Abidjan - Des ex-migrants et professionnels des médias ont été formés de vendredi à dimanche en photojournalisme, une initiative conjointe de l'Union européenne (UE) et l’Organisation internationale pour les migrations (OIM).
Pendant trois jours, les apprenants ont eu droit à des cours théoriques et pratiques de photographie, notamment la connaissance de l’image et de l’appareil, l’analyse des photos à partir de projections et les prises de vue sur le terrain.
« Nous voudrions, au terme de la formation, amener les apprenants à avoir une vision du monde à travers la photographie. Une autre manière de le regarder et de partager son quotidien de sorte à impacter leur milieu », a fait savoir le formateur, Reza Déghati, un photographe professionnel et humanitaire venu de Paris.
Selon la porte-parole l'OIM, Florence Kim, cette formation est un projet pilote pour donner une autre image de la migration et de renouveler l’approche que l'on en a.
« Les journalistes utiliseront les mots et les migrants, leur histoire. Deux aspects qui se complètent pour donner une image plus reluisante au phénomène », a laissé entendre Mme Kim, précisant que les résultats des travaux feront l’objet d'une exposition.
Plus de 60 migrants africains sont morts noyés, vendredi, au large de la Mauritanie en tentant de gagner l'Europe, a révélé l'OIM.
(AIP)
bsb/cmas
Pendant trois jours, les apprenants ont eu droit à des cours théoriques et pratiques de photographie, notamment la connaissance de l’image et de l’appareil, l’analyse des photos à partir de projections et les prises de vue sur le terrain.
« Nous voudrions, au terme de la formation, amener les apprenants à avoir une vision du monde à travers la photographie. Une autre manière de le regarder et de partager son quotidien de sorte à impacter leur milieu », a fait savoir le formateur, Reza Déghati, un photographe professionnel et humanitaire venu de Paris.
Selon la porte-parole l'OIM, Florence Kim, cette formation est un projet pilote pour donner une autre image de la migration et de renouveler l’approche que l'on en a.
« Les journalistes utiliseront les mots et les migrants, leur histoire. Deux aspects qui se complètent pour donner une image plus reluisante au phénomène », a laissé entendre Mme Kim, précisant que les résultats des travaux feront l’objet d'une exposition.
Plus de 60 migrants africains sont morts noyés, vendredi, au large de la Mauritanie en tentant de gagner l'Europe, a révélé l'OIM.
(AIP)
bsb/cmas