Léonce Yacé est le colistier de Sory Diabaté dans l'élection à la présidence de la FIF. L'ex-président délégué de l'ASEC Mimosas, a expliqué son choix sur le plateau de La Grande Team diffusée sur La 3, produit de la télévision nationale ivoirien.
Entre la FIF et l'ASEC Mimosas, ce n'est jusque-là pas le grand amour. Pourtant, l'un des enfants de la maison jaune et noir, a décidé de se joindre au combat du candidat du comité exécutif sortant de la maison de verre. Un choix que Léonce Yacé, longtemps considéré comme le successeur de Me Roger Ouégnin a expliqué. « L’ASEC n’a pas de problème avec la FIF. Sauf qu’à un moment donné, il y a eu des incompréhensions entre les deux parties. Et Me Roger Ouegnin avec le franc parlé qu’on lui connaît s’est fait entendre. Je me suis engager avec Sory Diabaté pour favoriser le rapprochement des acteurs du football », a déclaré le directeur de campagne du candidat Sory Diabaté.
S'il a reconnu que le football ivoirien est malade de ses dissensions, Léonce Yacé a promis que son candidat, une fois président de la FIF, s’attellera à prôner l'unité et la solidarité pour créer les conditions d’une gestion inclusive impliquant les groupements d’intérêt et les différents acteurs du football ivoirien. Ainsi, « le programme que nous proposons est bâti sur la remise en cause. C’est un programme de rupture mais qui ne fait pas table-rase de ce qui a été bon », a le banquier et fiscaliste de formation.
D'ailleurs, en ce qui concerne le chapitre du financement du football local contenu dans le programme à 11 points du candidat Sory Diabaté, Léonce Yacé a souligné la revalorisation de la subvention aux clubs en passant de 75 à 100 millions de Frs Cfa. Et ce, tout en mettant l’accent sur le développement du capital humain, l’amélioration des règles de gouvernance et le renforcement des capacités des dirigeants.
Patrick GUITEY
Entre la FIF et l'ASEC Mimosas, ce n'est jusque-là pas le grand amour. Pourtant, l'un des enfants de la maison jaune et noir, a décidé de se joindre au combat du candidat du comité exécutif sortant de la maison de verre. Un choix que Léonce Yacé, longtemps considéré comme le successeur de Me Roger Ouégnin a expliqué. « L’ASEC n’a pas de problème avec la FIF. Sauf qu’à un moment donné, il y a eu des incompréhensions entre les deux parties. Et Me Roger Ouegnin avec le franc parlé qu’on lui connaît s’est fait entendre. Je me suis engager avec Sory Diabaté pour favoriser le rapprochement des acteurs du football », a déclaré le directeur de campagne du candidat Sory Diabaté.
S'il a reconnu que le football ivoirien est malade de ses dissensions, Léonce Yacé a promis que son candidat, une fois président de la FIF, s’attellera à prôner l'unité et la solidarité pour créer les conditions d’une gestion inclusive impliquant les groupements d’intérêt et les différents acteurs du football ivoirien. Ainsi, « le programme que nous proposons est bâti sur la remise en cause. C’est un programme de rupture mais qui ne fait pas table-rase de ce qui a été bon », a le banquier et fiscaliste de formation.
D'ailleurs, en ce qui concerne le chapitre du financement du football local contenu dans le programme à 11 points du candidat Sory Diabaté, Léonce Yacé a souligné la revalorisation de la subvention aux clubs en passant de 75 à 100 millions de Frs Cfa. Et ce, tout en mettant l’accent sur le développement du capital humain, l’amélioration des règles de gouvernance et le renforcement des capacités des dirigeants.
Patrick GUITEY
