Bouaflé - Une délégation conduite par le directeur départemental du Tourisme et des Loisirs de Bouaflé, Diby Koffi Justin Médard s’est rendue samedi à Tibéita (Bouaflé) pour apporter la compassion de la tutelle à la famille du danseur de Zaouli, feu Zamblé Bi Loh Samuel.
« Chers parents, nous venons exprimer la compassion et la solidarité du ministre du Tourisme et des Loisirs, attristé par la disparition de notre frère », a indiqué M. Diby. Il a remis la somme de 500.000 francs CFA en plus de deux bouteilles de liqueur à la famille éplorée, en guise de soutien.
La famille du défunt qui s’est dite touchée par cette marque de sympathie et de soutien, a adressé ses remerciements au ministre du Tourisme et des Loisirs.
Décédé le 22 février à Okabo, dans la sous-préfecture de Pakouabo, l’artiste Zamblé Bi Loh Samuel a été inhumé samedi au cimetière de Tibéita, dans le département de Bouaflé.
Le Zaouli à l’origine est inspiré par deux masques du peuple Gouro, à savoir le Blou « La hernie » et le Djela « Le lion ». A la fois une danse et une musique, le Zaouli a été créé dans les années 1950 à Zrabi Séhifla, dans le département de Zuénoula par Sonnin Bi Tah dit Wonninla, avec pour premier danseur Kouahi Bi Vohizié. Le Zaouli traduit l’idée du beau. Il est un hommage à la beauté féminine.
Le Zaouli a été inscrit le 6 décembre 2017 sur la liste représentative du patrimoine immatériel de l’humanité par l'UNESCO.
(AIP)
ns/cmas
« Chers parents, nous venons exprimer la compassion et la solidarité du ministre du Tourisme et des Loisirs, attristé par la disparition de notre frère », a indiqué M. Diby. Il a remis la somme de 500.000 francs CFA en plus de deux bouteilles de liqueur à la famille éplorée, en guise de soutien.
La famille du défunt qui s’est dite touchée par cette marque de sympathie et de soutien, a adressé ses remerciements au ministre du Tourisme et des Loisirs.
Décédé le 22 février à Okabo, dans la sous-préfecture de Pakouabo, l’artiste Zamblé Bi Loh Samuel a été inhumé samedi au cimetière de Tibéita, dans le département de Bouaflé.
Le Zaouli à l’origine est inspiré par deux masques du peuple Gouro, à savoir le Blou « La hernie » et le Djela « Le lion ». A la fois une danse et une musique, le Zaouli a été créé dans les années 1950 à Zrabi Séhifla, dans le département de Zuénoula par Sonnin Bi Tah dit Wonninla, avec pour premier danseur Kouahi Bi Vohizié. Le Zaouli traduit l’idée du beau. Il est un hommage à la beauté féminine.
Le Zaouli a été inscrit le 6 décembre 2017 sur la liste représentative du patrimoine immatériel de l’humanité par l'UNESCO.
(AIP)
ns/cmas