Le Gouvernement ivoirien a décidé d’instituer le 16 décembre de chaque année , comme Journée Nationale du Pardon et du Souvenir en hommage à toutes les victimes des crises survenues en Côte d’Ivoire.
Cette annonce a été faite par la Ministre de la Solidarité, de la Cohésion Sociale et de la Lutte contre la Pauvreté, le Professeur Mariatou Koné, représentant le Gouvernement à Anonkoua Kouté, au cours de la cérémonie de commémoration du décès des 7 femmes d’Abobo en 2011, pendant la crise post-électorale.
Poursuivant, la Ministre Mariatou Koné a invité l’ensemble des populations à prier pour les victimes qui ont perdu la vie dans les différentes crises que le pays a traversées.
A quelques mois du scrutin présidentiel, elle a lancé un appel important à l’endroit des populations et des acteurs de la vie politique ivoirienne « Je vous exhorte à être des ambassadeurs de paix autour de vous, partout où vous êtes, partout où passez pour faire comprendre aux uns et autres que l’élection, ce n’est pas la guerre. Nous n’avons pas le droit de sacrifier la vie des citoyens pour un quelconque poste électif quels qu’en soient les enjeux. Nous devons tous nous engager pour une élection sans violence ».
Cette annonce a été faite par la Ministre de la Solidarité, de la Cohésion Sociale et de la Lutte contre la Pauvreté, le Professeur Mariatou Koné, représentant le Gouvernement à Anonkoua Kouté, au cours de la cérémonie de commémoration du décès des 7 femmes d’Abobo en 2011, pendant la crise post-électorale.
Poursuivant, la Ministre Mariatou Koné a invité l’ensemble des populations à prier pour les victimes qui ont perdu la vie dans les différentes crises que le pays a traversées.
A quelques mois du scrutin présidentiel, elle a lancé un appel important à l’endroit des populations et des acteurs de la vie politique ivoirienne « Je vous exhorte à être des ambassadeurs de paix autour de vous, partout où vous êtes, partout où passez pour faire comprendre aux uns et autres que l’élection, ce n’est pas la guerre. Nous n’avons pas le droit de sacrifier la vie des citoyens pour un quelconque poste électif quels qu’en soient les enjeux. Nous devons tous nous engager pour une élection sans violence ».