Abidjan- Face à la crise de succession qui secoue le milieu du football ivoirien, le vice-président du comité exécutif, Sory Diabaté et des anciens footballeurs ont appelé à l’apaisement et au rassemblement, lors de la cérémonie d’hommage à l'ex-président de la Fédération ivoirienne de football (FIF), Augustin Sidy Diallo, décédé samedi 21 novembre 2020.
« Quand toute la famille est rassemblée, la victoire est déjà difficile à obtenir. Quand la famille est divisée, la victoire devient impossible », a partagé Sory Diabaté lors de son allocation.
Pour M. Diabaté, le chemin à suivre est celui du rassemblement qui doit emmener chacun à faire abstraction des inimitiés, des malentendus, des coups reçus, des mauvaises manières pour ne privilégier que le football.
Vainqueur de la Coupe d'Afrique des nations (CAN) en 1992, Abdoulaye Traoré dit Ben Badi souhaite que tous les acteurs se retrouvent pour réfléchir autour de l’intérêt du football ivoirien autrefois la « locomotive » au plan africain. « Il faut qu'on se parle et qu'on reparte sur de bon pieds », a préconisé Ben Badi.
Lué Biagné Rufin, un autre de la génération 92, appelle à la table de négociations toutes les parties prenantes de cette crise pour que le championnat reprenne au plus vite.
Le football ivoirien est en proie à une crise liée à l'élection du nouveau président de la fédération. En attendant la décision de la Fédération internationale de football association (FIFA) qui s'est saisie du dossier, le calendrier des activités reste pour le moment en berne.
bsb/fmo
« Quand toute la famille est rassemblée, la victoire est déjà difficile à obtenir. Quand la famille est divisée, la victoire devient impossible », a partagé Sory Diabaté lors de son allocation.
Pour M. Diabaté, le chemin à suivre est celui du rassemblement qui doit emmener chacun à faire abstraction des inimitiés, des malentendus, des coups reçus, des mauvaises manières pour ne privilégier que le football.
Vainqueur de la Coupe d'Afrique des nations (CAN) en 1992, Abdoulaye Traoré dit Ben Badi souhaite que tous les acteurs se retrouvent pour réfléchir autour de l’intérêt du football ivoirien autrefois la « locomotive » au plan africain. « Il faut qu'on se parle et qu'on reparte sur de bon pieds », a préconisé Ben Badi.
Lué Biagné Rufin, un autre de la génération 92, appelle à la table de négociations toutes les parties prenantes de cette crise pour que le championnat reprenne au plus vite.
Le football ivoirien est en proie à une crise liée à l'élection du nouveau président de la fédération. En attendant la décision de la Fédération internationale de football association (FIFA) qui s'est saisie du dossier, le calendrier des activités reste pour le moment en berne.
bsb/fmo