Bonoua - Le chef de services de l'antenne de transfusion sanguine de Bonoua, Dr Kréman Don Joël, a confié lundi, à l'AIP, une pénurie accentuée de poches de sang dans ses services, depuis le déclenchement de la pandémie de la Covid-19.
"L'antenne enregistre une baisse de 75% des prélèvements, par rapport à l'an dernier, avec zéro collecte mobile", a relevé Dr Kréman, qui attribue cette situation à la pandémie de la COVID-19.
"Depuis le déclenchement de la pandémie, nos donneurs réguliers ne nous visitent plus. Les établissements scolaires sont fermés et les entreprises que nous avons l'habitude de solliciter durant les collectes mobiles tournent avec des effectifs réduits. Ce qui fait que la collecte est inexistante", a-t-il déclaré.
Dr Kréman, tout en rassurant les donneurs habituels et potentiels que le don de sang est totalement sécurisé, les invite à venir poser l'acte qui sauve des vies.
L'antenne de transfusion sanguine de Bonoua a pour mission de faire la collecte des poches de sang pour les convoyer au CNTS d'Abidjan. Après traitement, les poches lui sont renvoyées pour les besoins des hôpitaux publics d'Adiaké, Grand-Bassam et Bonoua.
(AIP)
as/eaa/fmo
"L'antenne enregistre une baisse de 75% des prélèvements, par rapport à l'an dernier, avec zéro collecte mobile", a relevé Dr Kréman, qui attribue cette situation à la pandémie de la COVID-19.
"Depuis le déclenchement de la pandémie, nos donneurs réguliers ne nous visitent plus. Les établissements scolaires sont fermés et les entreprises que nous avons l'habitude de solliciter durant les collectes mobiles tournent avec des effectifs réduits. Ce qui fait que la collecte est inexistante", a-t-il déclaré.
Dr Kréman, tout en rassurant les donneurs habituels et potentiels que le don de sang est totalement sécurisé, les invite à venir poser l'acte qui sauve des vies.
L'antenne de transfusion sanguine de Bonoua a pour mission de faire la collecte des poches de sang pour les convoyer au CNTS d'Abidjan. Après traitement, les poches lui sont renvoyées pour les besoins des hôpitaux publics d'Adiaké, Grand-Bassam et Bonoua.
(AIP)
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