Daoukro- Une vingtaine d'agents de santé ont été formés pour acquérir des rudiments en vue de lutter efficacement à l'éradication du paludisme en Côte d'Ivoire d'ici à 2030.
Au cours d'un atelier national de formation en surveillance, suivi et évaluation des programmes de lutte contre le paludisme, qui s'est déroulé du 25 septembre au 02 octobre 2020, à Daoukro, le Programme national de lutte contre le paludisme (Pnlp), en collaboration avec l'Usaid, partenaire financier et l'assistance technique de Measure Malaria, a apporté aux séminaristes des informations capitales pour la prise en charge efficace.
"Le problème de la lutte contre le paludisme est d'avoir des données de qualité, qui puissent permettre de prendre des décisions importantes, en vue de résoudre les questions", a indiqué le directeur coordinateur du Pnlp, Dr Tanoh Méa Antoine.
Selon lui, si ''nous voulons éliminer le paludisme d'ici 2030, il nous faut avoir d'abord des personnes formées à la prise en charge, et surtout des personnes formées dans la gestion des données c'est-à-dire comment récolter les données, les analyser sur le terrain afin de prendre de véritables décisions''.
Il a insisté sur le fait que le paludisme pourra être éliminé avec le respect de trois conditions que sont la formation des personnes sur la maladie, la disponibilité des médicaments pour le traitement et des données collectées sur le terrain.
Le secrétaire général 1 de préfecture de Daoukro, Ella Kpanda Odette, a dit sa joie de voir des agents de santé recevoir des rudiments de lutte contre le paludisme pour être efficace sur le terrain. "Mesurez la tâche qui vous incombe. La formation a été capitale pour la lutte contre le paludisme. Je vous félicite pour l'engagement pris pour le bien-être des populations", s'est-elle réjouie.
ca/ebd/fmo
Au cours d'un atelier national de formation en surveillance, suivi et évaluation des programmes de lutte contre le paludisme, qui s'est déroulé du 25 septembre au 02 octobre 2020, à Daoukro, le Programme national de lutte contre le paludisme (Pnlp), en collaboration avec l'Usaid, partenaire financier et l'assistance technique de Measure Malaria, a apporté aux séminaristes des informations capitales pour la prise en charge efficace.
"Le problème de la lutte contre le paludisme est d'avoir des données de qualité, qui puissent permettre de prendre des décisions importantes, en vue de résoudre les questions", a indiqué le directeur coordinateur du Pnlp, Dr Tanoh Méa Antoine.
Selon lui, si ''nous voulons éliminer le paludisme d'ici 2030, il nous faut avoir d'abord des personnes formées à la prise en charge, et surtout des personnes formées dans la gestion des données c'est-à-dire comment récolter les données, les analyser sur le terrain afin de prendre de véritables décisions''.
Il a insisté sur le fait que le paludisme pourra être éliminé avec le respect de trois conditions que sont la formation des personnes sur la maladie, la disponibilité des médicaments pour le traitement et des données collectées sur le terrain.
Le secrétaire général 1 de préfecture de Daoukro, Ella Kpanda Odette, a dit sa joie de voir des agents de santé recevoir des rudiments de lutte contre le paludisme pour être efficace sur le terrain. "Mesurez la tâche qui vous incombe. La formation a été capitale pour la lutte contre le paludisme. Je vous félicite pour l'engagement pris pour le bien-être des populations", s'est-elle réjouie.
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