C’est officiel. Le premier Ministre Amadou Gon Coulibaly procèdera ce vendredi dans l’enceinte de la Mairie d’Abobo, à l’extension du projet filets sociaux productifs à 75 000 nouveaux ménages. Cette extension va porter ainsi les bénéficiaires à 125 000 ménages.
Cet important projet est une composante du programme social du Gouvernement (PSGOUV) conformément à la volonté du Chef de l’Etat, Alassane Ouattara de réduire de manière significative la pauvreté en Cote d’Ivoire. L’initiative du gouvernement s’inscrit également dans le cadre de la redistribution des fruits de la croissance.
Dans le cadre de la mise en œuvre de ce chantier de lutte contre la pauvreté, les travaux préparatoires de la nouvelle phase ont été conduits par le Ministère de la Solidarité, de la Cohésion Sociale et de la Lutte contre la pauvreté sous le leadership de son premier responsable, le Professeur Mariatou Koné. Pour cette nouvelle phase, 55 000 ménages du milieu rural seront pris en compte contre 20 000 du milieu urbain. Soit un total de 75 000 ménages cités parmi les plus pauvres.
Le projet Filets Sociaux Productifs a bénéficié en octobre 2015 d’un financement de la Banque Mondiale à hauteur de 29,5 milliards de F CFA. Le projet consiste en l’octroi de transferts monétaires non-remboursables pour un montant de 36 000 F CFA tous les trois (03) mois, soit 144 000 F CFA par an, sur trois ans. Le mécanisme de paiement utilisé est le paiement électronique au moyen des téléphones portables qui sont offerts gratuitement aux récipiendaires des ménages vulnérables concernés.
Les objectifs visés sont entre autres, l’amélioration du niveau de consommation (tant du point de vue de l’alimentation que de l’accès aux services sociaux de base) des ménages ciblés parmi les plus pauvres, la facilitation de la mise en place d’une base de données pour l’identification des ménages plus fragiles dans le cadre de la mise en œuvre des programmes de lutte contre la pauvreté.
Aussi, le développement autour des transferts monétaires au profit des ménages bénéficiaires, des mesures d’accompagnement axées sur les pratiques familiales essentielles et, surtout, les Activités génératrices de revenus (AGR), y compris l’accès au marché.
Pour rappel, 50 000 premiers ménages touchés sont repartis dans 882 villages et 16 régions de la Côte d’Ivoire.
Les ménages bénéficiaires de ce projet sont sélectionnés principalement sur la base du niveau de pauvreté fourni par les statistiques officielles de l’Enquête niveau vie des ménages (ENV). Ensuite, la conduite d’une enquête auprès des ménages, à travers des questions sur leurs conditions de vie et d’accès aux services sociaux de base. Ce qui permet d’attribuer un nombre de points à chacun et de procéder à un classement des plus pauvres au moins pauvres.
Enfin, la vérification et la validation de la liste des ménages issue de l’enquête, avec les communautés elles-mêmes, ainsi que le corps préfectoral. Ce qui leur permet de retirer ceux des leurs qui ne remplissent pas les conditions et d’ajouter des ménages plus nécessiteux éventuellement omis et qui sont plus faibles économiquement.
A.N
Cet important projet est une composante du programme social du Gouvernement (PSGOUV) conformément à la volonté du Chef de l’Etat, Alassane Ouattara de réduire de manière significative la pauvreté en Cote d’Ivoire. L’initiative du gouvernement s’inscrit également dans le cadre de la redistribution des fruits de la croissance.
Dans le cadre de la mise en œuvre de ce chantier de lutte contre la pauvreté, les travaux préparatoires de la nouvelle phase ont été conduits par le Ministère de la Solidarité, de la Cohésion Sociale et de la Lutte contre la pauvreté sous le leadership de son premier responsable, le Professeur Mariatou Koné. Pour cette nouvelle phase, 55 000 ménages du milieu rural seront pris en compte contre 20 000 du milieu urbain. Soit un total de 75 000 ménages cités parmi les plus pauvres.
Le projet Filets Sociaux Productifs a bénéficié en octobre 2015 d’un financement de la Banque Mondiale à hauteur de 29,5 milliards de F CFA. Le projet consiste en l’octroi de transferts monétaires non-remboursables pour un montant de 36 000 F CFA tous les trois (03) mois, soit 144 000 F CFA par an, sur trois ans. Le mécanisme de paiement utilisé est le paiement électronique au moyen des téléphones portables qui sont offerts gratuitement aux récipiendaires des ménages vulnérables concernés.
Les objectifs visés sont entre autres, l’amélioration du niveau de consommation (tant du point de vue de l’alimentation que de l’accès aux services sociaux de base) des ménages ciblés parmi les plus pauvres, la facilitation de la mise en place d’une base de données pour l’identification des ménages plus fragiles dans le cadre de la mise en œuvre des programmes de lutte contre la pauvreté.
Aussi, le développement autour des transferts monétaires au profit des ménages bénéficiaires, des mesures d’accompagnement axées sur les pratiques familiales essentielles et, surtout, les Activités génératrices de revenus (AGR), y compris l’accès au marché.
Pour rappel, 50 000 premiers ménages touchés sont repartis dans 882 villages et 16 régions de la Côte d’Ivoire.
Les ménages bénéficiaires de ce projet sont sélectionnés principalement sur la base du niveau de pauvreté fourni par les statistiques officielles de l’Enquête niveau vie des ménages (ENV). Ensuite, la conduite d’une enquête auprès des ménages, à travers des questions sur leurs conditions de vie et d’accès aux services sociaux de base. Ce qui permet d’attribuer un nombre de points à chacun et de procéder à un classement des plus pauvres au moins pauvres.
Enfin, la vérification et la validation de la liste des ménages issue de l’enquête, avec les communautés elles-mêmes, ainsi que le corps préfectoral. Ce qui leur permet de retirer ceux des leurs qui ne remplissent pas les conditions et d’ajouter des ménages plus nécessiteux éventuellement omis et qui sont plus faibles économiquement.
A.N