Le directeur de l’hôpital général de Béoumi, Kouamé Kouakou Victor, a interpellé les acteurs socio-politiques sur les désagréments causés par la fermeture des voies menant à Béoumi, mercredi 04 novembre 2020, au cours d’une rencontre d’urgence convoquée à la salle de réunion de la préfecture.
” Si rien n’est fait dans les plus brefs délais, des malades risquent de succomber à leurs maux puisqu’aucune évacuation ne se fait depuis le jour des élections. Jusqu’à ce jour, quatre personnes à évacuer sont encore bloquées à l’hôpital”, a alerté Dr Kouamé.
En plus de cela, les médecins, les infirmiers et infirmières, les sages femmes et aides soignants devant quitter Bouaké pour Béoumi sont dans l’attente depuis lors. Ceux d’entre eux qui sont au travail depuis les élections sont fatiguées et demandent d’être relayées”, a-t-il poursuivi.
”L’hôpital général est apolitique. Toutes les populations, tous bords confondus, doivent se soigner dans la seule structure sanitaire qu’est l’hôpital général de Béoumi. Il faut donc éviter de la tuer.”, a-t-il lancé à l’endroit des chefs de villages, chefs de communauté et à tous les acteurs socio-politiques.
Le préfet du département, Jules Gouessé, en a pris bonne note et a invité les couches socio-politiques à agir rapidement pour faire baisser la tension due à la barricade des voies.
(AIP)
” Si rien n’est fait dans les plus brefs délais, des malades risquent de succomber à leurs maux puisqu’aucune évacuation ne se fait depuis le jour des élections. Jusqu’à ce jour, quatre personnes à évacuer sont encore bloquées à l’hôpital”, a alerté Dr Kouamé.
En plus de cela, les médecins, les infirmiers et infirmières, les sages femmes et aides soignants devant quitter Bouaké pour Béoumi sont dans l’attente depuis lors. Ceux d’entre eux qui sont au travail depuis les élections sont fatiguées et demandent d’être relayées”, a-t-il poursuivi.
”L’hôpital général est apolitique. Toutes les populations, tous bords confondus, doivent se soigner dans la seule structure sanitaire qu’est l’hôpital général de Béoumi. Il faut donc éviter de la tuer.”, a-t-il lancé à l’endroit des chefs de villages, chefs de communauté et à tous les acteurs socio-politiques.
Le préfet du département, Jules Gouessé, en a pris bonne note et a invité les couches socio-politiques à agir rapidement pour faire baisser la tension due à la barricade des voies.
(AIP)