Abidjan - Le gouvernement ivoirien augmentera de 60% en 2021 l’achat des médicaments antirétroviraux pour le traitement des patients vivant avec le VIH, a annoncé le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr Eugène Aka Aouélé, mardi 1er décembre 2020, à l’occasion de la célébration de la 33e journée mondiale de lutte contre le Sida
En plus de cette contribution qui passera de 48% à 60% en 2021, il est prévu l’identification et le dépistage de toutes les personnes porteuses du VIH, surtout les enfants, leur mise sous traitement, leur rétention dans les soins et l’élimination de la transmission mère-enfant du VIH.
Dr Aka Aouélé a souligné que la Côte d’Ivoire entend prendre toute sa part dans l’effort mondial en vue de l’atteinte des objectifs d’élimination du Sida à l’horizon 2030. Pour ce faire, le gouvernement a pris l’engagement d’augmenter le budget pour la santé de 15% chaque année.
Des financements visant à réduire de 75% le nombre de nouvelles infections en 2025, de 50% le nombre de décès liés au Sida et de lutter contre la stigmatisation et la discrimination et le respect des droits de l’homme.
Il a appelé à la mobilisation de tous les acteurs impliqués dans la réponse nationale, ainsi que de la société civile. Estimant que c’est dans la solidarité les uns avec les autres tant au niveau communautaire, national, qu’international que « nous parviendrons à briser toutes les barrières qui entravent nos actions de prévention à l’endroit des populations cibles.
Célébrée autour du thème « Solidarité internationale, responsabilité » dans la commune de Port-Bouët, cette journée mondiale a été l’occasion de remercier le gouvernement américain, le directeur exécutif du Fonds mondial et de tout le système des Nations-Unies (OMS, ONUSIDA, UNFPA, UNICEF...) pour leur appui dans la lutte.
Une baisse de la prévalence a été enregistrée dans le pays au cours de la dernière décennie. Il y a encore près de 430 000 personnes vivant avec le VIH en Côte d’Ivoire en 2019 et plus de 12 000 nouvelles infections, a-t-on appris.
(AIP)
bsb/fmo
En plus de cette contribution qui passera de 48% à 60% en 2021, il est prévu l’identification et le dépistage de toutes les personnes porteuses du VIH, surtout les enfants, leur mise sous traitement, leur rétention dans les soins et l’élimination de la transmission mère-enfant du VIH.
Dr Aka Aouélé a souligné que la Côte d’Ivoire entend prendre toute sa part dans l’effort mondial en vue de l’atteinte des objectifs d’élimination du Sida à l’horizon 2030. Pour ce faire, le gouvernement a pris l’engagement d’augmenter le budget pour la santé de 15% chaque année.
Des financements visant à réduire de 75% le nombre de nouvelles infections en 2025, de 50% le nombre de décès liés au Sida et de lutter contre la stigmatisation et la discrimination et le respect des droits de l’homme.
Il a appelé à la mobilisation de tous les acteurs impliqués dans la réponse nationale, ainsi que de la société civile. Estimant que c’est dans la solidarité les uns avec les autres tant au niveau communautaire, national, qu’international que « nous parviendrons à briser toutes les barrières qui entravent nos actions de prévention à l’endroit des populations cibles.
Célébrée autour du thème « Solidarité internationale, responsabilité » dans la commune de Port-Bouët, cette journée mondiale a été l’occasion de remercier le gouvernement américain, le directeur exécutif du Fonds mondial et de tout le système des Nations-Unies (OMS, ONUSIDA, UNFPA, UNICEF...) pour leur appui dans la lutte.
Une baisse de la prévalence a été enregistrée dans le pays au cours de la dernière décennie. Il y a encore près de 430 000 personnes vivant avec le VIH en Côte d’Ivoire en 2019 et plus de 12 000 nouvelles infections, a-t-on appris.
(AIP)
bsb/fmo