Le président de la Fondation Toungara pour l’Art et la Culture, Adama Toungara, salue « avec beaucoup d’émotion et de peine », la disparition de Rose Marie Guiraud, une artiste exceptionnelle qui a fait connaître la culture ivoirienne à l’étranger.
Rose Marie Guiraud a toujours trouvé le temps pour participer aux activités culturelles nationales ou internationales comme le projet du Jury des Jeunes Chorégraphique, Théâtre & Miss Pageants pour l’Afrique et l’Europe, témoigne le nouvel ancien ministre maire, créateur du Musée des arts contemporains Adama Tounkara d’Abobo.
Elle était membre des Villes, éducatrice aux Etats-Unis, maître de conférences, chercheuse de talents et productrice d’artistes et personnalités de la radio et la télévision, guitariste et percussionniste sans compter ses innombrables tournées artistiques.
Dans « La survivante», son autobiographie, Rose Marie Guiraud, la danseuse et chorégraphe, fondatrice de l’École de danse et d’échanges culturels (EDEC) et de la mythique troupe « Les Guirivoires », est, selon le préfacier, Tiburce Koffi, la virtuose, l’égérie de « la danse de la beauté, l’amour du donner et du recevoir, la vie et la lumière ».
« Elle était une fierté et une vitrine de ma région d’origine, le grand Ouest qui perd en elle une valeureuse fille », témoigne le mécène Toungara qui présente ses condoléances à sa famille biologique, au grand Ouest et à la grande famille de la culture.
(AIP)
aaa/cmas
Rose Marie Guiraud a toujours trouvé le temps pour participer aux activités culturelles nationales ou internationales comme le projet du Jury des Jeunes Chorégraphique, Théâtre & Miss Pageants pour l’Afrique et l’Europe, témoigne le nouvel ancien ministre maire, créateur du Musée des arts contemporains Adama Tounkara d’Abobo.
Elle était membre des Villes, éducatrice aux Etats-Unis, maître de conférences, chercheuse de talents et productrice d’artistes et personnalités de la radio et la télévision, guitariste et percussionniste sans compter ses innombrables tournées artistiques.
Dans « La survivante», son autobiographie, Rose Marie Guiraud, la danseuse et chorégraphe, fondatrice de l’École de danse et d’échanges culturels (EDEC) et de la mythique troupe « Les Guirivoires », est, selon le préfacier, Tiburce Koffi, la virtuose, l’égérie de « la danse de la beauté, l’amour du donner et du recevoir, la vie et la lumière ».
« Elle était une fierté et une vitrine de ma région d’origine, le grand Ouest qui perd en elle une valeureuse fille », témoigne le mécène Toungara qui présente ses condoléances à sa famille biologique, au grand Ouest et à la grande famille de la culture.
(AIP)
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