Une intersyndicale pour le suivi de la mise en œuvre de la Couverture maladie universelle (CMU) a vu le jour, mardi, à Abidjan, au cours d’une assemblée générale organisée, par cinq centrales syndicales, à l’INADES de Cocody.
Il s’agit de l’Union générale des travailleurs de Côte d’Ivoire (UGTCI), la Confédération ivoirienne des syndicats libres Dignité (DIGNITE), la Fédération des syndicats autonomes de Côte d’Ivoire (FESACI), l’Union nationale des travailleurs de Côte d’Ivoire (UNATR-CI) et la Centrale syndicale humanisme (CSH).
Selon le coordonnateur du projet pour le compte de la CISL-DIGNITE, Boris Koné, la création de cette intersyndicale est une obéissance aux recommandations 202 et 204 de l’Organisation internationale du travail (OIT), appuyées par certaines institutions internationales dont l’Association internationale de la sécurité sociale, l’ONU et la Banque mondiale.
Pour elles, la mise en place de « socles de protection sociale » doit être un outil privilégié pour les objectifs du millénaire pour le développement et que la priorité doit être donnée à une couverture sociale universelle afin de lutter contre l’extrême pauvreté et la montée des inégalités, en ciblant prioritairement les groupes vulnérables.
« Il était tant pour nous travailleurs de nous unir à travers une intersyndicale pour défendre les droits des travailleurs et leur rappeler leurs obligations en matière de protection sociale en général et en particulier, en matière d’accès aux soins de santé », a souligné M. Koné.
La CMU est entrée dans sa phase de généralisation depuis le 1er octobre 2019 avec, à ce jour, selon le porte-parole du gouvernement, Sidi Touré, plus de 2 millions de souscripteurs qui sont pour la plupart des fonctionnaires et des travailleurs du secteur formel.
Pour le responsable du comité de pilotage de la création de l’intersyndicale pour le suivi de la mise en œuvre de la CMU en Côte d’Ivoire, Gaha Cyriaque, il reviendra à la nouvelle structure de mener des actions de formations, de sensibilisation, de plaidoyer et de réflexions pour une meilleure prise en compte des problèmes de santé des travailleurs du secteur informel.
Cette AG constitutive a eu pour temps fort l’adoption de la charte, du règlement intérieur et du plan d’actions 2020 de l’intersyndicale, rappelle-t-on.
(AIP)
fmo
Il s’agit de l’Union générale des travailleurs de Côte d’Ivoire (UGTCI), la Confédération ivoirienne des syndicats libres Dignité (DIGNITE), la Fédération des syndicats autonomes de Côte d’Ivoire (FESACI), l’Union nationale des travailleurs de Côte d’Ivoire (UNATR-CI) et la Centrale syndicale humanisme (CSH).
Selon le coordonnateur du projet pour le compte de la CISL-DIGNITE, Boris Koné, la création de cette intersyndicale est une obéissance aux recommandations 202 et 204 de l’Organisation internationale du travail (OIT), appuyées par certaines institutions internationales dont l’Association internationale de la sécurité sociale, l’ONU et la Banque mondiale.
Pour elles, la mise en place de « socles de protection sociale » doit être un outil privilégié pour les objectifs du millénaire pour le développement et que la priorité doit être donnée à une couverture sociale universelle afin de lutter contre l’extrême pauvreté et la montée des inégalités, en ciblant prioritairement les groupes vulnérables.
« Il était tant pour nous travailleurs de nous unir à travers une intersyndicale pour défendre les droits des travailleurs et leur rappeler leurs obligations en matière de protection sociale en général et en particulier, en matière d’accès aux soins de santé », a souligné M. Koné.
La CMU est entrée dans sa phase de généralisation depuis le 1er octobre 2019 avec, à ce jour, selon le porte-parole du gouvernement, Sidi Touré, plus de 2 millions de souscripteurs qui sont pour la plupart des fonctionnaires et des travailleurs du secteur formel.
Pour le responsable du comité de pilotage de la création de l’intersyndicale pour le suivi de la mise en œuvre de la CMU en Côte d’Ivoire, Gaha Cyriaque, il reviendra à la nouvelle structure de mener des actions de formations, de sensibilisation, de plaidoyer et de réflexions pour une meilleure prise en compte des problèmes de santé des travailleurs du secteur informel.
Cette AG constitutive a eu pour temps fort l’adoption de la charte, du règlement intérieur et du plan d’actions 2020 de l’intersyndicale, rappelle-t-on.
(AIP)
fmo