A l’occasion de la journée internationale de lutte contre le cancer, un atelier de sensibilisation sur le cancer du colon et du rectum (cancer colorectal), s’est tenu ce jeudi à l’attention des médecins d’entreprise.
Organisé par le Programme National du lutte contre le Cancer (PNLC), avec la coalition des entreprises de Côte d’Ivoire, et des laboratoires, cet atelier avait pour but de mettre l’accent sur ces cancers qui progressent, surtout en essayant d’insister sur la prévention.
"Nous avons la chance d’avoir la coalition des entreprises qui est vraiment engagée dans la lutte contre le cancer et nous organisons ce séminaire vis à vis des membres de cette coalition, pour dire que le cancer est une maladie certes qui est grave mais lorsque le diagnostic est précoce et lorsque l’information est bien comprise par le public, c’est une maladie qui peut se guérir" a expliqué Pr. Adoubi Innocent, Directeur du programme national de lutte contre le cancer.
Selon lui, il faut développer l’information et la communication sur le cancer. "Que l’individu lui-même soit engagé dans sa propre santé et que les médecins d’entreprises puissent être formés, évalués et voir leur capacité de prise en charge de cette pathologie renforcée, du point de vue de la prévention et de la référence. C’est avec toute cette stratégie que nous allons pouvoir contrôler la maladie cancéreuse en général et le cancer du colon et du rectum en particulier." a-t-il souhaité car dira-t-il, le cancer colorectal était un cancer très rare il y a dix ans, qui a augmenté d’année en année et est aujourd’hui le 4e cancer en Côte d’Ivoire tout sexe confondu.
Dr Moctar Touré, qui dirige l’unité de cancérologie au CHU de Treichville a eu à faire plusieurs communications, notamment sur le cancer en général et plus particulièrement sur le cancer colorectal. Entre la prévention, le diagnostic et le traitement, il a dévoilé tous les secrets de cette maladie silencieuse.
"En Côte d’Ivoire les choses se mettent progressivement en place dans la lutte contre le cancer. En termes de matériels, cela reste encore insuffisant, mais les formations pour améliorer les ressources humaines dans le domaine se font" a-t-il rassuré.
Au cours de cette rencontre qui se voulait interactive, les médecins, issus de plusieurs entreprises de la place, ont eu à poser leurs préoccupations pour une meilleure compréhension de la pathologie.
En Côte d’Ivoire, 476 nouveaux cas sont détectés pour 382 décès, par manque de diagnostic précoce.
Atapointe
Organisé par le Programme National du lutte contre le Cancer (PNLC), avec la coalition des entreprises de Côte d’Ivoire, et des laboratoires, cet atelier avait pour but de mettre l’accent sur ces cancers qui progressent, surtout en essayant d’insister sur la prévention.
"Nous avons la chance d’avoir la coalition des entreprises qui est vraiment engagée dans la lutte contre le cancer et nous organisons ce séminaire vis à vis des membres de cette coalition, pour dire que le cancer est une maladie certes qui est grave mais lorsque le diagnostic est précoce et lorsque l’information est bien comprise par le public, c’est une maladie qui peut se guérir" a expliqué Pr. Adoubi Innocent, Directeur du programme national de lutte contre le cancer.
Selon lui, il faut développer l’information et la communication sur le cancer. "Que l’individu lui-même soit engagé dans sa propre santé et que les médecins d’entreprises puissent être formés, évalués et voir leur capacité de prise en charge de cette pathologie renforcée, du point de vue de la prévention et de la référence. C’est avec toute cette stratégie que nous allons pouvoir contrôler la maladie cancéreuse en général et le cancer du colon et du rectum en particulier." a-t-il souhaité car dira-t-il, le cancer colorectal était un cancer très rare il y a dix ans, qui a augmenté d’année en année et est aujourd’hui le 4e cancer en Côte d’Ivoire tout sexe confondu.
Dr Moctar Touré, qui dirige l’unité de cancérologie au CHU de Treichville a eu à faire plusieurs communications, notamment sur le cancer en général et plus particulièrement sur le cancer colorectal. Entre la prévention, le diagnostic et le traitement, il a dévoilé tous les secrets de cette maladie silencieuse.
"En Côte d’Ivoire les choses se mettent progressivement en place dans la lutte contre le cancer. En termes de matériels, cela reste encore insuffisant, mais les formations pour améliorer les ressources humaines dans le domaine se font" a-t-il rassuré.
Au cours de cette rencontre qui se voulait interactive, les médecins, issus de plusieurs entreprises de la place, ont eu à poser leurs préoccupations pour une meilleure compréhension de la pathologie.
En Côte d’Ivoire, 476 nouveaux cas sont détectés pour 382 décès, par manque de diagnostic précoce.
Atapointe