La cola et le poivre sont deux filières que la Côte d’Ivoire est en train de développer pour permettre aux producteurs d’améliorer leurs revenus, relève le Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricoles (FIRCA).
A l’occasion d’une présentation des opportunités de ces filières, lundi au Salon international de l’agriculture de Paris (SIA 2020), la chargée du programme poivre et cola au FIRCA, Kramo Mireille, a indiqué que ces filières présentent diverses possibilités.
Concernant la filière cola, reconnue comme interprofession en septembre 2018, des réflexions sont menées par des chercheurs pour voir quel type du produit peut s’adapter à la nouvelle génération. Transformée, la cola peut servir en assaisonnement, dans les boissons, dans l’industrie et la cosmétique, eu égard à ses nombreuses propriétés et vertus.
Quant au poivre, cultivé actuellement dans le Sud ivoirien, surtout dans les zones d’Azaguié, Agboville, Aboisso, il est produit pour l’instant par des privés, sur des petites exploitations.
Aussi, pour développer cette filière naissante, la Côte d’Ivoire a-t-elle décidé d’appuyer la culture d’abord en s’inspirant auprès de pays producteurs comme le Cameroun et ensuite à travers la recherche et enfin par l’organisation des producteurs avec l’objectif de trouver des partenaires et des marchés.
La Côte d’Ivoire est le premier pays producteur de cola au monde, avec un volume évalué à 260 000 tonnes par an. Les noix sont écoulées notamment dans les pays de l’hinterland (Mali, Burkina Faso, Niger) et au Nigeria. La production de poivre est de l’ordre de 20 T actuellement, avec des prévisions de 80 T voire au-delà, si le marché est porteur.
La 57e édition du Salon international de l’agriculture de Paris se déroule au Parc des expositions, Porte de Versailles. Ouvert le 22 février jusqu’au 1er mars, le SIA 2020 porte sur le thème “L’agriculture vous tend les bras”.
(AIP)
cmas
A l’occasion d’une présentation des opportunités de ces filières, lundi au Salon international de l’agriculture de Paris (SIA 2020), la chargée du programme poivre et cola au FIRCA, Kramo Mireille, a indiqué que ces filières présentent diverses possibilités.
Concernant la filière cola, reconnue comme interprofession en septembre 2018, des réflexions sont menées par des chercheurs pour voir quel type du produit peut s’adapter à la nouvelle génération. Transformée, la cola peut servir en assaisonnement, dans les boissons, dans l’industrie et la cosmétique, eu égard à ses nombreuses propriétés et vertus.
Quant au poivre, cultivé actuellement dans le Sud ivoirien, surtout dans les zones d’Azaguié, Agboville, Aboisso, il est produit pour l’instant par des privés, sur des petites exploitations.
Aussi, pour développer cette filière naissante, la Côte d’Ivoire a-t-elle décidé d’appuyer la culture d’abord en s’inspirant auprès de pays producteurs comme le Cameroun et ensuite à travers la recherche et enfin par l’organisation des producteurs avec l’objectif de trouver des partenaires et des marchés.
La Côte d’Ivoire est le premier pays producteur de cola au monde, avec un volume évalué à 260 000 tonnes par an. Les noix sont écoulées notamment dans les pays de l’hinterland (Mali, Burkina Faso, Niger) et au Nigeria. La production de poivre est de l’ordre de 20 T actuellement, avec des prévisions de 80 T voire au-delà, si le marché est porteur.
La 57e édition du Salon international de l’agriculture de Paris se déroule au Parc des expositions, Porte de Versailles. Ouvert le 22 février jusqu’au 1er mars, le SIA 2020 porte sur le thème “L’agriculture vous tend les bras”.
(AIP)
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