L’ANRMP a fait paraitre un communiqué le vendredi 5 juin 2020 soit 7 jours après ma dénonciation du licenciement abusif dont je suis l’objet.
A cet effet, il convient de rappeler que la vidéo institutionnelle que j’ai diffusée s’inscrit dans le type des lettres ouvertes qui donnent droit à tout citoyen de s’adresser directement au Président de la République dans une démocratie quand les circonstances l’exigent.
Ce fut le cas de l’article J’ACCUSE de l’écrivain Emile Zola paru dans le journal l’Aurore du 13 janvier 1898 et qui a eu pour résultat le blanchiment total du capitaine Dreyfus accusé à tort après une terrible et experte machination comme celle dont je suis victime.
Mon message sous forme de vidéo institutionnelle est adressé à Son Excellence Monsieur le Président de la République, même si ce genre de lettre ouverte impose une publicité. SEM le Président de la République a éminemment toute l’intelligence et toute l’autorité pour trancher.
Dans cette attente, j’avais décidé de faire tarir mes propos et de mettre mes cordes vocales en sourdine afin d’observer un silence républicain.
Toutefois, à l’analyse du communiqué de l’ANRMP, des éléments dont la fausseté est on ne peut flagrante apparaissent.
Emile Zola disait « quand on enferme la vérité sous terre. Elle s’y amasse. Elle y prend une force telle d’explosion, que, le jour où elle éclate, elle fait tout sauter avec elle ».
Au lendemain du communiqué de l’ANRMP, me voici donc contraint de réagir, afin que tous les citoyens qui ont lu ce communiqué fabriqué de toutes pièces dans les laboratoires de l’ANRMP pendant 7 jours, soient situés sur la véracité des faits.
Incursion sur le théâtre des opérations avec des preuves incontestables à l’appui.
1- L’appel à candidatures a bel et bien été contesté
Le communiqué de l’ANRMP indique : « Monsieur KONAN N’Guessan Yao Paulin, n’a jamais contesté ni le principe, ni la procédure de l’appel à candidature. »
Cela est archifaux.
Je vous présente juste les preuves que l’appel à candidatures a bel et bien été contesté.
Preuve n° 1
Le 17 octobre 2018, un mémoire du secrétariat général de l’ANRMP sur le principe de la reprise des appels à candidature de ses membres a été rédigé par mes soins et signé par tous les secrétaires Généraux. Ce mémoire a été par la suite exposé devant tous les membres du Conseil de Régulation de l’ANRMP par le Secrétaire Général.
La conclusion de ce mémoire était la suivante :
« L’Ordonnance vise à rendre l’ANRMP plus forte et non à la fragiliser.
En outre, au nom du principe de la continuité de l’Administration, et fort de ce que les membres du Secrétariat Général actuellement en poste capitalisent huit (8) années d’expérience à leurs postes respectifs, après avoir satisfait aux critères de recrutement par appels à candidatures, qui leur a donné droit à des contrats à durée indéterminée, et qu’ils ont été confirmés dans leurs fonctions respectives le 8 mai 2014 par Monsieur le Président de la République, le Secrétariat Général souhaiterait que leurs postes respectifs ne soient pas l’objet d’une nouvelle mise en concurrence. »
Preuve n° 2
Monsieur Coulibaly Yacouba Pénagnaba, par courrier portant la référence 1913/ANRMP/PCR que j’ai reçu le 9 décembre 2019 indique : « Je vous exprime par ailleurs mes regrets pour la longueur exceptionnelle de cette procédure due au traitement de deux recours formulés par des candidats à des étapes du processus ».
Ainsi, l’appel à candidatures a bel et bien été contesté, contrairement à ce qu’affirme le communiqué de l’ANRMP. Il a été contesté avant, pendant et après.
2- les nouveaux recrutés ne sont pas nettement plus qualifiés que les cadres licenciés
Le communiqué de l’ANRMP indique : « Le Conseil de l’ANRMP, sur la base du rapport du Cabinet de recrutement et à la suite des entretiens avec les différents postulants, lui a préféré un candidat nettement plus qualifié. »
L’on veut essayer de faire croire qu’un candidat qui vient d’une autre structure et qui n’a pas la pratique de la régulation des marchés publics est nettement plus qualifié que Monsieur Konan, qui a occupé le poste le Secrétaire Général Adjoint de l’ANRMP pendant près de dix (10) ans.
