• De quoi souffrait le vaillant officier supérieur
• Ses rapports avec Gbagbo, Soro et ADO
• Le président Alassane Ouattara déballe tout
Le colonel-major, Issiaka Ouattara affectueusement appelé Wattao a tiré sa révérence, depuis les Etats-Unis dans la nuit de dimanche à lundi. On ne cessera pas de parler de cet homme magnanime qui s’était adapté dans l’exercice de son métier tant aux hommes politiques qu’à la jeunesse ivoirienne toute sensibilité ethnique et religieuse confondue. Il était tout simplement bon, un officier qui aidait la population. La nature a encore eu raison de l’Homme, maitre de la nature.
C’est un président de la république meurtri dans son âme, hier qui recevait le corps militaire, au palais de la présidence au Plateau à l’occasion de la présentation des vœux du nouvel an. La mauvaise nouvelle, la mort qui du Colonel-major, Issiaka Ouattara est à l’origine. Fort comme d’habitude, ADO a profité de sa rencontre avec les officiers supérieurs pour annoncer de manière officielle, le décès du colonel-major. Une mauvaise nouvelle qui courait sur les réseaux sociaux diversement commentée par les internautes ivoiriens et bien d’autres d’ailleurs. Le président Alassane Ouattara a demandé aux officiers supérieurs d’observer une minute de silence pour la mémoire du vaillant militaire qui venait de quitter la terre des humains, depuis son lit d’hôpital aux Etats-Unis. C’est à trois heures du matin que le président de la république a appris la triste nouvelle qui a frappé en général toute la Côte d’Ivoire et en particulier la grande muette. Le Chef de l’Etat, Chef suprême des armées était la personne la mieux indiquée pour annoncer cette triste nouvelle qui se lisait sur les visages des officiers supérieurs venus lui souhaiter les vœux du nouvel an. ‘’ Je voudrais vous demander de vous lever et observer une minute de silence en ce qui concerne le décès du colonel-major, Issiaka Ouattara’’, a indiqué le président des Ivoiriens, Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara. Le président Ouattara savait que le colonel-major pour lequel les Ivoiriens versent abondamment les larmes était souffrant. Des dispositions adéquates avaient été prises par les autorités en ce qui concerne le traitement de sa maladie. ‘’ Je savais qu’il avait des soucis de santé. Des dispositions ont été prises pour l’envoyer aux Etats-Unis. Toutes les dispositions prises par les médecins n’ont pas abouti’’, a noté le président de la république. Aussitôt après avoir appris cette triste nouvelle, il a immédiatement appelé le géniteur du colonel-major pour lui souhaiter les condoléances. Affecté par la situation, le président de la république a systématiquement donné l’ordre à son jeune frère Birahima Ouattara pour souhaiter les condoléances au Roi de Bouna.
Hommage du Chef de l’Etat au brave militaire
Le président de la république de la Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara n’attendra pas les obsèques du défunt ou l’arrivée de la dépouille mortelle en terre ivoirienne pour rendre hommage au militaire tant il était très attaché à lui et approuvait le travail de celui qui nous quitte. C’était un militaire dégourdi, un militaire qui avait l’amour de son métier. Au point qu’il apprenait très vite en ce qui concerne le renforcement de ses capacités professionnelles. Le Chef de l’Etat révèle que quand Wattao est allé au Maroc pour sa formation à l’école de guerre, il y a fait un excellent travail. Il a fait un énorme progrès au pays du Roi Hassan VI. Le président révèle que c’est ce travail bien fait qui lui a valu sa nomination au grade de colonel-major.
