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Plusieurs femmes et jeunes filles de la commune de Cocody et celles des communes environnantes ont été sensibilisées sur le cancer du sein et du col de l’utérus ce samedi 17 octobre 2020 à l’Université Félix Houphouët-Boigny à Abidjan-Cocody.
Comme chaque année à partir du mois d’octobre, la Fondation femmes Shunamites en action qui œuvre à soutenir un grand nombre de femmes dans la lutte contre le cancer du sein et du col de l’utérus lance une vaste campagne de sensibilisation contre ces deux maux cités plus haut.
Cette campagne de sensibilisation a débuté par une marche sportive sur une dizaine de kilomètres au sein de l’université. Avant que les dames venues en nombre important se soumettent à une séance de danse sportive. Après la partie sport, place a été cédée à Dr Dossou claudine, responsable de la Cellule médicale. La professionnelle de santé a rappelé que cette journée a pour motivation d’intensifier la lutte pour diminuer la prévalence des cancers féminins (cancer du sein et du col de l’utérus) qui sont les premières causes de décès chez la femme dans les pays subsahariens. Selon le médecin, le cancer est le développement anarchique d’une cellule ou d’un organe qui va former une anomalie au niveau de cet organe. « Les cancers tuent, et lorsqu’ils sont dépistés tôt, on peut en guérir », dit-elle. C’est pourquoi elle invite les femmes à prendre part aux séances de dépistages et à apprendre à faire l’autopalpation des seins.
Bien avant, la présidente de la Fondation femmes Shunamites en action, Mme Beugré Phox Sylvie, a invité les hommes à encourager leurs filles, leurs femmes à se faire dépister. « Nous nous sommes engagées dans ce combat parce que nous avons eu des proches mourir tôt », confie-t-elle. Avant de révéler qu’elle-même a pu s’en sortir parce que diagnostiquée tôt. « Je suis une rescapée du cancer », a-t-elle confessé.
Faut-il le noter, la Fondation femmes Shunamites a aux heures chaudes de la crise sanitaire Covid-19 remis plus de 500 kits de dépistage du cancer du col de l’utérus, des lots de masques et gels hydroalcoolique aux responsables de l’AIBF de Yamoussoukro. Des dons en vivres et non vivres ont été également faits.
Cyprien K.
Comme chaque année à partir du mois d’octobre, la Fondation femmes Shunamites en action qui œuvre à soutenir un grand nombre de femmes dans la lutte contre le cancer du sein et du col de l’utérus lance une vaste campagne de sensibilisation contre ces deux maux cités plus haut.
Cette campagne de sensibilisation a débuté par une marche sportive sur une dizaine de kilomètres au sein de l’université. Avant que les dames venues en nombre important se soumettent à une séance de danse sportive. Après la partie sport, place a été cédée à Dr Dossou claudine, responsable de la Cellule médicale. La professionnelle de santé a rappelé que cette journée a pour motivation d’intensifier la lutte pour diminuer la prévalence des cancers féminins (cancer du sein et du col de l’utérus) qui sont les premières causes de décès chez la femme dans les pays subsahariens. Selon le médecin, le cancer est le développement anarchique d’une cellule ou d’un organe qui va former une anomalie au niveau de cet organe. « Les cancers tuent, et lorsqu’ils sont dépistés tôt, on peut en guérir », dit-elle. C’est pourquoi elle invite les femmes à prendre part aux séances de dépistages et à apprendre à faire l’autopalpation des seins.
Bien avant, la présidente de la Fondation femmes Shunamites en action, Mme Beugré Phox Sylvie, a invité les hommes à encourager leurs filles, leurs femmes à se faire dépister. « Nous nous sommes engagées dans ce combat parce que nous avons eu des proches mourir tôt », confie-t-elle. Avant de révéler qu’elle-même a pu s’en sortir parce que diagnostiquée tôt. « Je suis une rescapée du cancer », a-t-elle confessé.
Faut-il le noter, la Fondation femmes Shunamites a aux heures chaudes de la crise sanitaire Covid-19 remis plus de 500 kits de dépistage du cancer du col de l’utérus, des lots de masques et gels hydroalcoolique aux responsables de l’AIBF de Yamoussoukro. Des dons en vivres et non vivres ont été également faits.
Cyprien K.
