Le président du Pdci-Rda, Henri Konan Bédié, a invité le pouvoir d’Abidjan à abandonner les charges retenues contre certains cadres politiques de l’opposition en vue d’une réconciliation nationale, gage d’une paix durable. C’était à l’occasion de la cérémonie de présentation des voeux de nouvel an de ses partisans ce dimanche 12 janvier 2020 à Daoukro à 230 km de la capitale économique ivoirienne, Abidjan.
Selon le sphinx de Daoukro, 2020 qui est une année électorale importante pour le pays ainsi que pour ses habitants, doit nécessairement passer par un dialogue politique constructif avec le pouvoir exécutif. Ce dialogue devrait parvenir à la réconciliation nationale, gage d’une paix définitive et d’élection présidentielle crédible et démocratique.
Outre cela, le président Bedié a évoqué la décrispation de la vie politique qui requiert selon lui, d’autres exigences, à savoir la libération de tous les détenus politiques de la crise post-électorale de 2010. " Je demande solennellement au chef de l’Etat l’abandon des poursuites et l’annulation des dernières condamnations au Tribunal d’Abidjan à l’encontre du Président Laurent GBAGBO et de Charles Blé GOUDE", a-t-il lancé. Poursuivant dans sa kyrielle de doléances à l’endroit du pouvoir d’Abidjan, l’ancien allié politique d’Alassane Ouattara a invité celui-ci à l’abandon des poursuites judiciaires à l’encontre de Noël Akossi BENDJO, condamné par contumace et contraint à l’exil, la libération du président du Conseil régional du Gbêkê, Jacques MANGOUA, et celle des élus et cadres membres des partis politiques dénommés RACI, MVCI et GPS.
Dans la même veine, au nom de la paix, Henri Konan Bedié a invité le pouvoir exécutif, d’une part à faire cesser " les fouilles injustifiées et sans base légale" des domiciles des personnalités politiques de l’opposition, et d’autre part à mettre fin aux tracasseries subies par celles-ci.
Cyprien K.
Selon le sphinx de Daoukro, 2020 qui est une année électorale importante pour le pays ainsi que pour ses habitants, doit nécessairement passer par un dialogue politique constructif avec le pouvoir exécutif. Ce dialogue devrait parvenir à la réconciliation nationale, gage d’une paix définitive et d’élection présidentielle crédible et démocratique.
Outre cela, le président Bedié a évoqué la décrispation de la vie politique qui requiert selon lui, d’autres exigences, à savoir la libération de tous les détenus politiques de la crise post-électorale de 2010. " Je demande solennellement au chef de l’Etat l’abandon des poursuites et l’annulation des dernières condamnations au Tribunal d’Abidjan à l’encontre du Président Laurent GBAGBO et de Charles Blé GOUDE", a-t-il lancé. Poursuivant dans sa kyrielle de doléances à l’endroit du pouvoir d’Abidjan, l’ancien allié politique d’Alassane Ouattara a invité celui-ci à l’abandon des poursuites judiciaires à l’encontre de Noël Akossi BENDJO, condamné par contumace et contraint à l’exil, la libération du président du Conseil régional du Gbêkê, Jacques MANGOUA, et celle des élus et cadres membres des partis politiques dénommés RACI, MVCI et GPS.
Dans la même veine, au nom de la paix, Henri Konan Bedié a invité le pouvoir exécutif, d’une part à faire cesser " les fouilles injustifiées et sans base légale" des domiciles des personnalités politiques de l’opposition, et d’autre part à mettre fin aux tracasseries subies par celles-ci.
Cyprien K.