Abidjan- Le premier cours de paludologie en Côte d’Ivoire démarre ce lundi 3 février 2020 à Yamoussoukro à l’attention de 25 cadres supérieurs de la santé grâce à un financement du gouvernement américain, à travers l’Initiative présidentielle de lutte contre le paludisme (PMI).
Ces cadres supérieurs de la santé des districts de Touba, Tai, Jacqueville, Nassian, Dabakala, Fresco, Touleupleu, Grand Bassam, Zouan-Hounien, Kouibly, Bouna, Oumé, M’batto, Sinfra, Duékoué, Gueyo, San Pedro, Adzopé, Adjamé-Plateau-Attécoubé et Bongouanou, sélectionnés par une procédure d’appel à candidatures, participeront à ce cours qui s’achèvera le 21 février prochain.
L’objectif est de permettre à ces cadres supérieurs, notamment les directeurs départementaux, les responsables de la planification des services de santé au niveau des districts sanitaires et les acteurs impliqués dans l’offre de soins de santé de primaire de mieux coordonner et suivre l’épidémiologie du paludisme, le processus du contrôle vers l’élimination du paludisme, la gestion des interventions de lutte contre le paludisme, le partenariat et la mobilisation des ressources et le suivi et l’évaluation des interventions de prévention et de prise en charge des cas.
Le gouvernement américain travaille en étroite collaboration avec la Côte d'Ivoire pour soutenir son objectif de devenir un pays émergent à l'horizon 2020. C’est dans ce cadre que PMI va poursuivre ses efforts avec le Programme national de lutte contre le paludisme afin de doter les ressources humaines en santé des outils appropriés pour lutter contre le paludisme et permettre aux populations Ivoiriennes de mieux contribuer au développement de leur pays.
Le paludisme constitue la première cause de consultation et d’hospitalisation en Côte d’Ivoire et est responsable de 40% des causes d’absentéisme en milieu scolaire et professionnel et de 50% de perte de revenu agricole.
Le paludisme est aussi la cause de 33% de décès en milieu hospitalier et la principale cause de mortalité chez les enfants en Côte d’Ivoire, le paludisme est endémique dans le pays toute l’année, avec des pics pendant la saison des pluies.
kp
Ces cadres supérieurs de la santé des districts de Touba, Tai, Jacqueville, Nassian, Dabakala, Fresco, Touleupleu, Grand Bassam, Zouan-Hounien, Kouibly, Bouna, Oumé, M’batto, Sinfra, Duékoué, Gueyo, San Pedro, Adzopé, Adjamé-Plateau-Attécoubé et Bongouanou, sélectionnés par une procédure d’appel à candidatures, participeront à ce cours qui s’achèvera le 21 février prochain.
L’objectif est de permettre à ces cadres supérieurs, notamment les directeurs départementaux, les responsables de la planification des services de santé au niveau des districts sanitaires et les acteurs impliqués dans l’offre de soins de santé de primaire de mieux coordonner et suivre l’épidémiologie du paludisme, le processus du contrôle vers l’élimination du paludisme, la gestion des interventions de lutte contre le paludisme, le partenariat et la mobilisation des ressources et le suivi et l’évaluation des interventions de prévention et de prise en charge des cas.
Le gouvernement américain travaille en étroite collaboration avec la Côte d'Ivoire pour soutenir son objectif de devenir un pays émergent à l'horizon 2020. C’est dans ce cadre que PMI va poursuivre ses efforts avec le Programme national de lutte contre le paludisme afin de doter les ressources humaines en santé des outils appropriés pour lutter contre le paludisme et permettre aux populations Ivoiriennes de mieux contribuer au développement de leur pays.
Le paludisme constitue la première cause de consultation et d’hospitalisation en Côte d’Ivoire et est responsable de 40% des causes d’absentéisme en milieu scolaire et professionnel et de 50% de perte de revenu agricole.
Le paludisme est aussi la cause de 33% de décès en milieu hospitalier et la principale cause de mortalité chez les enfants en Côte d’Ivoire, le paludisme est endémique dans le pays toute l’année, avec des pics pendant la saison des pluies.
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