Le célèbre artiste peintre James Houra a tiré sa révérence le 27 janvier dernier. L’artiste aura assurément marqué ces 20 dernières années le monde artistique de ses œuvres.
James kadjo Houra est, en effet, un peintre renommé qui a développé, pendant plus de 25 ans, une écriture bien singulière.
Dans celle-ci, il fragmente son espace pictural avec de petites figures géométriques, dans la logique structurelle du kaléidoscope. D’aucun nomment son écriture le «style en damier». Lui-même la qualifie volontiers de «figuratif informel».
Son langage, accessible, est apprécié des amateurs. Docteur en histoire de l’art, ex-directeur de l’école des beaux-arts d’Abidjan, James Houra a été président de l’association des artistes plasticiens de Côte d’Ivoire.
Il a participé à diverses expositions nationales et internationales. Ses œuvres figurent dans de nombreuses collections publiques et privées.
En 2004, son grand tableau, «L’Offrande», a remplacé une œuvre de Bernard Buffet au salon d’honneur du palais présidentiel, en Côte d’Ivoire.
James Houra est né le 27 mars 1952 à Adiaké au sud-est de la Côte d’Ivoire.
R. K.
James kadjo Houra est, en effet, un peintre renommé qui a développé, pendant plus de 25 ans, une écriture bien singulière.
Dans celle-ci, il fragmente son espace pictural avec de petites figures géométriques, dans la logique structurelle du kaléidoscope. D’aucun nomment son écriture le «style en damier». Lui-même la qualifie volontiers de «figuratif informel».
Son langage, accessible, est apprécié des amateurs. Docteur en histoire de l’art, ex-directeur de l’école des beaux-arts d’Abidjan, James Houra a été président de l’association des artistes plasticiens de Côte d’Ivoire.
Il a participé à diverses expositions nationales et internationales. Ses œuvres figurent dans de nombreuses collections publiques et privées.
En 2004, son grand tableau, «L’Offrande», a remplacé une œuvre de Bernard Buffet au salon d’honneur du palais présidentiel, en Côte d’Ivoire.
James Houra est né le 27 mars 1952 à Adiaké au sud-est de la Côte d’Ivoire.
R. K.