Abidjan - Le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a appelé à préserver les soins de santé sexuelle et procréative, à protéger la santé et les droits des femmes et des filles et à mettre fin à la violence de genre lors de la journée mondiale de la population célébrée, samedi.
La pandémie du Covid-19 aggrave les inégalités et les vulnérabilités préexistantes, en particulier pour les femmes et les filles mais il faut continuer à préserver les soins de santé sexuelle et procréative, à protéger la santé et les droits des femmes et des filles et à mettre fin à la violence, a déploré M. Guterres.
Dans de nombreux pays, lorsque la population est confinée et le système de santé mis à rude épreuve, la santé sexuelle et procréative est reléguée au second plan et la violence de genre est en augmentation, a-t-il souligné.
Le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) prévient que si les mesures de confinement accompagnées de perturbations majeures des services de santé devaient se poursuivre pendant encore six mois, ce sont 47 millions de femmes qui, dans les pays à faible revenu ou à revenu intermédiaire, risquent de ne pas pouvoir accéder à des moyens de contraception modernes.
Et cela entraînerait sept millions de grossesses non désirées et quelques 31 millions de nouveaux cas de violence de genre pourraient également faire leur apparition.
( AIP)
sdaf/ask
La pandémie du Covid-19 aggrave les inégalités et les vulnérabilités préexistantes, en particulier pour les femmes et les filles mais il faut continuer à préserver les soins de santé sexuelle et procréative, à protéger la santé et les droits des femmes et des filles et à mettre fin à la violence, a déploré M. Guterres.
Dans de nombreux pays, lorsque la population est confinée et le système de santé mis à rude épreuve, la santé sexuelle et procréative est reléguée au second plan et la violence de genre est en augmentation, a-t-il souligné.
Le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) prévient que si les mesures de confinement accompagnées de perturbations majeures des services de santé devaient se poursuivre pendant encore six mois, ce sont 47 millions de femmes qui, dans les pays à faible revenu ou à revenu intermédiaire, risquent de ne pas pouvoir accéder à des moyens de contraception modernes.
Et cela entraînerait sept millions de grossesses non désirées et quelques 31 millions de nouveaux cas de violence de genre pourraient également faire leur apparition.
( AIP)
sdaf/ask