San-Pedro-Les élèves ont brillé par leur absence dans les écoles, au premier jour de la rentrée scolaire, a constaté l’AIP, lundi 14 septembre 2020, à San-Pedro.
Les bureaux de l’administration ont ouvert leurs portes, les personnels administratifs et les enseignants ont répondu à l’appel, mais il n’y a eu que quelques élèves qui se sont rendus dans les établissements d’enseignement secondaires et primaires publics, la plupart, en tenue bigarrée.
Les élèves et les parents qui se sont rendu dans les écoles y étaient pour des renseignements relatifs aux formalités administratives notamment, le retrait des bulletins de l’année scolaire achevée, pour les retardataires, et les inscriptions physiques.
Des chefs d’établissement comme, le proviseur du lycée moderne, Diarra Soumaïla, son collègue du lycée Inagohi, Zoumanan Kouamé, et la principale du collège KFW, Ahipaud Marie Thérèse, affirment avoir tout mis en œuvre pour la reprise effective des cours. Les fiches d’inscription, les emplois du temps, les listes des classes, le matériel pédagogique notamment, les cahiers de textes et les registres d’appel, sont prêts, ont-ils fait savoir.
Les chefs d’établissement indiquent que les inscriptions physiques ne sont pas un frein au démarrage effectif des cours, car les deux peuvent se faire parallèlement. Ils exhortent les parents d’élèves à se mobiliser pour la rentrée.
Le président du Comité de gestion des établissements scolaires (COGES) du lycée moderne, Diarra Tieman, estime que la reprise est difficile pour les parents d’élèves pour des raisons d’ordre financier.
Selon lui, la région étant une forte zone de production du cacao, les parents paysans attendent les recettes de leur production pour financer la scolarité de leurs enfants. Quant aux salariés, ils attendent la fin du mois pour faire face aux frais de scolarité.
Au niveau sanitaire, les dispositions ont été prises pour freiner la propagation de la pandémie à coronavirus (COVID-19). Ces mesures concernent le port de masques obligatoires pour les élèves, les enseignants et le personnel administratif et le lavage des mains au sein des établissements.
Il a été également recommandé aux chefs d’établissements du primaire et du secondaire de mettre en place un comité de veille pour sensibiliser et veiller au respect des mesures barrière contre le COVID-19.
L’année scolaire 2020-2021 sera divisée en deux semestres. Une partie du premier semestre sera consacrée à des cours de mise à niveau pour rattraper le retard de l’année scolaire 2019-2020 occasionné à la crise sanitaire liée au COVID-19.
Au niveau des écoles privées de la localité, la rentrée est fixée au 21 septembre.
nbf/ask
Les bureaux de l’administration ont ouvert leurs portes, les personnels administratifs et les enseignants ont répondu à l’appel, mais il n’y a eu que quelques élèves qui se sont rendus dans les établissements d’enseignement secondaires et primaires publics, la plupart, en tenue bigarrée.
Les élèves et les parents qui se sont rendu dans les écoles y étaient pour des renseignements relatifs aux formalités administratives notamment, le retrait des bulletins de l’année scolaire achevée, pour les retardataires, et les inscriptions physiques.
Des chefs d’établissement comme, le proviseur du lycée moderne, Diarra Soumaïla, son collègue du lycée Inagohi, Zoumanan Kouamé, et la principale du collège KFW, Ahipaud Marie Thérèse, affirment avoir tout mis en œuvre pour la reprise effective des cours. Les fiches d’inscription, les emplois du temps, les listes des classes, le matériel pédagogique notamment, les cahiers de textes et les registres d’appel, sont prêts, ont-ils fait savoir.
Les chefs d’établissement indiquent que les inscriptions physiques ne sont pas un frein au démarrage effectif des cours, car les deux peuvent se faire parallèlement. Ils exhortent les parents d’élèves à se mobiliser pour la rentrée.
Le président du Comité de gestion des établissements scolaires (COGES) du lycée moderne, Diarra Tieman, estime que la reprise est difficile pour les parents d’élèves pour des raisons d’ordre financier.
Selon lui, la région étant une forte zone de production du cacao, les parents paysans attendent les recettes de leur production pour financer la scolarité de leurs enfants. Quant aux salariés, ils attendent la fin du mois pour faire face aux frais de scolarité.
Au niveau sanitaire, les dispositions ont été prises pour freiner la propagation de la pandémie à coronavirus (COVID-19). Ces mesures concernent le port de masques obligatoires pour les élèves, les enseignants et le personnel administratif et le lavage des mains au sein des établissements.
Il a été également recommandé aux chefs d’établissements du primaire et du secondaire de mettre en place un comité de veille pour sensibiliser et veiller au respect des mesures barrière contre le COVID-19.
L’année scolaire 2020-2021 sera divisée en deux semestres. Une partie du premier semestre sera consacrée à des cours de mise à niveau pour rattraper le retard de l’année scolaire 2019-2020 occasionné à la crise sanitaire liée au COVID-19.
Au niveau des écoles privées de la localité, la rentrée est fixée au 21 septembre.
nbf/ask