Le chef de l’État burundais est décédé, lundi 8 juin, à l’hôpital du Cinquantenaire de Karusi, officiellement d’un arrêt cardiaque. Il sort de la scène avant d’avoir remis, en bonne et due forme, le pouvoir à son successeur, le général Évariste Ndayishimiye, élu le 24 mai dernier. La disparition de celui qui régentait le Burundi depuis quinze ans ne devrait donc pas laisser de vide institutionnel, mais plusieurs interrogations demeurent.
Officiellement, Pierre Nkurunziza devait remettre le fauteuil présidentiel à son successeur lors d’une grande cérémonie populaire le 20 août prochain, à la fin de son troisième mandat. Le président Nkurunziza devait devenir le « guide suprême du patriotisme ». Sa disparition soudaine bouscule cette donne. Et... suite de l'article sur RFI
Officiellement, Pierre Nkurunziza devait remettre le fauteuil présidentiel à son successeur lors d’une grande cérémonie populaire le 20 août prochain, à la fin de son troisième mandat. Le président Nkurunziza devait devenir le « guide suprême du patriotisme ». Sa disparition soudaine bouscule cette donne. Et... suite de l'article sur RFI