et arbitre de l’action de l’Organisation. Présidé par la Secrétaire générale de la Francophonie, il se prononce sur ses propositions et le soutient dans l’exercice de ses fonctions. Il est composé des représentants personnels des Chefs d’Etat ou de gouvernement participant aux Sommets. Il est à rappeler que le CPF se réunit plusieurs fois par an en session ordinaire et en cas de besoin, en session extraordinaire, notamment lorsqu’une crise touche l’un des pays membres. La 108ème rencontre se tient du 29 au 31 Octobre 2019 à Monaco en France. Et l’homme de mission et de devoir, ‘’Tchomba’’, va prendre part pour la première fois à ces deux activités très importantes de l’Organisation internationale de la Francophonie. Comme le 17 Octobre 2019 à la Questure de l’Assemblée nationale française pour la remise du Prix Senghor-Césaire de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, le discours de ‘’Tchomba’’ est très attendu pour des propositions et suggestions innovantes qui vont booster la vie de l’OIF. Et il s’est préparé en conséquence, pour faire encore entendre la voix de la Côte d’Ivoire et du gouvernement ivoirien. Comme il sait toujours le faire, d’ailleurs.
Igor Wawayou.
A peine rentré de Paris il y a quelques petits jours en arrière où il y était en raison de la Pléiade et de la remise du Prix Senghor-Césaire de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie au Palais Bourbon, siège de l’Assemblée nationale française, aux six (6) récipiendaires de cette année, le devoir appelle de nouveau SEM Amadou Soumahoro à Monaco en France. Il va donc prendre part aux deux activités principales de l’OIF : la Conférence ministérielle de la Francophonie (CMF) et au Conseil permanent de la Francophonie (CPF). Des journées bien chargées pour le président de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, Amadou Soumahoro, qui est un habitué des réunions interminables qui ne laissent aucun temps de répit aux participants et officiels du rang et de la qualité de ‘’Tchomba’’.
De la Conférence ministérielle de la Francophonie (CMF), il faut retenir qu’elle fait partie des trois instances consacrées par la Charte de la Francophonie en son article 2 avec le sommet et le Conseil permanent de la Francophonie (CPF). C’est la CMF qui assure la continuité politique du Sommet de la Francophonie. Elle est composée des Etats et des gouvernements membres de l’OIF, ainsi que les pays observateurs qui y sont représentés par leur ministre. La CMF se réunit une fois par an. Sa prochaine rencontre, la 36ème édition est celle qui est prévue à cet effet du 29 au 31 Octobre 2019 à Monaco en France et à laquelle prend part l’Ivoirien Amadou Soumahoro.
Quant au Conseil permanent de la Francophonie, CPF, il est l’instance chargée de la préparation et du suivi du Sommet, sous l’autorité de la Conférence ministérielle. Il est à la fois animateur, coordonnateur et arbitre de l’action de l’Organisation. Présidé par la Secrétaire générale de la Francophonie, il se prononce sur ses propositions et le soutient dans l’exercice de ses fonctions. Il est composé des représentants personnels des Chefs d’Etat ou de gouvernement participant aux Sommets. Il est à rappeler que le CPF se réunit plusieurs fois par an en session ordinaire et en cas de besoin, en session extraordinaire, notamment lorsqu’une crise touche l’un des pays membres. La 108ème rencontre se tient du 29 au 31 Octobre 2019 à Monaco en France. Et l’homme de mission et de devoir, ‘’Tchomba’’, va prendre part pour la première fois à ces deux activités très importantes de l’Organisation internationale de la Francophonie. Comme le 17 Octobre 2019 à la Questure de l’Assemblée nationale française pour la remise du Prix Senghor-Césaire de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, le discours de ‘’Tchomba’’ est très attendu pour des propositions et suggestions innovantes qui vont booster la vie de l’OIF. Et il s’est préparé en conséquence, pour faire encore entendre la voix de la Côte d’Ivoire et du gouvernement ivoirien. Comme il sait toujours le faire, d’ailleurs.
Igor Wawayou.