Non, Monsieur Coulibaly Yacouba Pénagnaba ne peut aujourd’hui dire que Monsieur Konan n’est pas qualifié car en 2010, Monsieur Coulibaly Yacouba Pénagnaba alors secrétaire général de l’ANRMP était le secrétaire du jury qui l’a évalué car il a écrit en date du 15 février 2010 ce qui suit :
« J’ai l’honneur de vous faire notification de ce que suite à sa délibération en date du mardi 02 février 2010, le Conseil de l’Autorité Nationale de Régulation des Marchés Publics (ANRMP), vous a retenu au poste visé en objet.
Je vous informe par ailleurs que vous êtes proposé pour être nommé à ce poste par arrêté ministériel conformément aux dispositions de l’article 30 du Décret n°260 du 06 août 2009 portant organisation et fonctionnement de l’ANRMP.
Je vous présente mes félicitations et vous invite à prendre les dispositions utiles pour votre prise de fonction le 1er mars 2010.
Veuillez agréer, Monsieur, l’expression de mes sentiments distingués. »
Rendez-vous compte, en 2010, j’étais le meilleur candidat. Je reçois les félicitations de Monsieur COULIBALY Yacouba Pénagnaba. En 2012, il est appelé à d’autres fonctions. Il revient en 2018 comme Président de l’ANRMP. Et subitement, M. KONAN désormais bonifié de 10 années de pratique de la régulation des marchés devient incompétent à son poste. Un autre candidat lui est préféré. Allez-y comprendre quelque chose…
La vérité, c’est que contrairement à l’appel à candidatures fait en 2010, celui organisé en 2019 était un simulacre de sélection. En voici la preuve :
- En 2010, l’initiative du recrutement a été portée par la volonté nationale de l’Etat de Côte d’Ivoire. C’est le Gouvernement qui a porté les recrutements. Mais en 2019, les recrutements ont été faits uniquement par la volonté personnel du Président de l’ANRMP ;
- En 2010, le recrutement comportait des Termes de référence de 11 pages. En 2019, il n’y a eu aucun terme de référence. La procédure de 2019 était opaque ;
- En 2010, C’est le Conseil de l’ANRMP (12 membres) qui a piloté le recrutement, la procédure était transparence. Mais en 2019, le Président de l’ANRMP a imposé un cabinet de recrutement choisi par sa seule volonté en dehors de tout appel d’offres ;
- En 2010, le processus de recrutement comportait une sélection sur dossier et un entretien avec tous les 12 membres du Conseil sans exception. Mais en 2019, après la sélection sur dossier, les entretiens se sont déroulés uniquement avec le Président de l’ANRMP et 3 autres membres du Conseil de Régulation, en tout 4 personnes. Tous les autres membres du Conseil de Régulation ont été mis à l’écart ;
- En 2010, c’est le Secrétaire Général de l’ANRMP, Rapporteur du Jury, qui a notifié aux candidats les résultats. Mais en 2019, C’est uniquement le Président de l’ANRMP seul qui a notifié les résultats ;
- En 2010, le processus de recrutement a duré quelques jours mais en 2019, le processus de recrutement a duré 11 mois.
La comparaison montre que contrairement à l’appel à candidatures de 2010, en violation des principes de bonne gouvernance, notamment celui de la transparence, l’avis de cet appel à candidatures de 2019 est évasif, flou à dessein et clandestin (on ne sait même pas qu’il s’agit de l’ANRMP lorsqu’on lit l’avis d’appel à candidature).
L’appel à candidature de 2019 est une cabale orchestrée de toute pièce.
En outre, l’Ordonnance n’a jamais demandé la reprise de l’appel à candidature déjà fait. La preuve, le communiqué indique que c’est bien en dehors de l’Ordonnance que des avis ont servi de base au lancement du processus.
Ces avis ont convergé dans le sens de l’objectif voulu par Monsieur COULIBALY Yacouba Pénagnaba : celui de nous faire partir, vaille que vaille de l’ANRMP au mépris des règles de bonne gouvernance.
