Mankono – Un cas de poliomyélite a été détecté à Mankono, à l'issue d’un diagnostic de l’Institut Pasteur.
Ce cas est jugé alarmant par le directeur départemental de la Santé de Mankono, Kouamé Jean-Baptiste. Il a noté qu'un seul cas positif chez un enfant constituerait une vague d’épidémie qu’il faut tout de suite contenir.
Appréciant la réouverture de la campagne de vaccination qui débute le vendredi 18 septembre 2020 sur toute l’étendue du territoire national, il a invité les populations à faire vacciner leurs enfants de zéro à cinq ans pour prévenir tout risque d’épidémie dans la région.
« La polio est une maladie invalidante, des sujets ont été testés positifs dont un cas dans notre département. Malheureusement, il n’y a pas de médicament contre la polio, le vaccin reste la seule arme. Voilà pourquoi cette campagne a été initié. Tous les enfants sans exception doivent bénéficier de la vaccination pour éradiquer définitivement la maladie », a-t-il expliqué.
M. Kouamé invite les populations à ne point fermer leurs portes aux agents vaccinateurs. Ce refus occasionnerait un nouveau foyer de contamination, a-t-il prévenu.
(AIP)
tdmsc/bsp/cmas
Ce cas est jugé alarmant par le directeur départemental de la Santé de Mankono, Kouamé Jean-Baptiste. Il a noté qu'un seul cas positif chez un enfant constituerait une vague d’épidémie qu’il faut tout de suite contenir.
Appréciant la réouverture de la campagne de vaccination qui débute le vendredi 18 septembre 2020 sur toute l’étendue du territoire national, il a invité les populations à faire vacciner leurs enfants de zéro à cinq ans pour prévenir tout risque d’épidémie dans la région.
« La polio est une maladie invalidante, des sujets ont été testés positifs dont un cas dans notre département. Malheureusement, il n’y a pas de médicament contre la polio, le vaccin reste la seule arme. Voilà pourquoi cette campagne a été initié. Tous les enfants sans exception doivent bénéficier de la vaccination pour éradiquer définitivement la maladie », a-t-il expliqué.
M. Kouamé invite les populations à ne point fermer leurs portes aux agents vaccinateurs. Ce refus occasionnerait un nouveau foyer de contamination, a-t-il prévenu.
(AIP)
tdmsc/bsp/cmas
