Abidjan- L’Institut de la francophonie pour le développement durable (IFDD) va former 200 négociatrices provenant de 23 pays, en vue de marquer une plus forte présence de femmes dans le processus international de prise de décisions sur le climat, annonce un communiqué de l’institution parvenu à l’AIP.
La formation à distance qui se tient du 26 octobre au 5 novembre 2020 est développée à l’initiative de l’IFDD, organe spécialisé de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), avec l’appui financier du gouvernement canadien.
La formation fera intervenir une dizaine d’experts internationaux et se déroulera dans « l’Académie virtuelle du développement durable » de l’IFDD (https://formation.ifdd.francophonie.org/).
« Les femmes sont fortement touchées par les effets des changements climatiques et pour cette raison, il nous est impératif qu’elles bénéficient non seulement d’une plus juste représentation au sein de leurs délégations nationales respectives mais bien plus, qu’elles soient directement impliquées dans la négociation internationale touchant ces matières, a affirmé le directeur de l’IFDD, Jean-Pierre Ndoutoum.
Les participantes aux profils variés et désignées par leurs pays respectifs seront outillées sur les enjeux et les techniques de négociations internationales sur les changements climatiques.
Les 23 pays qui ont désigné leurs représentantes pour participer à la formation sont le Bénin, le Burkina-Faso, le Burundi, le Cameroun, la République centrafricaine, l’Union des Comores, la Côte d’Ivoire, le Gabon, la Guinée-Conakry, Haïti, le Liban, Madagascar, le Mali, le Maroc, la Mauritanie, le Niger, la République du Congo, la République démocratique du Congo, le Rwanda, le Sénégal, le Tchad, le Togo et le Vanuatu.
Depuis 2018, l’IFDD s’emploie au renforcement, chaque année, des capacités d’une vingtaine de femmes en matière de négociation sur le climat. L’augmentation du nombre de femmes en 2020 témoigne de la détermination de l’IFDD et de l’OIF d’assurer aux femmes un positionnement prioritaire au sein de l’organisation.
Ena/kp
La formation à distance qui se tient du 26 octobre au 5 novembre 2020 est développée à l’initiative de l’IFDD, organe spécialisé de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), avec l’appui financier du gouvernement canadien.
La formation fera intervenir une dizaine d’experts internationaux et se déroulera dans « l’Académie virtuelle du développement durable » de l’IFDD (https://formation.ifdd.francophonie.org/).
« Les femmes sont fortement touchées par les effets des changements climatiques et pour cette raison, il nous est impératif qu’elles bénéficient non seulement d’une plus juste représentation au sein de leurs délégations nationales respectives mais bien plus, qu’elles soient directement impliquées dans la négociation internationale touchant ces matières, a affirmé le directeur de l’IFDD, Jean-Pierre Ndoutoum.
Les participantes aux profils variés et désignées par leurs pays respectifs seront outillées sur les enjeux et les techniques de négociations internationales sur les changements climatiques.
Les 23 pays qui ont désigné leurs représentantes pour participer à la formation sont le Bénin, le Burkina-Faso, le Burundi, le Cameroun, la République centrafricaine, l’Union des Comores, la Côte d’Ivoire, le Gabon, la Guinée-Conakry, Haïti, le Liban, Madagascar, le Mali, le Maroc, la Mauritanie, le Niger, la République du Congo, la République démocratique du Congo, le Rwanda, le Sénégal, le Tchad, le Togo et le Vanuatu.
Depuis 2018, l’IFDD s’emploie au renforcement, chaque année, des capacités d’une vingtaine de femmes en matière de négociation sur le climat. L’augmentation du nombre de femmes en 2020 témoigne de la détermination de l’IFDD et de l’OIF d’assurer aux femmes un positionnement prioritaire au sein de l’organisation.
Ena/kp