3- Je n’ai pas été rempli de la totalité de mes droits de rupture et aucun dommage et intérêt ne m’a été versé.
Le communiqué de l’ANRMP indique : « Le Conseil de Régulation tient à rappeler qu’en conséquence de la rupture du lien contractuel entre l’ANRMP et Monsieur KONAN N’guessan Yao Paulin, celui-ci a été dûment rempli de ses droits légaux ». Ce n’est pas vrai.
Je tiens à préciser que je n’ai pas été rempli de la totalité de mes droits de rupture qui se compose du paiement des droits légaux et du paiement des dommages et intérêts.
Je n’ai reçu qu’une infime partie.
S’agissant des droits légaux, l’ANRMP ne m’a pas versé la totalité.
Qui plus est, en ce qui concerne les dommages et intérêts, je n’ai rien perçu.
Contrairement à ce que dit le communiqué de l’ANRMP, je n’ai pas été rempli de la totalité de mes droits légaux, à plus forte raison des dommages et intérêts auxquels j’ai droit.
Pourquoi le paiement des dommages et intérêts s’impose-t-il ?
Je relève que je n’ai pas démissionné.
J’avais les assurances suivantes :
§ j’ai été recruté après un appel à candidatures en 2010 ;
§ j’avais un Contrat à Durée Indéterminée ;
§ j’ai été nommé par Arrêté de SEM le Président de la République et j’ai été immatriculé à la Fonction Publique avec le matricule 500 607 M.
Fort de ces assurances, j’ai contracté un prêt immobilier dont l’échéance est prévue pour 2027. A présent, sans avoir commis aucune faute, je suis licencié et sans ressources.
Ainsi, je ne peux plus rembourser ce prêt et je risque d’être expulsé de ma maison.
Au total, je me suis limité à présenter ces quelques éléments pour juste faire éclater la vérité devant les flagrantes fausses affirmations du communiqué de l’ANRMP.
J’ai déjà remis mon triste sort entre les mains SEM le Président de la République, ultime recours pour nous qui n’avons pas de protecteur.
J’attends encore et toujours très respectueusement.
M. Konan Paulin, ex Secrétaire Général Adjoint de ANRMP
A cet effet, il convient de rappeler que la vidéo institutionnelle que j’ai diffusée s’inscrit dans le type des lettres ouvertes qui donnent droit à tout citoyen de s’adresser directement au Président de la République dans une démocratie quand les circonstances l’exigent.
Ce fut le cas de l’article J’ACCUSE de l’écrivain Emile Zola paru dans le journal l’Aurore du 13 janvier 1898 et qui a eu pour résultat le blanchiment total du capitaine Dreyfus accusé à tort après une terrible et experte machination comme celle dont je suis victime.
Mon message sous forme de vidéo institutionnelle est adressé à Son Excellence Monsieur le Président de la République, même si ce genre de lettre ouverte impose une publicité. SEM le Président de la République a éminemment toute l’intelligence et toute l’autorité pour trancher.
Dans cette attente, j’avais décidé de faire tarir mes propos et de mettre mes cordes vocales en sourdine afin d’observer un silence républicain.
Toutefois, à l’analyse du communiqué de l’ANRMP, des éléments dont la fausseté est on ne peut flagrante apparaissent.
Emile Zola disait « quand on enferme la vérité sous terre. Elle s’y amasse. Elle y prend une force telle d’explosion, que, le jour où elle éclate, elle fait tout sauter avec elle ».
Au lendemain du communiqué de l’ANRMP, me voici donc contraint de réagir, afin que tous les citoyens qui ont lu ce communiqué fabriqué de toutes pièces dans les laboratoires de l’ANRMP pendant 7 jours, soient situés sur la véracité des faits.
Incursion sur le théâtre des opérations avec des preuves incontestables à l’appui.
1- L’appel à candidatures a bel et bien été contesté
Le communiqué de l’ANRMP indique : « Monsieur KONAN N’Guessan Yao Paulin, n’a jamais contesté ni le principe, ni la procédure de l’appel à candidature. »
Cela est archifaux.
Je vous présente juste les preuves que l’appel à candidatures a bel et bien été contesté.
