Un petit-déjeuner débat organisé par l`Association des professionnels des ressources humaines de Côte d’Ivoire en collaboration avec la Chambre de commerce et d`industrie de Côte d`Ivoire (CCI-CI), a eu lieu ce jeudi 13 février, à Cocody-Abidjan, autour du thème : « bien-être et performance au travail.
« Le concept de la RSE (Responsabilité sociétale de l’entreprise) doit au préalable partir d’une satisfaction totale du personnel de la société », a expliqué le président des médecins d’entreprise de Côte d’Ivoire, Dr Ani-Grah Prince Igor, au cours d’une conférence qu’il a animée ce jeudi 13 février, à Abidjan, autour du thème : « bien-être et performance au travail.
Conférencier principal du petit-déjeuner débat organisé par l’Association des professionnels des ressources humaines de Côte d’Ivoire (APRHCI), le président de l’Association des médecins d’entreprises s’est attelé à montrer aux chefs d’entreprises ce qu’ils perdent en n’investissant pas dans la santé professionnelle. Dans son approche, Dr Ani-Grah, explique qu’au premier chef des conditions du bien être et de la performance au travail, il y a la santé au travail, ensuite ce qu’il faut prévenir, ce sont les risques professionnels à savoir les maladies professionnelles, par ailleurs, ‘’les accidents de travail qu’il faut prendre en compte selon le BIT et le code de travail’’.
Poursuivant, le président des médecins d’entreprise, a souligné que les raisons du ‘’mal être‘’ au travail sont liées à un équilibre acido-basique, l’alimentation, le stress, l’environnement et la sédentarité. Par contre, le ‘’bien être’’ recommande de la part des chefs et gérants d’entreprises d’investir pour leurs ressources humaines dans la prévention. Celle-ci passe par le sport, les bilans de santé, les salles de repos et garderies. « Il faut un engagement fort de la direction, la création de comité de santé, car la compréhension du bien être passe par la prévention », a insisté Dr Ani-Grah.
A sa suite, un expert de cette thématique, Didier N’Déglé, ajoutera que pour parvenir à cette fin, il faut faire des recrutements optimisés, la gestion de carrière, la gestion des talents pour que chaque employé excelle à son poste, la baisse de l’absentéisme et du présentéisme. Notons en définitive que l’amélioration de la performance d’une entreprise commence par l’atteinte des objectifs tant au niveau des directeurs des ressources humaines, des managers que des employés. En outre, dans son mot d’ouverture, le directeur des ressources humaines de la CCI-CI, Julien Adou Kouabenan, 2e vice-président de l’APRHCI, chargé de la Formation, a soutenu que pour tout salarié, une formation professionnelle est une occasion d’acquérir de nouvelles compétences. Se contenter de son expérience peut être un blocage personnel. Voir les choses d’un œil nouveau et acquérir de nouvelles compétences complémentaires et additionnelles peuvent permettre aux salariés de travailler avec rapidité et efficacité.
« Au-delà d’une simple question de rémunération, la qualité de vie au travail a un impact direct sur la motivation des salariés d’une entreprise, et donc in fine sur leur productivité », a-t-il laissé entendre.
JOB
« Le concept de la RSE (Responsabilité sociétale de l’entreprise) doit au préalable partir d’une satisfaction totale du personnel de la société », a expliqué le président des médecins d’entreprise de Côte d’Ivoire, Dr Ani-Grah Prince Igor, au cours d’une conférence qu’il a animée ce jeudi 13 février, à Abidjan, autour du thème : « bien-être et performance au travail.
Conférencier principal du petit-déjeuner débat organisé par l’Association des professionnels des ressources humaines de Côte d’Ivoire (APRHCI), le président de l’Association des médecins d’entreprises s’est attelé à montrer aux chefs d’entreprises ce qu’ils perdent en n’investissant pas dans la santé professionnelle. Dans son approche, Dr Ani-Grah, explique qu’au premier chef des conditions du bien être et de la performance au travail, il y a la santé au travail, ensuite ce qu’il faut prévenir, ce sont les risques professionnels à savoir les maladies professionnelles, par ailleurs, ‘’les accidents de travail qu’il faut prendre en compte selon le BIT et le code de travail’’.
Poursuivant, le président des médecins d’entreprise, a souligné que les raisons du ‘’mal être‘’ au travail sont liées à un équilibre acido-basique, l’alimentation, le stress, l’environnement et la sédentarité. Par contre, le ‘’bien être’’ recommande de la part des chefs et gérants d’entreprises d’investir pour leurs ressources humaines dans la prévention. Celle-ci passe par le sport, les bilans de santé, les salles de repos et garderies. « Il faut un engagement fort de la direction, la création de comité de santé, car la compréhension du bien être passe par la prévention », a insisté Dr Ani-Grah.
A sa suite, un expert de cette thématique, Didier N’Déglé, ajoutera que pour parvenir à cette fin, il faut faire des recrutements optimisés, la gestion de carrière, la gestion des talents pour que chaque employé excelle à son poste, la baisse de l’absentéisme et du présentéisme. Notons en définitive que l’amélioration de la performance d’une entreprise commence par l’atteinte des objectifs tant au niveau des directeurs des ressources humaines, des managers que des employés. En outre, dans son mot d’ouverture, le directeur des ressources humaines de la CCI-CI, Julien Adou Kouabenan, 2e vice-président de l’APRHCI, chargé de la Formation, a soutenu que pour tout salarié, une formation professionnelle est une occasion d’acquérir de nouvelles compétences. Se contenter de son expérience peut être un blocage personnel. Voir les choses d’un œil nouveau et acquérir de nouvelles compétences complémentaires et additionnelles peuvent permettre aux salariés de travailler avec rapidité et efficacité.
« Au-delà d’une simple question de rémunération, la qualité de vie au travail a un impact direct sur la motivation des salariés d’une entreprise, et donc in fine sur leur productivité », a-t-il laissé entendre.
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