Quelle maladie a eu raison du vaillant militaire
Le Colonel-Major Issiaka Ouattara alias Wattao a rendu l’âme à 20h40 à New-York précisément à 1h40 GMT, l’heure d’Abidjan. Le colonel-major est décédé à l’âge de 53 ans. Selon des sources bien introduites, l’homme épris de la liberté et de la paix souffrait d’un diabète de niveau 7 et de la dingue. Il reste encore à peaufiner. Le Chef de l’Etat à en croire nos sources avait décidé que Wattao soit soigné dans un hôpital spécialisé parce qu’il s’agissait d’un homme de principe et d’engagement, un homme qui aime son pays. Il a été donc envoyé en traitement aux Etats-Unis précisément à New-York d’où il ne reviendra pas. La maladie a eu raison d’un homme qui était aimé par les Ivoiriens sans exception religieuse et ethnique. Celui qu'on appelait affectueusement "Sabelé Belé’’ avait toujours entretenu de très bons rapports avec le président de la république, Guillaume Soro au sein de l’ex-rébellion et Laurent Gbagbo lorsque celui-ci était au pouvoir. Wattao restera à jamais gravé dans les mémoires de tous les Ivoiriens de tous les bords politiques du pays. Il faisait son travail avec loyauté et était un militaire qui se mettait au-dessus des appartenances politiques. Il avait toujours considéré les présidents Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo comme ses propres parents. C’est bien Alassane Ouattara qui a permis à ‘’ Sabelé Belé’’ d’aller à l’extérieur, précisément au Maroc pour sa formation à l’école de guerre. ADO selon des sources bien introduites comptait beaucoup sur Wattao qu’il venait de nommer colonel-major parce qu’il était revenu du Maroc avec un bagage intellectuel qu’il devrait mettre au service de la nouvelle génération. Un homme qui en si peu de temps était chevronné en matière de guerre n’aura pas le temps de rendre service à son pays, la Côte d’Ivoire. C’est toute une république qui se sent mal à cause du départ prématuré de ce militaire. Il était un homme de compassion. C’est bien Wattao qui était aux petits soins de Laurent Gbagbo à l’Hôtel du Golf quand il avait été arrêté par les ex-FRCI. Wattao en le faisant voulait exécuter à la lettre les paroles de l’homme de paix et de la cohésion sociale le président Alassane Ouattara qui avait formellement interdit la mort de Laurent Gbagbo. ‘’ Ne tuez pas Laurent Gbagbo, c’est notre frère qui n’a pas voulu appliquer la démocratie. Amenez-moi vivant Laurent Gbagbo’’, avait insisté en avril 2011, le président Alassane Ouattara. C’est bien Wattao qui était le militaire à tout-faire de Guillaume Soro quand celui-ci discutait avec Laurent Gbagbo dans le cadre du retour de la paix et l’organisation des élections transparents en 2010. Lesquelles des élections ont été brillamment remportées par le président Alassane Ouattara. Comme quoi, Issiaka Watao a rendu d’énormes services à la Côte d’ Ivoire dans sa quête de la paix. La mort du colonel-major, Issiaka Ouattara affecte beaucoup le président Alassane Ouattara. Il est l’un des Ivoiriens qui tombe et pour lequel le président de la république selon nos sources a abondamment versé les larmes. Seule Dominique Ouattara, la dynamique Première Dame pétrie d’intelligence et de sagesse a pu trouver les mots justes pour contenir les larmes du bâtisseur ivoirien de sources présidentielles.
Les bonnes choses ne durent pas…
Des jeunes Ivoiriens par milliers auraient souhaité que le colonel-major vive le plus longtemps possible. Malheureusement, ils n’ont aucune décision à côté de la force divine, le créateur de toute chose. Les prières des jeunes auraient pu ramener l’homme à la vie si Dieu n’avait pas l’ultime décision. Wattao avait la main sur le cœur, il était l’un des plus généreux militaires. C’est bien ce militaire qui par son ouverture attirait la jeunesse ivoirienne à ses côtés. Faire du bien, donner des moyens financiers aux élèves et étudiants qui en étaient dans le besoin était l’apanage du colonel-majeur. C’est bien cet homme qui n’avait jamais méprisé la presse ivoirienne. A Bouaké et Abidjan, Wattao avait toujours fait parler son cœur. Il part et laisse derrière lui des milliers d’orphelins. Dieu pourquoi cet homme, pourquoi lui ?
