Le gouvernement des Etats-Unis a remis officiellement au Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique un centre de données pour améliorer l’allocation des ressources de santé pour la prévention et le traitement du VIH/SIDA. L'événement qui s’est tenu le jeudi 27 aout 2020 au siège du Programme National de Lutte contre le Sida (PNLS) marque également la fin officielle du projet Open Data Center for Health (OpenDCH), un effort de deux ans visant à fournir aux responsables de la santé du pays des données informations et outils d'aide à la décision.
En effet, par le biais de l'Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID) et avec le soutien financier du Plan d’Urgence du Président des Etats Unis contre le SIDA (PEPFAR), une coalition de partenaires composée des organisations basées aux États-Unis :le laboratoire de recherche AidData de William & Mary, et Development Gateway, de l’USAID , de la Direction de l'Informatique et de l'Information Sanitaire (DIIS) et du Programme National de Lutte contre le Sida (PNLS) a collaboré pour construire une plateforme pour les décideurs et les agents de santé qui intègre et visualise les données de sources multiples, utilisant des cartes et des tableaux de bord.
« Nous espérons que le système OpenDCH aidera les décideurs de tout le pays à exploiter les données pour une prise de décision fondée sur des preuves et, à terme, permettra de mettre fin au sida d’ici 2030 », a déclaré Bruno Senou, représentant l’USAID. « En ayant plusieurs sources de données intégrées, géolocalisées et visualisées sur une carte dynamique, les décideurs ont la capacité de voir facilement où se trouvent les points chauds du VIH / SIDA, ce qui leur permet d'allouer des ressources aux zones dans le besoin. »
Notons aussi que dans le cadre du projet, l'équipe a également formé des agents de santé centraux et fourni du matériel technologique et une formation à 39 districts prioritaires. « Nous sommes ravis de l’avenir de ce système et de l’impact durable qu’il aura sur la population ivoirienne », a déclaré Nesit Abedje, l’un des boursiers d’OpenDCH qui a dirigé la formation des responsables de la santé du gouvernement central et des districts.
Le système sera désormais hébergé par PNLS, dont la salle des serveurs a été rénovée avec un système de sécurité amélioré et un câble en fibre optique pour pouvoir héberger l'infrastructure technologique requise pour le portail.
En effet, par le biais de l'Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID) et avec le soutien financier du Plan d’Urgence du Président des Etats Unis contre le SIDA (PEPFAR), une coalition de partenaires composée des organisations basées aux États-Unis :le laboratoire de recherche AidData de William & Mary, et Development Gateway, de l’USAID , de la Direction de l'Informatique et de l'Information Sanitaire (DIIS) et du Programme National de Lutte contre le Sida (PNLS) a collaboré pour construire une plateforme pour les décideurs et les agents de santé qui intègre et visualise les données de sources multiples, utilisant des cartes et des tableaux de bord.
« Nous espérons que le système OpenDCH aidera les décideurs de tout le pays à exploiter les données pour une prise de décision fondée sur des preuves et, à terme, permettra de mettre fin au sida d’ici 2030 », a déclaré Bruno Senou, représentant l’USAID. « En ayant plusieurs sources de données intégrées, géolocalisées et visualisées sur une carte dynamique, les décideurs ont la capacité de voir facilement où se trouvent les points chauds du VIH / SIDA, ce qui leur permet d'allouer des ressources aux zones dans le besoin. »
Notons aussi que dans le cadre du projet, l'équipe a également formé des agents de santé centraux et fourni du matériel technologique et une formation à 39 districts prioritaires. « Nous sommes ravis de l’avenir de ce système et de l’impact durable qu’il aura sur la population ivoirienne », a déclaré Nesit Abedje, l’un des boursiers d’OpenDCH qui a dirigé la formation des responsables de la santé du gouvernement central et des districts.
Le système sera désormais hébergé par PNLS, dont la salle des serveurs a été rénovée avec un système de sécurité amélioré et un câble en fibre optique pour pouvoir héberger l'infrastructure technologique requise pour le portail.