Depuis quelques mois, les responsables du Centre national de recherche agronomique (CNRA) sont en attente d’une étude du patrimoine foncier de leur institution de recherche pour mettre fin aux conflits fonciers et demandent aux autorités gouvernementales d’accélérer ce processus pour que les chercheurs puissent atteindre en toute quiétude les objectifs de recherche que l’Etat lui a assignés.
« Nous appelons de tous nos vœux l’étude de ce patrimoine afin qu’à l’issue de cette étude, nous ayons tous les documents dont nous avons besoin pour que les sites soient au nom du CNRA et nous puissions travailler dans la quiétude », a déclaré mardi, son directeur du domaine et des moyens généraux, Dr Guy Modeste Gnahoua.
Il s’exprimait, lors d’une visite du site de la direction générale du CNRA sis à Adipodoumé, morcelé par endroit par des riverains pour y établir des habitations et de nombreux projets immobiliers.
« Nous voulons que l’Etat nous donne des titres fonciers au nom du CNRA sur ces patrimoines, afin que nous puissions travailler dans la quiétude. Sinon le CNRA ne sera pas capable d’atteindre les objectifs de recherche que l’Etat lui a assignés alors qu’aujourd’hui, les recherches menées sont très stratégiques. Elles s’inscrivent dans la création de certaines variétés pour le réchauffement climatique qui est devenu une réalité aujourd’hui », a indiqué Dr Gnahoua.
« Nous appelons de tous nos vœux l’étude de ce patrimoine afin qu’à l’issue de cette étude, nous ayons tous les documents dont nous avons besoin pour que les sites soient au nom du CNRA et nous puissions travailler dans la quiétude », a déclaré mardi, son directeur du domaine et des moyens généraux, Dr Guy Modeste Gnahoua.
Il s’exprimait, lors d’une visite du site de la direction générale du CNRA sis à Adipodoumé, morcelé par endroit par des riverains pour y établir des habitations et de nombreux projets immobiliers.
« Nous voulons que l’Etat nous donne des titres fonciers au nom du CNRA sur ces patrimoines, afin que nous puissions travailler dans la quiétude. Sinon le CNRA ne sera pas capable d’atteindre les objectifs de recherche que l’Etat lui a assignés alors qu’aujourd’hui, les recherches menées sont très stratégiques. Elles s’inscrivent dans la création de certaines variétés pour le réchauffement climatique qui est devenu une réalité aujourd’hui », a indiqué Dr Gnahoua.