Abidjan - Un hommage sera rendu par la nation ivoirienne, vendredi à la primature à Abidjan, à son ex-Premier ministre, Seydou Elimane Diarra, décédé le 19 juillet à l’âge de 87 ans.
Cette cérémonie sera suivie le même jour de la prière du vendredi, suivie de la prière mortuaire à la grande mosquée de la Riviera Golf, avant l’inhumation dans la stricte intimité familiale.
De 15h00 à 17h00, auront lieu les cérémonies de 3ème et 7ème jour à la grande mosquée de la Riviera Golf, avant une messe d’action de grâce prévue samedi à 15h00 à l’Eglise Saint Jacques des Deux Plateaux dans la commune de Cocody.
Âgé de 87 ans à son décès, l’ex-Premier ministre, Seydou Elimane Diarra, fut le chef du gouvernement sous la transition militaire dirigée par le général Robert Gueï, après le coup d’Etat de Noël 1999, jusqu’à octobre 2000.
Il redevint premier ministre de février 2003 à décembre 2005, dans le gouvernement d’union nationale mis en place après l’accord de Linas-Marcoussis, censé mettre un terme à la crise ivoirienne. Cette crise a éclaté en 2002 quand une rébellion a pris le contrôle de la moitié nord du pays, après une tentative de coup d’Etat ratée contre le président Laurent Gbagbo.
A la fin de sa carrière, Seydou Diarra avait été nommé par le président Alassane Ouattara, premier président de la Haute Autorité pour la bonne gouvernance, de 2013 à 2015.
gak/tm
Cette cérémonie sera suivie le même jour de la prière du vendredi, suivie de la prière mortuaire à la grande mosquée de la Riviera Golf, avant l’inhumation dans la stricte intimité familiale.
De 15h00 à 17h00, auront lieu les cérémonies de 3ème et 7ème jour à la grande mosquée de la Riviera Golf, avant une messe d’action de grâce prévue samedi à 15h00 à l’Eglise Saint Jacques des Deux Plateaux dans la commune de Cocody.
Âgé de 87 ans à son décès, l’ex-Premier ministre, Seydou Elimane Diarra, fut le chef du gouvernement sous la transition militaire dirigée par le général Robert Gueï, après le coup d’Etat de Noël 1999, jusqu’à octobre 2000.
Il redevint premier ministre de février 2003 à décembre 2005, dans le gouvernement d’union nationale mis en place après l’accord de Linas-Marcoussis, censé mettre un terme à la crise ivoirienne. Cette crise a éclaté en 2002 quand une rébellion a pris le contrôle de la moitié nord du pays, après une tentative de coup d’Etat ratée contre le président Laurent Gbagbo.
A la fin de sa carrière, Seydou Diarra avait été nommé par le président Alassane Ouattara, premier président de la Haute Autorité pour la bonne gouvernance, de 2013 à 2015.
gak/tm