Preuve n° 1
Le 17 octobre 2018, un mémoire du secrétariat général de l’ANRMP sur le principe de la reprise des appels à candidature de ses membres a été rédigé par mes soins et signé par tous les secrétaires Généraux. Ce mémoire a été par la suite exposé devant tous les membres du Conseil de Régulation de l’ANRMP par le Secrétaire Général.
La conclusion de ce mémoire était la suivante :
« L’Ordonnance vise à rendre l’ANRMP plus forte et non à la fragiliser.
En outre, au nom du principe de la continuité de l’Administration, et fort de ce que les membres du Secrétariat Général actuellement en poste capitalisent huit (8) années d’expérience à leurs postes respectifs, après avoir satisfait aux critères de recrutement par appels à candidatures, qui leur a donné droit à des contrats à durée indéterminée, et qu’ils ont été confirmés dans leurs fonctions respectives le 8 mai 2014 par Monsieur le Président de la République, le Secrétariat Général souhaiterait que leurs postes respectifs ne soient pas l’objet d’une nouvelle mise en concurrence. »
Preuve n° 2
Monsieur Coulibaly Yacouba Pénagnaba, par courrier portant la référence 1913/ANRMP/PCR que j’ai reçu le 9 décembre 2019 indique : « Je vous exprime par ailleurs mes regrets pour la longueur exceptionnelle de cette procédure due au traitement de deux recours formulés par des candidats à des étapes du processus ».
Ainsi, l’appel à candidatures a bel et bien été contesté, contrairement à ce qu’affirme le communiqué de l’ANRMP. Il a été contesté avant, pendant et après.
2- les nouveaux recrutés ne sont pas nettement plus qualifiés que les cadres licenciés
Le communiqué de l’ANRMP indique : « Le Conseil de l’ANRMP, sur la base du rapport du Cabinet de recrutement et à la suite des entretiens avec les différents postulants, lui a préféré un candidat nettement plus qualifié. »
L’on veut essayer de faire croire qu’un candidat qui vient d’une autre structure et qui n’a pas la pratique de la régulation des marchés publics est nettement plus qualifié que Monsieur Konan, qui a occupé le poste le Secrétaire Général Adjoint de l’ANRMP pendant près de dix (10) ans.
Non, Monsieur Coulibaly Yacouba Pénagnaba ne peut aujourd’hui dire que Monsieur Konan n’est pas qualifié car en 2010, Monsieur Coulibaly Yacouba Pénagnaba alors secrétaire général de l’ANRMP était le secrétaire du jury qui l’a évalué car il a écrit en date du 15 février 2010 ce qui suit :
« J’ai l’honneur de vous faire notification de ce que suite à sa délibération en date du mardi 02 février 2010, le Conseil de l’Autorité Nationale de Régulation des Marchés Publics (ANRMP), vous a retenu au poste visé en objet.
Je vous informe par ailleurs que vous êtes proposé pour être nommé à ce poste par arrêté ministériel conformément aux dispositions de l’article 30 du Décret n°260 du 06 août 2009 portant organisation et fonctionnement de l’ANRMP.
Je vous présente mes félicitations et vous invite à prendre les dispositions utiles pour votre prise de fonction le 1er mars 2010.
