Les chefs d’Etat de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) ont décidé, mardi à Accra au Ghana, de la levée des sanctions contre le Mali dès la nomination des responsables de la Transition.
Selon la présidence ivoirienne, cette décision a été annoncée à l’issue d’une rencontre de huit chefs d’Etat à huis clos, en marge d’une réunion consultative entre des chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO et les membres du Comité national pour le salut du peuple (CNSP, junte malienne).
La réunion a été «sanctionnée par un communiqué final dans lequel il a été, notamment, réaffirmé la décision de nomination d’un Président de Transition civil et d’un premier ministre civil, en vue de conduire la Transition politique, qui ne devrait pas excéder 18 mois », rapporte une note d’information de la présidence ivoirienne.
Les chefs d’Etat et de Gouvernement ont, également, décidé de la levée des sanctions dès la nomination des responsables de la Transition et de l’envoi, à Bamako, d’une délégation conduite par l’ancien Président nigérian, Goodluck Jonathan, médiateur de la CEDEAO, pour faire le point de la mise en œuvre de leurs décisions.
Au terme du sommet, le président ivoirien Alassane Ouattara, s’adressant à la presse, a souhaité que les décisions arrêtées par les chefs d’Etat puissent être mises en œuvre rapidement afin de favoriser la levée des sanctions et permettre au Mali de sortir rapidement de cette crise.
Dans son allocution d’ouverture, le président du Ghana, Nana Akufo-Addo, par ailleurs, président en exercice de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO, a indiqué que l’objectif de cette rencontre était de trouver une solution définitive à la crise malienne par la mise en place des institutions de la Transition, conformément aux recommandations du dernier sommet extraordinaire de la CEDEAO sur le Mali, tenu, par visioconférence, le 28 août 2020.
LS/APA
Selon la présidence ivoirienne, cette décision a été annoncée à l’issue d’une rencontre de huit chefs d’Etat à huis clos, en marge d’une réunion consultative entre des chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO et les membres du Comité national pour le salut du peuple (CNSP, junte malienne).
La réunion a été «sanctionnée par un communiqué final dans lequel il a été, notamment, réaffirmé la décision de nomination d’un Président de Transition civil et d’un premier ministre civil, en vue de conduire la Transition politique, qui ne devrait pas excéder 18 mois », rapporte une note d’information de la présidence ivoirienne.
Les chefs d’Etat et de Gouvernement ont, également, décidé de la levée des sanctions dès la nomination des responsables de la Transition et de l’envoi, à Bamako, d’une délégation conduite par l’ancien Président nigérian, Goodluck Jonathan, médiateur de la CEDEAO, pour faire le point de la mise en œuvre de leurs décisions.
Au terme du sommet, le président ivoirien Alassane Ouattara, s’adressant à la presse, a souhaité que les décisions arrêtées par les chefs d’Etat puissent être mises en œuvre rapidement afin de favoriser la levée des sanctions et permettre au Mali de sortir rapidement de cette crise.
Dans son allocution d’ouverture, le président du Ghana, Nana Akufo-Addo, par ailleurs, président en exercice de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO, a indiqué que l’objectif de cette rencontre était de trouver une solution définitive à la crise malienne par la mise en place des institutions de la Transition, conformément aux recommandations du dernier sommet extraordinaire de la CEDEAO sur le Mali, tenu, par visioconférence, le 28 août 2020.
LS/APA