Jeanne Auréole
• Ses rapports avec Gbagbo, Soro et ADO
• Le président Alassane Ouattara déballe tout
Le colonel-major, Issiaka Ouattara affectueusement appelé Wattao a tiré sa révérence, depuis les Etats-Unis dans la nuit de dimanche à lundi. On ne cessera pas de parler de cet homme magnanime qui s’était adapté dans l’exercice de son métier tant aux hommes politiques qu’à la jeunesse ivoirienne toute sensibilité ethnique et religieuse confondue. Il était tout simplement bon, un officier qui aidait la population. La nature a encore eu raison de l’Homme, maitre de la nature.
C’est un président de la république meurtri dans son âme, hier qui recevait le corps militaire, au palais de la présidence au Plateau à l’occasion de la présentation des vœux du nouvel an. La mauvaise nouvelle, la mort qui du Colonel-major, Issiaka Ouattara est à l’origine. Fort comme d’habitude, ADO a profité de sa rencontre avec les officiers supérieurs pour annoncer de manière officielle, le décès du colonel-major. Une mauvaise nouvelle qui courait sur les réseaux sociaux diversement commentée par les internautes ivoiriens et bien d’autres d’ailleurs. Le président Alassane Ouattara a demandé aux officiers supérieurs d’observer une minute de silence pour la mémoire du vaillant militaire qui venait de quitter la terre des humains, depuis son lit d’hôpital aux Etats-Unis. C’est à trois heures du matin que le président de la république a appris la triste nouvelle qui a frappé en général toute la Côte d’Ivoire et en particulier la grande muette. Le Chef de l’Etat, Chef suprême des armées était la personne la mieux indiquée pour annoncer cette triste nouvelle qui se lisait sur les visages des officiers supérieurs venus lui souhaiter les vœux du nouvel an. ‘’ Je voudrais vous demander de vous lever et observer une minute de silence en ce qui concerne le décès du colonel-major, Issiaka Ouattara’’, a indiqué le président des Ivoiriens, Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara. Le président Ouattara savait que le colonel-major pour lequel les Ivoiriens versent abondamment les larmes était souffrant. Des dispositions adéquates avaient été prises par les autorités en ce qui concerne le traitement de sa maladie. ‘’ Je savais qu’il avait des soucis de santé. Des dispositions ont été prises pour l’envoyer aux Etats-Unis. Toutes les dispositions prises par les médecins n’ont pas abouti’’, a noté le président de la république. Aussitôt après avoir appris cette triste nouvelle, il a immédiatement appelé le géniteur du colonel-major pour lui souhaiter les condoléances. Affecté par la situation, le président de la république a systématiquement donné l’ordre à son jeune frère Birahima Ouattara pour souhaiter les condoléances au Roi de Bouna.
Hommage du Chef de l’Etat au brave militaire
Le président de la république de la Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara n’attendra pas les obsèques du défunt ou l’arrivée de la dépouille mortelle en terre ivoirienne pour rendre hommage au militaire tant il était très attaché à lui et approuvait le travail de celui qui nous quitte. C’était un militaire dégourdi, un militaire qui avait l’amour de son métier. Au point qu’il apprenait très vite en ce qui concerne le renforcement de ses capacités professionnelles. Le Chef de l’Etat révèle que quand Wattao est allé au Maroc pour sa formation à l’école de guerre, il y a fait un excellent travail. Il a fait un énorme progrès au pays du Roi Hassan VI. Le président révèle que c’est ce travail bien fait qui lui a valu sa nomination au grade de colonel-major.
