Les acteurs de l'écosystème entrepreneurial ivoirien étaient réunis ce mercredi 27 novembre 2019 à Abidjan pour mettre en lumière les problématiques rencontrées lors de la création d'entreprise. En effet, plusieurs entreprises naissent mais très peu passent le seuil de 3 ans.
Yasmine et Armel sont deux jeunes entrepreneurs ivoiriens qui ont développé un projet visant à désengorger les voies afin d'éviter les embouteillages. Après avoir participé à plusieurs compétitions dont African digital où leur projet a reçu des promesses de financement, peu de temps plus tard, rien. Et c'est la routine. A partir de leur déception exprimée, le panel composé d'investisseur, incubateur, d'accélérateur et d'entrepreneur, a tenté de traiter cette problématique.
Pour les investisseurs, les entreprises manquent très souvent de structuration et d'une organisation qui ne répond pas à celle d'une entreprise. « Avant d'investir, l'investisseur regarde la capacité de l'entrepreneur sur plusieurs axes. Entre autres sa capacité intellectuelle, son niveau de formation, sa plus-value etc. On investit que lorsque l'entreprise a atteint un seuil ou a démontré ses capacités et que ses ressources propre ne lui permettent plus d'avancer. Car on investit pour gagner en retour » a-t-il élucidé.
Du coté des entrepreneurs, les investisseurs manquent parfois de sérieux dans l'accompagnent des projets. Au risque de tenter de détourner le projet, c'est au compte goûte que le financement est fait lorsque le projet rempli les conditions.
L'un dans l'autre, Smile Côte d'ivoire, qui les avait conviés, a présenté sa nouvelle solution qui est " le laboratoire d'innovation". Selon Anne Philippe, responsable marketing et communication, C'est un accélérateur qui vise à financer 2 à 3 entreprises par saison accompagné d'un suivi ( business, management, marketing, produit, technique) de sa création jusqu'au seuil de 3ans. Les inscriptions qui seront ouvertes à partir de mars 2020, concernent tout type de projet Africain. Les meilleurs seront retenus et selon l'évolution, le nombre de projet à accompagner pourra croître » a-t-elle précisé.
Patrick Kouassi, Directeur Général Smile côte d'Ivoire, a pignon sur rue en création d'entreprise. 15 entreprises montées, 7 tiennent la route. C'est la somme de toutes ces expériences qui seront transmises.
Atapointe
Yasmine et Armel sont deux jeunes entrepreneurs ivoiriens qui ont développé un projet visant à désengorger les voies afin d'éviter les embouteillages. Après avoir participé à plusieurs compétitions dont African digital où leur projet a reçu des promesses de financement, peu de temps plus tard, rien. Et c'est la routine. A partir de leur déception exprimée, le panel composé d'investisseur, incubateur, d'accélérateur et d'entrepreneur, a tenté de traiter cette problématique.
Pour les investisseurs, les entreprises manquent très souvent de structuration et d'une organisation qui ne répond pas à celle d'une entreprise. « Avant d'investir, l'investisseur regarde la capacité de l'entrepreneur sur plusieurs axes. Entre autres sa capacité intellectuelle, son niveau de formation, sa plus-value etc. On investit que lorsque l'entreprise a atteint un seuil ou a démontré ses capacités et que ses ressources propre ne lui permettent plus d'avancer. Car on investit pour gagner en retour » a-t-il élucidé.
Du coté des entrepreneurs, les investisseurs manquent parfois de sérieux dans l'accompagnent des projets. Au risque de tenter de détourner le projet, c'est au compte goûte que le financement est fait lorsque le projet rempli les conditions.
L'un dans l'autre, Smile Côte d'ivoire, qui les avait conviés, a présenté sa nouvelle solution qui est " le laboratoire d'innovation". Selon Anne Philippe, responsable marketing et communication, C'est un accélérateur qui vise à financer 2 à 3 entreprises par saison accompagné d'un suivi ( business, management, marketing, produit, technique) de sa création jusqu'au seuil de 3ans. Les inscriptions qui seront ouvertes à partir de mars 2020, concernent tout type de projet Africain. Les meilleurs seront retenus et selon l'évolution, le nombre de projet à accompagner pourra croître » a-t-elle précisé.
Patrick Kouassi, Directeur Général Smile côte d'Ivoire, a pignon sur rue en création d'entreprise. 15 entreprises montées, 7 tiennent la route. C'est la somme de toutes ces expériences qui seront transmises.
Atapointe