Voilà un parti politique, qui vous donne un mal de tête horrible, rien qu’en pensant à ses pratiques de débauchage et de chantage. Il trouble les consciences de ceux qui veulent encore garder des valeurs morales. La chute des valeurs qu’il inocule dans l’environnement politique suit celle des hommes. C’est un poison subversif de l’ordre social qui est parvenu à dresser une clôture entre lui et le peuple. Cela décrit assez bien la situation actuelle : Les ivoiriens ne veulent plus d’un régime corrompu qui les a méthodiquement méprisés et humiliés. Ouattara et ce qu’il en reste de son pouvoir ne peut plus s’imposer aux ivoiriens comme il l’a fait depuis sa prise de fonction calamiteuse en 2011.
La communauté internationale avec l’aide de certains compatriotes a mené, pour porter Ouattara au pouvoir, dans ce pays, une guerre erronée, fondée sur des présomptions, ignorant les aspirations légitimes du peuple, sapant leur crédibilité et rendant le pays plus dangereux. Malheureusement, en arrivant à la tête de l’Etat, il a manqué de clairvoyance en parvenant à se mettre à dos tous ses anciens alliés. En attendant sa fin inévitable dans moins d’un an, ce pouvoir moribond déploie sa capacité de nuisance sans tenir compte des règles. Les ivoiriens sont prêt à travailler dur si on leur en donne l’occasion. Leur détermination, leur indépendance, leur optimisme inébranlable face aux épreuves, l’audace de croire malgré toutes les épreuves du contraire.
Le pouvoir a choisi la menace pour justifier ses échecs à mener à bien le processus de réconciliation nationale. Il accuse ses opposants d’entretenir la haine entre population. Alors que lui s’est fait le chantre d’une catégorie d’ivoiriens au détriment d’une autre. Il n’incarne pas contrairement à la litanie qu’il s’évertue à vendre, la paix et la stabilité. Sous cette fausse apparence de calme, le feu couve. La Côte d’Ivoire on ne le dira jamais assez à mal au tribaliste exacerbé, à la dérive autoritaire que lui a imposé Ouattara et son régime Rdr devenu Rhdp. La corruption du régime est si grande que les religieux tirent la sonnette d’alarme. Dans cette bataille finale, le pouvoir compte exacerber le désordre moral qu’il a longtemps instillé, par ses discours et actes. Le suicide du pouvoir Rhdp est peut-être bruyant, violent, long, lent, au point que d’autres ne le perçoivent pas, mais cela reste un suicide. Car du côté des thuriféraires du régime on pense pouvoir organiser une énième élection sans le peuple, d’où la fameuse expression, « 2020, c’est bouclé, c’est géré », alors que du côté des populations on veut un futur sans ces malfrats à la tête de l’Etat.
Michel Beta
La communauté internationale avec l’aide de certains compatriotes a mené, pour porter Ouattara au pouvoir, dans ce pays, une guerre erronée, fondée sur des présomptions, ignorant les aspirations légitimes du peuple, sapant leur crédibilité et rendant le pays plus dangereux. Malheureusement, en arrivant à la tête de l’Etat, il a manqué de clairvoyance en parvenant à se mettre à dos tous ses anciens alliés. En attendant sa fin inévitable dans moins d’un an, ce pouvoir moribond déploie sa capacité de nuisance sans tenir compte des règles. Les ivoiriens sont prêt à travailler dur si on leur en donne l’occasion. Leur détermination, leur indépendance, leur optimisme inébranlable face aux épreuves, l’audace de croire malgré toutes les épreuves du contraire.
Le pouvoir a choisi la menace pour justifier ses échecs à mener à bien le processus de réconciliation nationale. Il accuse ses opposants d’entretenir la haine entre population. Alors que lui s’est fait le chantre d’une catégorie d’ivoiriens au détriment d’une autre. Il n’incarne pas contrairement à la litanie qu’il s’évertue à vendre, la paix et la stabilité. Sous cette fausse apparence de calme, le feu couve. La Côte d’Ivoire on ne le dira jamais assez à mal au tribaliste exacerbé, à la dérive autoritaire que lui a imposé Ouattara et son régime Rdr devenu Rhdp. La corruption du régime est si grande que les religieux tirent la sonnette d’alarme. Dans cette bataille finale, le pouvoir compte exacerber le désordre moral qu’il a longtemps instillé, par ses discours et actes. Le suicide du pouvoir Rhdp est peut-être bruyant, violent, long, lent, au point que d’autres ne le perçoivent pas, mais cela reste un suicide. Car du côté des thuriféraires du régime on pense pouvoir organiser une énième élection sans le peuple, d’où la fameuse expression, « 2020, c’est bouclé, c’est géré », alors que du côté des populations on veut un futur sans ces malfrats à la tête de l’Etat.
Michel Beta