Katiola - Le Président de la République, Alassane Ouattara a souligné samedi à Katiola, que des mesures ont été prises par le gouvernement, en vue d’améliorer les prix bord champ de l’anacarde et du coton.
« J’ai instruit le gouvernement de trouver des solutions pour améliorer le prix d’achat à nos parents paysans », a déclaré le Chef de l’Etat.
A cet effet, il a précisé que le Conseil du coton-anacarde et le Groupement des exportateurs des produits agricoles (GEPPA) ont procédé à l’enlèvement de 200 000 tonnes de noix de cajou au prix de 375 FCFA par kilogramme fixé par le gouvernement.
Le chef de l’Etat a, en outre, souligné qu’il a été procédé à une compensation de la baisse des cours de l’anacarde par un prix rémunérateur du coton. Et ce, par une subvention de 21 milliards F CFA par l’Etat, pour la campagne 2019. Les deux produits, a-t-il expliqué partagent la même aire géographique.
Par ailleurs, le gouvernement a été instruit de mettre un accent particulier sur la transformation locale de l’anacarde et des autres produits, en vue de garantir de meilleurs revenus aux producteurs, en réduisant l’exportation de noix brutes, peu valorisées.
Lors de sa visite d’Etat du 27 au 30 novembre dans le Hambol, l’une des principales doléances des populations étaient la question d’un prix rémunérateur de la noix de cajou, une culture phare de la région.
bsp/kam
« J’ai instruit le gouvernement de trouver des solutions pour améliorer le prix d’achat à nos parents paysans », a déclaré le Chef de l’Etat.
A cet effet, il a précisé que le Conseil du coton-anacarde et le Groupement des exportateurs des produits agricoles (GEPPA) ont procédé à l’enlèvement de 200 000 tonnes de noix de cajou au prix de 375 FCFA par kilogramme fixé par le gouvernement.
Le chef de l’Etat a, en outre, souligné qu’il a été procédé à une compensation de la baisse des cours de l’anacarde par un prix rémunérateur du coton. Et ce, par une subvention de 21 milliards F CFA par l’Etat, pour la campagne 2019. Les deux produits, a-t-il expliqué partagent la même aire géographique.
Par ailleurs, le gouvernement a été instruit de mettre un accent particulier sur la transformation locale de l’anacarde et des autres produits, en vue de garantir de meilleurs revenus aux producteurs, en réduisant l’exportation de noix brutes, peu valorisées.
Lors de sa visite d’Etat du 27 au 30 novembre dans le Hambol, l’une des principales doléances des populations étaient la question d’un prix rémunérateur de la noix de cajou, une culture phare de la région.
bsp/kam