Le collectif de la société civile contre les viols a organisé, ce mercredi 30 octobre 2019, une marche de protestation face à la récurrence des cas de violences notamment les cas de viol sur les enfants mineurs en Côte d’Ivoire.
Du palais de justice à la tour E de la cité administrative ou loge le ministère de la femme, de la famille et de l’enfant, les marcheurs ont scandé leur ras-le-bol avec des slogans et des pancartes. Sur ou on pouvait lire : ‘’Stop aux viols de nos enfants’’, ‘’Justice pour Grace’’ (une petite fille décédée suite à un viol, ndlr), ‘’Parents, votre silence tue’’, ‘’Procureur Adou Richard, tu ne vois pas ?’’, ‘’Ne laissons pas mourir nos enfants’’…
Après les conférences de presse dans les bureaux, la société civile a décidé de se faire entendre par des actions de protestation et d’interpellation pour prendre à temoin l’opinion nationale et internationale, le Gouvernement, les autorités judiciaires, les parents et la population sur cette situation de plus en plus inquiétante.
Pour Zamblé Georgette, présidente de Lead Africaines, « Trop, c’est trop », « des mesures et des actions doivent être prises pour mettre un terme à ce phénomène qui met en danger l’épanouissement des enfants. »
Jusqu’à ce jour, 6 cas de viols ont été déclarés et décriés auprès de la société civile. Toutefois, une étude statistique, qui sera disponible dans les semaines à venir, est en cours afin de déterminer l’ampleur, note-t-on.
Du palais de justice à la tour E de la cité administrative ou loge le ministère de la femme, de la famille et de l’enfant, les marcheurs ont scandé leur ras-le-bol avec des slogans et des pancartes. Sur ou on pouvait lire : ‘’Stop aux viols de nos enfants’’, ‘’Justice pour Grace’’ (une petite fille décédée suite à un viol, ndlr), ‘’Parents, votre silence tue’’, ‘’Procureur Adou Richard, tu ne vois pas ?’’, ‘’Ne laissons pas mourir nos enfants’’…
Après les conférences de presse dans les bureaux, la société civile a décidé de se faire entendre par des actions de protestation et d’interpellation pour prendre à temoin l’opinion nationale et internationale, le Gouvernement, les autorités judiciaires, les parents et la population sur cette situation de plus en plus inquiétante.
Pour Zamblé Georgette, présidente de Lead Africaines, « Trop, c’est trop », « des mesures et des actions doivent être prises pour mettre un terme à ce phénomène qui met en danger l’épanouissement des enfants. »
Jusqu’à ce jour, 6 cas de viols ont été déclarés et décriés auprès de la société civile. Toutefois, une étude statistique, qui sera disponible dans les semaines à venir, est en cours afin de déterminer l’ampleur, note-t-on.