Quelle maladie a eu raison du vaillant militaire
Le Colonel-Major Issiaka Ouattara alias Wattao a rendu l’âme à 20h40 à New-York précisément à 1h40 GMT, l’heure d’Abidjan. Le colonel-major est décédé à l’âge de 53 ans. Selon des sources bien introduites, l’homme épris de la liberté et de la paix souffrait d’un diabète de niveau 7 et de la dingue. Il reste encore à peaufiner. Le Chef de l’Etat à en croire nos sources avait décidé que Wattao soit soigné dans un hôpital spécialisé parce qu’il s’agissait d’un homme de principe et d’engagement, un homme qui aime son pays. Il a été donc envoyé en traitement aux Etats-Unis précisément à New-York d’où il ne reviendra pas. La maladie a eu raison d’un homme qui était aimé par les Ivoiriens sans exception religieuse et ethnique. Celui qu'on appelait affectueusement "Sabelé Belé’’ avait toujours entretenu de très bons rapports avec le président de la république, Guillaume Soro au sein de l’ex-rébellion et Laurent Gbagbo lorsque celui-ci était au pouvoir. Wattao restera à jamais gravé dans les mémoires de tous les Ivoiriens de tous les bords politiques du pays. Il faisait son travail avec loyauté et était un militaire qui se mettait au-dessus des appartenances politiques. Il avait toujours considéré les présidents Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo comme ses propres parents. C’est bien Alassane Ouattara qui a permis à ‘’ Sabelé Belé’’ d’aller à l’extérieur, précisément au Maroc pour sa formation à l’école de guerre. ADO selon des sources bien introduites comptait beaucoup sur Wattao qu’il venait de nommer colonel-major parce qu’il était revenu du Maroc avec un bagage intellectuel qu’il devrait mettre au service de la nouvelle génération. Un homme qui en si peu de temps était chevronné en matière de guerre n’aura pas le temps de rendre service à son pays, la Côte d’Ivoire. C’est toute une république qui se sent mal à cause du départ prématuré de ce militaire. Il était un homme de compassion. C’est bien Wattao qui était aux petits soins de Laurent Gbagbo à l’Hôtel du Golf quand il avait été arrêté par les ex-FRCI. Wattao en le faisant voulait exécuter à la lettre les paroles de l’homme de paix et de la cohésion sociale le président Alassane Ouattara qui avait formellement interdit la mort de Laurent Gbagbo. ‘’ Ne tuez pas Laurent Gbagbo, c’est notre frère qui n’a pas voulu appliquer la démocratie. Amenez-moi vivant Laurent Gbagbo’’, avait insisté en avril 2011, le président Alassane Ouattara. C’est bien Wattao qui était le militaire à tout-faire de Guillaume Soro quand celui-ci discutait avec Laurent Gbagbo dans le cadre du retour de la paix et l’organisation des élections transparents en 2010. Lesquelles des élections ont été brillamment remportées par le président Alassane Ouattara. Comme quoi, Issiaka Watao a rendu d’énormes services à la Côte d’ Ivoire dans sa quête de la paix. La mort du colonel-major, Issiaka Ouattara affecte beaucoup le président Alassane Ouattara. Il est l’un des Ivoiriens qui tombe et pour lequel le président de la république selon nos sources a abondamment versé les larmes. Seule Dominique Ouattara, la dynamique Première Dame pétrie d’intelligence et de sagesse a pu trouver les mots justes pour contenir les larmes du bâtisseur ivoirien de sources présidentielles.
Les bonnes choses ne durent pas…
Des jeunes Ivoiriens par milliers auraient souhaité que le colonel-major vive le plus longtemps possible. Malheureusement, ils n’ont aucune décision à côté de la force divine, le créateur de toute chose. Les prières des jeunes auraient pu ramener l’homme à la vie si Dieu n’avait pas l’ultime décision. Wattao avait la main sur le cœur, il était l’un des plus généreux militaires. C’est bien ce militaire qui par son ouverture attirait la jeunesse ivoirienne à ses côtés. Faire du bien, donner des moyens financiers aux élèves et étudiants qui en étaient dans le besoin était l’apanage du colonel-majeur. C’est bien cet homme qui n’avait jamais méprisé la presse ivoirienne. A Bouaké et Abidjan, Wattao avait toujours fait parler son cœur. Il part et laisse derrière lui des milliers d’orphelins. Dieu pourquoi cet homme, pourquoi lui ?
Jeanne Auréole
