Alassane Ouattara va-t-il procéder à une réforme de la Constitution ivoirienne à quelques mois des prochaines élections présidentielles en Côte d’Ivoire ? La question revient dans les débats. En tout cas, si l’on en croit Jeune Afrique, dans sa dernière édition sur le marché depuis ce dimanche 24 novembre 2019, la question est encore sur la table du gouvernement. Elle aurait même été évoquée, lors du Conseil des ministres tenu le 6 novembre dernier.
A en croire les confidences du bi-hebdomadaire panafricain, le président ivoirien aurait laissé entendre à ce Conseil qu’il mènerait jusqu’à son terme la réforme constitutionnelle qu’il a annoncé.
Lors d’un entretien avec la télévision ivoirienne, le 6 août dernier, à la veille de la célébration du 59è anniversaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara avait affiché sa volonté d’apporter des retouches à la Constitution de novembre 2016. Il avait laissé entrevoir la possibilité d’introduire des dispositions pour les vétérans de la vie politique ivoirienne. Ce qui avait laissé libre cours à des commentaire sur un possible retour de la limite d’âge. Un projet qui éliminerait de facto tous les anciens présidents de la République, notamment ses adversaires Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo aux aguets, y compris le président sortant lui-même qui milite déjà pour le passage du flambeau à une nouvelle génération.
Selon Jeune Afrique, la réintrodution d’une limite d’âge de 75 ans pour pouvoir briguer le fauteuil présidentiel est à nouveau évoquée dans les couloirs du Palais d’Abidjan.
Outre cette disposition, d’autres discussions tourneraient autour d’un scrutin à un tour et la suppression du ticket instauré en 2016 et comportant un candidat et son collistier. Ces dernières propositions ne plairiaient pas au Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly, qui ferait parti des personnalités sur qui s’appuie le chef de l’Etat dans ses réflexions. L’actuel chef du gouvernement ivoirien, fait-il le souligner, figure en bonne position des noms cités pour prétendre à la succession d’Alassane Ouattara à l’élection présidentielle d’octobre prochain. Pour le moment rien n’aura encore été décidé, et le président de la République poursuivrait ses réflexions avec de proches collaborateurs comme le ministre Cissé Bacongo, son Conseiller juridique, mais aussi son cadet Téné Birahima et d’autres personnalités telles le ministre de la Justice, Sansan Kambilé ou le ministre d’Etat, ministre de la Défense, Hamed Bakayoko.
F.D.B
A en croire les confidences du bi-hebdomadaire panafricain, le président ivoirien aurait laissé entendre à ce Conseil qu’il mènerait jusqu’à son terme la réforme constitutionnelle qu’il a annoncé.
Lors d’un entretien avec la télévision ivoirienne, le 6 août dernier, à la veille de la célébration du 59è anniversaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara avait affiché sa volonté d’apporter des retouches à la Constitution de novembre 2016. Il avait laissé entrevoir la possibilité d’introduire des dispositions pour les vétérans de la vie politique ivoirienne. Ce qui avait laissé libre cours à des commentaire sur un possible retour de la limite d’âge. Un projet qui éliminerait de facto tous les anciens présidents de la République, notamment ses adversaires Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo aux aguets, y compris le président sortant lui-même qui milite déjà pour le passage du flambeau à une nouvelle génération.
Selon Jeune Afrique, la réintrodution d’une limite d’âge de 75 ans pour pouvoir briguer le fauteuil présidentiel est à nouveau évoquée dans les couloirs du Palais d’Abidjan.
Outre cette disposition, d’autres discussions tourneraient autour d’un scrutin à un tour et la suppression du ticket instauré en 2016 et comportant un candidat et son collistier. Ces dernières propositions ne plairiaient pas au Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly, qui ferait parti des personnalités sur qui s’appuie le chef de l’Etat dans ses réflexions. L’actuel chef du gouvernement ivoirien, fait-il le souligner, figure en bonne position des noms cités pour prétendre à la succession d’Alassane Ouattara à l’élection présidentielle d’octobre prochain. Pour le moment rien n’aura encore été décidé, et le président de la République poursuivrait ses réflexions avec de proches collaborateurs comme le ministre Cissé Bacongo, son Conseiller juridique, mais aussi son cadet Téné Birahima et d’autres personnalités telles le ministre de la Justice, Sansan Kambilé ou le ministre d’Etat, ministre de la Défense, Hamed Bakayoko.
F.D.B