Veuillez agréer, Monsieur, l’expression de mes sentiments distingués. »
Rendez-vous compte, en 2010, j’étais le meilleur candidat. Je reçois les félicitations de Monsieur COULIBALY Yacouba Pénagnaba. En 2012, il est appelé à d’autres fonctions. Il revient en 2018 comme Président de l’ANRMP. Et subitement, M. KONAN désormais bonifié de 10 années de pratique de la régulation des marchés devient incompétent à son poste. Un autre candidat lui est préféré. Allez-y comprendre quelque chose…
La vérité, c’est que contrairement à l’appel à candidatures fait en 2010, celui organisé en 2019 était un simulacre de sélection. En voici la preuve :
- En 2010, l’initiative du recrutement a été portée par la volonté nationale de l’Etat de Côte d’Ivoire. C’est le Gouvernement qui a porté les recrutements. Mais en 2019, les recrutements ont été faits uniquement par la volonté personnel du Président de l’ANRMP ;
- En 2010, le recrutement comportait des Termes de référence de 11 pages. En 2019, il n’y a eu aucun terme de référence. La procédure de 2019 était opaque ;
- En 2010, C’est le Conseil de l’ANRMP (12 membres) qui a piloté le recrutement, la procédure était transparence. Mais en 2019, le Président de l’ANRMP a imposé un cabinet de recrutement choisi par sa seule volonté en dehors de tout appel d’offres ;
- En 2010, le processus de recrutement comportait une sélection sur dossier et un entretien avec tous les 12 membres du Conseil sans exception. Mais en 2019, après la sélection sur dossier, les entretiens se sont déroulés uniquement avec le Président de l’ANRMP et 3 autres membres du Conseil de Régulation, en tout 4 personnes. Tous les autres membres du Conseil de Régulation ont été mis à l’écart ;
- En 2010, c’est le Secrétaire Général de l’ANRMP, Rapporteur du Jury, qui a notifié aux candidats les résultats. Mais en 2019, C’est uniquement le Président de l’ANRMP seul qui a notifié les résultats ;
- En 2010, le processus de recrutement a duré quelques jours mais en 2019, le processus de recrutement a duré 11 mois.
La comparaison montre que contrairement à l’appel à candidatures de 2010, en violation des principes de bonne gouvernance, notamment celui de la transparence, l’avis de cet appel à candidatures de 2019 est évasif, flou à dessein et clandestin (on ne sait même pas qu’il s’agit de l’ANRMP lorsqu’on lit l’avis d’appel à candidature).
L’appel à candidature de 2019 est une cabale orchestrée de toute pièce.
En outre, l’Ordonnance n’a jamais demandé la reprise de l’appel à candidature déjà fait. La preuve, le communiqué indique que c’est bien en dehors de l’Ordonnance que des avis ont servi de base au lancement du processus.
Ces avis ont convergé dans le sens de l’objectif voulu par Monsieur COULIBALY Yacouba Pénagnaba : celui de nous faire partir, vaille que vaille de l’ANRMP au mépris des règles de bonne gouvernance.
3- Je n’ai pas été rempli de la totalité de mes droits de rupture et aucun dommage et intérêt ne m’a été versé.
Le communiqué de l’ANRMP indique : « Le Conseil de Régulation tient à rappeler qu’en conséquence de la rupture du lien contractuel entre l’ANRMP et Monsieur KONAN N’guessan Yao Paulin, celui-ci a été dûment rempli de ses droits légaux ». Ce n’est pas vrai.
Je tiens à préciser que je n’ai pas été rempli de la totalité de mes droits de rupture qui se compose du paiement des droits légaux et du paiement des dommages et intérêts.
Je n’ai reçu qu’une infime partie.
S’agissant des droits légaux, l’ANRMP ne m’a pas versé la totalité.
Qui plus est, en ce qui concerne les dommages et intérêts, je n’ai rien perçu.
Contrairement à ce que dit le communiqué de l’ANRMP, je n’ai pas été rempli de la totalité de mes droits légaux, à plus forte raison des dommages et intérêts auxquels j’ai droit.
Pourquoi le paiement des dommages et intérêts s’impose-t-il ?
Je relève que je n’ai pas démissionné.
J’avais les assurances suivantes :
§ j’ai été recruté après un appel à candidatures en 2010 ;
§ j’avais un Contrat à Durée Indéterminée ;
§ j’ai été nommé par Arrêté de SEM le Président de la République et j’ai été immatriculé à la Fonction Publique avec le matricule 500 607 M.
Fort de ces assurances, j’ai contracté un prêt immobilier dont l’échéance est prévue pour 2027. A présent, sans avoir commis aucune faute, je suis licencié et sans ressources.
Ainsi, je ne peux plus rembourser ce prêt et je risque d’être expulsé de ma maison.
Au total, je me suis limité à présenter ces quelques éléments pour juste faire éclater la vérité devant les flagrantes fausses affirmations du communiqué de l’ANRMP.
J’ai déjà remis mon triste sort entre les mains SEM le Président de la République, ultime recours pour nous qui n’avons pas de protecteur.
J’attends encore et toujours très respectueusement.
M. Konan Paulin, ex Secrétaire Général Adjoint de ANRMP