Dans " Yeux dans yeux", le ministre Amon-Tanoh parle de l’autonomisation de la femme. Ci-dessous son opinion.
« Une femme, c’est une femme. C’est différent d’un homme, c’est sûr. Mais pour moi, une femme, c’est un être humain dans une société. Et on ne devrait pas différencier la femme de l’homme de ce point de vue-là. Il faut donner à une femme les mêmes chances que celles qu’on donne aux hommes. Je donne mes exemples récents, mon directeur de cabinet est une femme au ministère des Affaires Etrangères. Mon chef de Cabinet est une femme au ministère des Affaires Etrangères. Mes assistantes les plus proches, mes conseillères, c’était deux (02) femmes. Je trouve que dans nos sociétés africaines, on devrait avoir plus de femmes impliquées aussi bien dans les activités politiques que dans la vie de la société d’une manière générale. Votre femme, c’est important qu’elle ait une indépendance financière. Il faut que très rapidement, elle ait une activité par laquelle elle puisse, d’une part, s’épanouir et d’autre part subvenir à ses besoins indépendamment de son mari. Parce que cela va contribuer à l’équilibre du ménage. Ce n’est pas bien qu’elle se sente dépendante. Il n’y a pas de raison. Mao Tse Toung disait que la femme, c’est la moitié du ciel. Il n’y a pas de raison qu’on ignore la moitié du ciel »
Propos recueillis par DJE KM
« Une femme, c’est une femme. C’est différent d’un homme, c’est sûr. Mais pour moi, une femme, c’est un être humain dans une société. Et on ne devrait pas différencier la femme de l’homme de ce point de vue-là. Il faut donner à une femme les mêmes chances que celles qu’on donne aux hommes. Je donne mes exemples récents, mon directeur de cabinet est une femme au ministère des Affaires Etrangères. Mon chef de Cabinet est une femme au ministère des Affaires Etrangères. Mes assistantes les plus proches, mes conseillères, c’était deux (02) femmes. Je trouve que dans nos sociétés africaines, on devrait avoir plus de femmes impliquées aussi bien dans les activités politiques que dans la vie de la société d’une manière générale. Votre femme, c’est important qu’elle ait une indépendance financière. Il faut que très rapidement, elle ait une activité par laquelle elle puisse, d’une part, s’épanouir et d’autre part subvenir à ses besoins indépendamment de son mari. Parce que cela va contribuer à l’équilibre du ménage. Ce n’est pas bien qu’elle se sente dépendante. Il n’y a pas de raison. Mao Tse Toung disait que la femme, c’est la moitié du ciel. Il n’y a pas de raison qu’on ignore la moitié du ciel »
Propos recueillis par DJE KM